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DAVIAU

Doué-la-Fontaine (49), et en Vendée : La Roche-sur-Yon, Rocheservière, St-Georges-de-Pointindoux,

Les Sables d’Olonne, Luçon, Apremont - Nantes


Déposé le 14 janvier 2016 par Christian Frappier - Dernières modifications le 9 juillet 2020

Sources - Recherches : Registres paroissiaux et d’Etat-Civil (Christian Frappier)





1. Louis DAVIAU, maçon, épousa Marie BREMEAU, dont il eut au moins :

1°) Jean DAVIAU, qui suit.

2°) Louis DAVIAU


2. Jean DAVIAU, tailleur de pierres, épousa à Doué-la-Fontaine (49) le 12 janvier 1779, Marie GARNIER, fille de Pierre GARNIER, taillandier, et de Gabrielle PINIER. Ils eurent au moins un fils qui suit.


3. Pierre Henry DAVIAU, propriétaire, entrepreneur à La Roche-sur-Yon, né à Doué-la-Fontaine vers 1785, décédé à La Roche-sur-Yon le 28 mars 1843 ; il y avait épousé le 20 mai 1812, Louise Julie RICHARD, née à St-Mars-la-Jaille (44) le 7 octobre 1786, fille de Joseph René RICHARD, traiteur, et de Jeanne GOURREAU ; mariage en présence notamment de Louis DAVIAU, tailleur de pierres à La Chapelle sous Doué, cousin de l’époux.

1°) Pierre Henry DAVIAU, propriétaire à Rocheservière, né à La Roche-sur-Yon le 24 novembre 1812 ; il épousa Eudoxie Adèle NOEAU, fille de Nicolas Jacques NOEAU et de Reine CORMIER, dont il eut au moins :

1a) Henriette Julie Eudoxie DAVIAU, née vers 1739 ; elle épousa Antoine Alfred Benjamin CLOCHARD, médecin à Rocheservière, né à Montaigu le 21 juin 1835, fils de Joseph Antoine CLOCHARD, orfèvre et propriétaire, et de Claire Arsène HUBERT ; dont au moins :

2a) Eudoxie Louisa Arsène Reine Marie CLOCHARD, née à Rocheservière le 3 février 1863.

1b) Félix Henri DAVIAU, né à Nantes le 10 avril 1840 ; notaire à Rocheservière ; il épousa à Nantes le 25 janvier 1870, Arsène Louisa CLOCHARD, propriétaire, née à Montaigu le 16 décembre 1844, fille de Joseph Antoine CLOCHARD, propriétaire à Montaigu, et de Claire Arsène HUBERT ; mariage en présence de Nicolas Félix Victor NOEAU, 50 ans, notaire à Rocheservière, oncle maternel de l’époux, Paul DAVIAU, 54 ans, propriétaire, son oncle paternel, Alfred CLOCHARD, 34 ans, médecin à Rocheservière, frère de l’épouse.

Par suite de son goût pour le luxe, les voyages, les plaisirs, il mena grand train, négligeant son étude, et dépensant chaque année plus du double de ce qu’il gagnait. L’instruction montra qu’il avait des goûts dispendieux et menait grand train avec ses quatre domestiques ; il possédait aussi deux voitures, dont un coupé, deux chevaux, etc… Il en vint à emprunter auprès de ses clients des sommes très importantes et à s’emparer des dépôts qui lui étaient confiés. Tout alla bien jusqu’en 1888, mais à la suite de la déconfiture d’un autre notaire de Rocheservière, il se vit assailli de réclamations et contracta à Nantes un emprunt de 160.000 Frs qui lui permit de désintéresser certains créanciers.

Mais dès l’année suivante, étant tombé malade, il ne put plus faire face à de nouvelles demandes et abandonna son étude, sans donner aucune instruction à son clerc. Le 21 septembre 1881, le notaire DAVIAU, accompagné de son épouse, se rendit à Nantes en coupé. De là, il gagnait Jersey dès le lendemain selon l’accusé, au bout de quatre jours selon le cocher. Il vécut à Jersey tranquillement, ignorant même, selon ses dires, qu’il avait été condamné par contumace aux travaux forcés à perpétuité, par un jugement du 2 janvier 1892. Mais la justice ne lâchait pas l’affaire.

A la fin de l’année 1897, on annonça que la police de St-Hélier venait de procéder à l’arrestation de Félix Henri DAVIAU, inculpé de banqueroute frauduleuse depuis 1889 ; il fut extradé et remis entre les mains de la police française, avant d’être incarcéré à La Roche-sur-Yon..

Le procès en Cour d’assises commença dès le mardi 18 janvier 1898. Une centaine de témoins ont été entendus. Parmi les dépositions, celle de Maitre DENIS, notaire à Montaigu, qui, chargé des intérêts de Mme CLOCHARD, belle-mère de l’accusé et de ceux de sa fille, précise qu’il écrivit fréquemment à Jersey, au nom même de l’accusé. Au cours d’un voyage en Bretagne, il alla jusqu’à St-Hélier. Là, il descendit à l’hôtel et demanda l’adresse de DAVIAU. Celui-ci était apparemment devenu l’une des célébrités de l’endroit, car on lui répondit de prendre le premier cocher venu qui l’amènera directement au domicile de DAVIAU. Ce dernier, du reste, a déclaré qu’il ne se cachait nullement, y recevant « Le Petit Phare » auquel il était abonné, et toute sa correspondance. Il ajoutait que si la justice ignorait son séjour dans l’ile anglo-normande, elle était seule dans ce cas.

Parmi les nombreuses comparutions, celle de M. Alexandre ROY, 75 ans, vigneron à St-Philbert-de-Bouaine : il était l’un de ceux auxquels non seulement DAVIAU avait fait grand tort, mais qu’il ruina complètement. Le vieillard avait du bien et des dettes ; l’accusé vendit le bien, ne paya pas les dettes et gardant la somme résultant de l’opération, réduit à la misère son malheureux client.

Dans le langage clair, sobre et vigoureux qui lui est familier, M. MERLE requiert condamnation. Il répète que le Parquet de la Roche ignorait la résidence de DAVIAU. Dès qu’il l’a su, il a rempli son devoir.

Maître REGNAUD, du barreau de Nantes, s’efforce de tirer d’une cause ingrate le meilleur parti possible. Madame DAVIAU, dont le suicide à Paris deux jours avant le début du procès, et dont le corps a été ramené à Montaigu, ne lui parait pas suffisamment démontré ; elle avait déshérité son mari au profit de leur fils d’adoption, DUGAST, et celui-ci s’engagea à rembourser les créanciers jusqu’à concurrence de 25,000 francs, si DAVIAU est acquitté, comme il le demande.

Les débats clos à minuit 10, M. le Président lit les 80 questions auxquelles auront à répondre MM. les jurés. La délibération du jury dure de minuit et demi à deux heures et demi. Il rapporte un verdict négatif sur les 8 premières questions (faux et usage de faux) et affirmatif pour 67 des autres (abus de confiance qualifiés). Les circonstances atténuantes sont admises. En conséquence, DAVIAU est condamné à trois ans de prison.

2°) Eugène Jean DAVIAU, qui suit.

3°) Paul Louis DAVIAUD, médecin, né à La Roche-sur-Yon le 20 novembre 1815, décédé à St-Hilaire-des-Loges le 4 juin 1877 ; il avait épousé à La Roche-sur-Yon le 12 juillet 1843, Bénigne Adeline Claire GAUDIN, née à Nieul-le-Dolent le 17 octobre 1824, fils de Pierre Emile GAUDIN, receveur des finances, et de Bénigne Victoire FRAPPIER.

1a) Marie Louise DAVIAUD, née à Nantes le 19 juin 1844 ; elle éppousa à St-Georges-de-Pointindoux le 26 octobre 1863, Léon Marie Joseph BIENVENU, député de Vendée, né à Pouzauges le 20 novembre 1835, décédé à Lille (Nord) le 19 septembre 1913, fils de Pierre Augustin BIENVENU et de Sophie Vitaline ALLAIRE de LÉPINAY ; mariage en présence d’Aristide de LA TASTE, 32 ans, contrôleur des contributions directes à Saintes, beau-frère de l’époux, Paul ALLAIRE, 33 ns, propriétaire à Châteaumur, oncle, Henry DAVIAU, 50 ans, propriétaire à Rocheservière, oncle de l’épouse, et Eugène POILIÈVRE, 36 ans, négociant à Nantes, oncle par alliance.

2a) Jeanne Marie Cécile BIENVENU, née à St-Georges-de-Pointindoux le 24 août 1864.

2b) Paul Léon BIENVENU, né à St-Hilaire-des-Loges le 19 décembre 1869, décédé à Caen le 27 décembre suivant.

2c) Pierre Léon BIENVENU, né à St-Hilaire-des-Loges le 30 décembre 1872, décédé à Caen le 8 février 1963. Il fut le père d’au moins un fils :

3a) Jean BIENVENU, qui fut le père d’au moins quatre enfants :

4a) Michel BIENVENU

4b) Monique BIENVENU

4c) Paulette BIENVENU

4d) Colette BIENVENU

1b) Claire Aglaé DAVIAUD, née aux Sables d’Olonne le 23 juin 1849 ; elle épousa à St-Georges-de-Pointindoux le 23 octobre 1872, Léon Etienne Calixte PETITEAU, notaire à La Châtaigneraie, né à St-Gervais le 26 décembre 1838, fils de Jacques Marie PETITEAU, médecin à St-Gervais, et de Marie Rose MERLET.

1c) N. DAVIAUD, né et décédé aux Sables d’Olonne le 23 juin 1849.

4°) Julie Esther DAVIAU, née à La Roche-sur-Yon le 28 septembre 1817.

5°) Julie Eugénie Françoise DAVIAU, née aux Sables d’Olonne le 31 juillet 1820, y décédée le 7 juillet 1874 ; elle avait épousé à La Roche-sur-Yon le 4 septembre 1838, Florimond Benjamin Auguste JOLLY, médecin à la Villette de St-Denis (75), fils de Pierre Auguste JOLLY, propriétaire, et de Rose Flavie BLAY.

1a) Louise Henriette JOLLY, née à La Roche-sur-Yon le 18 décembre 1840 ; elle épousa aux Sables d’Olonne le 18 novembre 1868, Jean Auguste GOULIPEAU, notaire aux Sables d’Olonne, né à La Tranche-sur-Mer le 27 janvier 1830, fils de Jean Auguste GOULIPEAU et de Marie GOULIPEAU.


4. Eugène Jean DAVIAU, menuisier, négociant à Luçon, né à La Roche-sur-Yon le 12 décembre 1813, décédé à Luçon le 18 novembre 1878 ; il avait épousé à La Roche-sur-Yon le 18 août 1837, Marthe Azeline BALLEREAU, née à La Roche-sur-Yon le 6 février 1818, décédée aux Lucs-sur-Boulogne le 11 novembre 1869, fille de Charles BALLEREAU, entrepreneur de menuiserie, et de Marthe TOUZELIN ; mariage en présence de François Félix MARCHAIS, 36 ans, propriétaire, Paul Louis DAVIAU, 22 ans, étudiant en médecine, frère de l’époux, Benoit Eugène PICARD, 30 ans, restaurateur, beau-frère de l’épouse, et Henry Thomas MÉNARDEAU, 62 ans, propriétaire, tous demeurant à La Roche-sur-Yon.

1°) Eugène Charles DAVIAU, courtier maritime, banquier, né à La Roche-sur-Yon le 5 octobre 1838 ; il épousa à Luçon le 9 novembre 1863, Rosalie Honorine Aline GAUDIN, née à Luçon le 1er février 1842, fille d’Alexandre Isidore GAUDIN, marchand de draps, et de Victoire Louise Honorine BERTOU.

1a) Marie Aline DAVIAU, née à Luçon le 26 août 1864.

1b) Eugénie Marthe Maximilienne Marie DAVIAU, née à Luçon le 4 juin 1866, décédée l’année suivante.

1c) Eugénie Marie Rosalie DAVIAU, née à Luçon le 14 août 1867, y décédée le 6 mai 1884.

1d) Eugène Alexandre Paul DAVIAU, né à Luçon le 3 août 1870, y décédé le 14 octobre 1886.

2°) Henri Paul DAVIAU, qui suit.

3°) Paul Jules DAVIAU, employé de commerce, né à Luçon le 18 février 1843, y décédé le 26 mars 1899 ; il avait épousé à Luçon le 10 juin 1873, Marguerite Victorine Aline MOULIN, y née le 12 novembre 1849, décédée en 1905, fille d’Alexis Gonzalves MOULIN, marchand – lui-même fils de René Alexis MOULIN, marchand, et de Marie Augustine Félicité ESCALIER-MAIGRE – et de Modeste Victorine Ursule VRIGNAUD, de la famille des fabricants de liqueurs et créateurs du « Kamok ».

1a) Marthe Marie Eugénie Victoire DAVIAU, née à Luçon le 8 octobre 1875, décédée aux Lucs-sur-Boulogne le 18 avril 1956 ; elle avait épousé à Luçon le 12 mai 1897, Gustave Marie Ludovic CAILLÉ, né à St-Sornin le 4 septembre 1870, décédé aux Lucs-sur-Boulogne le 27 juin  1931, fils de Valéry Célestin Dominique CAILLÉ, et de Claire Louise Rose Marguerite MARTIN ; mariage en présence de Narcisse Adolphe CAILLÉ, 59 ans, propriétaire, oncle de l’époux, Jean Dominique Adolphe CAILLÉ, 37 ans, négociant, son frère germain, demeurant tous deux à Nantes, Pierre Napoléon PINET, docteur en médecine, 48 ans, oncle maternel par alliance de l’épouse, demeurant à Nantes, et Victor Alexandre MARTIN, propriétaire, 33 ans, oncle paternel. Dont postérité CAILLÉ, TESSON, BOULENGER, VERDON, de MARTIN du TYRAC de MARCELLUS…

1b) Paul Gonzalves Victor DAVIAU, notaire, né à Luçon le 31 janvier 1881, décédé à Nantes le 21 décembre 1949 ; il avait épousé à Luçon le 3 juin 1912, Renée Paule Marie Marthe MÉTAIREAU, née à Perrégaux (Département d’Oran, Algérie) le 5 avril 1887, décédée à Luçon le 28 juin 1931, fille de Pierre Ernest Xavier MÉRAITEAU, négociant à Perrégaux, et de Marie Anastasie Désirée JUTEAU, dont au moins :

2a) Renée Paule Marie Marthe DAVIAU,  née à Luçon le 26 avril 1913, décédée en 1995 ; elle avait épousé à Luçon le 26 décembre 1934, Maurice Francis Auguste FERRÉ, architecte à Nantes, né à Bournezeau le 4 février 1907, décédé à Luçon le 15 novembre 1997, fils de Cyprien François FERRÉ, de Bournezeau, et de Marie Félicité Augustine CLAVIER, de Thorigny. Dont postérité.

4°) Marthe Marie Eudoxie DAVIAU, née à Luçon le 25 octobre 1844, y décédée le 29 mai 1868.

5°) Claire DAVIAU, née à Luçon le 1er avril 1846, y décédée le 14 juillet suivant.

6°) Ursule Julie DAVIAU, née à Luçon le 14 juin 1847, y décédée le 11 juillet 1849.

7°) Victor DAVIAU, né à Luçon le 1er mars 1849, sergent major de la Garde mobile de la Vendée, décédé à l’hôpital St-Antoine à Paris le 17 décembre 1870, victime du siège de Paris.

8°) Marie Thérèse DAVIAU, née à Luçon le 14 juin 1851, y décédée le 2 novembre suivant.

9°) Georges Louis DAVIAU, né à Luçon le 19 mai 1853, y décédé le 10 mai 1866.

10°) Charles Pierre DAVIAU, né à Luçon le 28 novembre 1855, y décédé le 30 juin 1924.

11°) Benjamin Edouard DAVIAU, courtier maritime, né à Luçon le 9 juillet 1857, décédé en 1925 ; il avait épousé à Apremont le 14 octobre 1884, Clarisse MERLET, y née le 26 juin 1863, fille d’Henri Charles MERLET, propriétaire, maire d’Apremont, et de Clarisse Elisabeth Marie Alexandrine PEINSON.

1a) Pierre Henri René Benjamin DAVIAU, né à Luçon le 3 août 1887, décédé à Nantes le 26 février 1963 ; il avait épousé Jeanne THÉRY, née vers 1885, décédée à Coëx le 25 février 1951.

2a) Suzanne DAVIAU, mariée à Charles SIMULIN.

1b) Berthe Bernadette Laure Augustine DAVIAU, connue sous le nom de « Bernadette WIRTZ-DAVIAU », née à Nantes le 9 juin 1894, décédée à Paris le 30 mars 1970, inhumée à Apremont ; elle avait épousé William Frederick WIRTZ, né à Liverpool en 1889, décédé à Brévannes (94) le 11 mai 1942, fils de Louis Alexander WIRTZ, négociant, et de Henriette Marie Marthe BALLEREAU.

Bernadette WIRTZ-DAVIAU, bien connue notamment des amateurs d’histoire et de généalogie, était peintre et critique d’art, ancien élève de Jean-Paul Laurens.

Ses livres : « De l’influence des Hollandais en Vendée, 1934 », « Le Roi de Rome et la Vendée, 1933 », « Paul Baudry et le peintre tchèque Vojtech Hynais, 1935, « Les Beauharnais des Roches-Baritaud, 1937 », « Le château d’Apremont, 1961 », Les orfèvres bas-poitevins et leurs poinçons, 1941 », « Le célèbre flibustier L’Olonnais s’appelait Jean David, 1935 », « La bibliothèque du château de Frohsdorf, 1936 », « Charles François d’Aviau du Bois de Sanzay, archevêque de Vienne et de Bordeaux, 1736-1826, 1958 », « La statue de Napoléon Ier à La Roche-sur-Yon et son sculpteur, le comte de Nieuwerkerke, 1954 », etc…

2a) Maud Françoise Clarisse Bernadette WIRTZ-DAVIAU, née à Apremont le 1er mars 1920, décédée à Paris le 10 janvier 2013 ; elle avait épousé le 29 juin 1943, Jean Denis Etienne TURPIN, directeur de société, né à Paris le 24 juillet 1920, décédé à La Roche-sur-Yon le 23 janvier 2001, fils de Léon TURPIN et de Léontine GUIRAMAND.

3a) Sophie Marie-Clarisse Anne Bernadette TURPIN, née à Paris le 2 avril 1948 ; elle épousa d’abord le comte René de MENTHON, fils de Pierre de MENTHON, consul général de France à Québec, et de Françoise BORDEAUX MONTRIEUX ; puis Nicolas CRESPELLE ; dont du premier mariage :

4a) Guillaume de MENTHON, né à Boulogne-Billancourt (92) le 27 octobre 1969 ; il épousa Mathilde GUILLAUME, née à Vannes (56) le 11 août 1973, fille d’Hervé GUILLAUME et de Perrine LEFORT, dont Gaspard (1999), Julie (2001) et Louise (2004) de MENTHON.

4b) Alexia de MENTHON, mariée à Olivier DELRIEU.


5. Henri Paul DAVIAU, courtier maritime, né à La Roche-sur-Yon le 4 mai 1841, décédé à Luçon le 10 décembre 1888 ; il y avait épousé le 12 juin 1872, Marie Mélina GODET, née à Luçon le 13 août 1850, fille d’Eugène Pierre GODET, entrepreneur et quincailler, et de Rose Célestine Honorine MOULIN, cette dernière, fille de René Alexis MOULIN, marchand, et de Marie Augustine Félicité ESCALIER MAIGRE.

1°) Henri Eugène Célestin Joseph DAVIAU, né à Luçon le 19 mars 1873, y décédé le 22 septembre suivant.

2°) Mélina Eudoxie Azelina DAVIAU, née à Luçon le 14 décembre 1874.

3°) Marie Eugénie Célestine DAVIAU, née à Luçon le 19 août 1876.

4°) Georges Aimé Henri DAVIAU, docteur en médecine, né à Luçon le 28 août 1878 ; il épousa à Ste-Savine (10) le 14 avril 1910, Marguerite RAVALLÉ, née vers 1886, dont :

1a) Elisabeth DAVIAU, mariée à Jacques CAZIN.

1b) Yvonne DAVIAU

1c) Geneviève DAVIAU, mariée à Louis LAMY.

5°) Amélie Marie Paula DAVIAU, née à Luçon le 24 mai 1880, décédée en 1970 ; elle avait épousé à Paris le 12 février 1912, Charles Edmond BALLEREAU, née à Luçon le 21 janvier 1884, décédée à Paris le 23 août 1944, fils de Léon Jean Baptiste BALLEREAU, architecte, et d’Adèle Marie Anne BELLATON. Dont postérité. Voir cette famille.