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MERIAU

Saint-Christophe-du-Ligneron


Déposé le 3 janvier 2009 par Lionel Meriau - Modifié le 29 septembre 2009




Première Branche de Saint-Christophe-du-Ligneron


Les deux branches MERIAU de Saint-Christophe paraissent apparentées. Au premier mariage de Jean, le 3° de la seconde branche, en 1737, assiste comme témoin un certain René MERIAU, son cousin germain. Or il n’existe pas d’autres René MERIAU vivants à cette époque dans la région que le 1° de la première branche de Saint-Christophe et son fils 1c. Il s’agit donc forcément de l’un d’eux. Mais duquel ?

Egalement, au second mariage de ce même Jean, en 1741, figure, outre ce cousin germain René, un autre cousin germain paternel, Nicolas MERIAU. Or, encore une fois, il n’existe pas d’autre Nicolas MERIAU vivant à cette époque dans la région que le petit-fils de Noël MERIAU, fondateur de la branche de Challans-Sallertaine. Ce Nicolas est sabotier, comme le cousin Jean qu’il assiste, et leur métier commun explique peut-être cette unique présence d’un MERIAU de Challans à une cérémonie de Saint-Christophe ; les relations de métier viendraient raffermir des liens familiaux déjà distendus. Dans cette hypothèse, les MERIAU de Saint-Christophe pourraient être issus d’un fils inconnu de Noël, de Challans.



1. N. MERIAU ; il eut au moins René, Mathurin et Louise MERIAU qui suivent

1°) René MERIAU, né vers 1679 ; il épouse à une date perdue (pas de registre avant 1737) Louise RABILLÉ, née vers 1687. Louise est inhumée le 16 novembre 1757 à Saint-Christophe-du-Ligneron, son mari et ses enfants présents. René décède à la Neuville, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumé le 8 décembre 1764, ses enfants présents

1a) Magdeleine MERIAU, née vers 1708 ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 1er mars 1745, Pierre TRICHET, né vers 1725, fils mineur de Pierre TRICHET et de feue Magdeleine GUILBAUD ; témoins au mariage Pierre TRICHET, père du proparlé et Jean TRICHET son oncle, René MERIAU, père de la proparlée et Mathurin MERIAU son oncle. D’où postérité. Pierre décède le 15 décembre 1783 à la Cantinière, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumé le 16, sa fille présente. Magdeleine décède à la Cantinière, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumée le 3 août 1788, ses gendres présents.

1b) Jacques MERIAU, né vers 1712 ; il épouse Marguerite HERBERT née vers 1723, fille de Julien HERBERT et de Geneviève GROLLIER. La date de leur mariage reste inconnue. Les jumeaux naissant fin 1746, le mariage date probablement du courant de 1745. Explication possible : le curé Robert GARAT est inhumé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 27 août 1744 et son successeur, Louis-Germain FOUCHER de la Blanchère n’intervient qu’à partir d’avril 1745. Le vicaire fait de son mieux dans l’intervalle, mais il note ceci sur le début du registre de 1745 : « observation sur le défaut tant de signatures que même de plusieurs actes de baptêmes où mariages où enterrements  il faut icy remarquer quil sest fait tant dans le susdit mois que le suivant et peut être même dans quelques uns des autres, soit des baptêmes, enterrements où même mariages dans les paroisses voisines auxquelles il faudrait en cas de besoin avoir recours pour en avoir les extraits, vû que le mr Curé de cette paroisse ny a pas pû toujours donner ses soins ; plusieurs même des actes cy dessus où daprès seront trouvés dépourvus de signaturre ; jen ay néantmoins recueilly ce qui a été en mon pouvoir. » La recherche dans les paroisses voisines est demeurée vaine. Jacques est inhumé le 11 avril 1748 à Saint-Christophe-du-Ligneron, son père présent. Marguerite épouse en seconde union à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 27 septembre 1751, Thomas CHAUVIN, majeur, fils de feu René CHAUVIN et défunte Françoise GUYARD ; témoins René MERIAU et Jacques PERROCHEAU, cousins du proparlé, Julien et Cyprien HERBERT, frères de la proparlée. Marguerite décède à la Chalonnière, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumée le 5 décembre 1768, ses enfants présents.

2a) Jacques MERIAU, baptisé le 12 septembre 1746 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain René MERIAU, marraine Andrée MERIAU) ; il épouse le 13 février 1770, à Saint-Christophe-du-Ligneron, Marie GUILLONNEAU, née le 20 octobre 1750 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain Thomas PERROCHAUD, marraine Jeanne CLERTEAU), fille de René GUILLONNEAU et de Catherine CAILLONNEAU ; témoins au mariage Charles MERIAU, oncle et tuteur du proparlé, Thomas CHAUVIN son beau-père, René GUILLONNEAU, père de la proparlée et Jacques GUILLONNEAU son frère. Jacques décède entre 1792 et 1796 « par les causes de la guerre civile ». Marie décède le 6 août 1818 à la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 7 par Jacques MERIAU son fils, laboureur, et Charles CANTIN, tisserand.

3a) Marie MERIAU, née à Mermande, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 9 juin 1771 (parrain René GUILLONNEAU, marraine Catherine CAILLONNEAU), décédée à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, inhumée le 29 janvier 1784, son père présent.

3b) Marguerite MERIAU, née à la Frogerie (auj. la Fourogerie), Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 5 novembre 1772 (parrain Thomas CHAUVIN, marraine Marie MERIAU), décédée à une date inconnue (entre 1792 et 1796 ?). Sans postérité connue.

3c) Pierre MERIAU, né à la Frogerie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 8 mai 1774 (parrain Jacques HERBERT, marraine Magdeleine GUILLONNEAU, de Commequiers), décédé à une date inconnue (entre 1792 et 1796 ?). Sans postérité connue.

3d) Jeanne MERIAU, née à la Frogerie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 24 janvier 1776 aux Habites mais acte porté au registre de Saint-Christophe (parrain René GUILLONNEAU, marraine Catherine CAILLONNEAU), décédée à la Frogerie, Saint-Christophe-du-Ligneron, inhumée le 15 mai 1776, sans témoins cités.

3e) Jeanne MERIAU, née à la Frogerie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 12 mai 1777 (parrain Pierre HERBERT, marraine Magdeleine GUILLONNEAU), décédée à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, inhumée le 27 mars 1781, son père présent.

3f) Charles MERIAU, né à la Frogerie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 20 septembre 1779 (parrain René MERIAU, marraine Jeanne Aimée FUMÉ), décédé à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, inhumé le 8 septembre 1782, son père présent.

3g) Anne MERIAU, née à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 28 décembre 1781 (parrain Jacques MERIAU, marraine Anne MERIAU), décédée le 13 mars 1783 à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, inhumée le 14, ses parents présents.

3h) Anne MERIAU, née à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 3 juin 1784 (parrain Pierre MERIAU, marraine Anne POTEREAU) ; elle épouse le 16 avril 1807, à Saint-Christophe-du-Ligneron, Augustin GUILBAUD, laboureur, né le 29 mars 1787 à la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le même jour (parrain Maître Jacques VINÉ, marraine Henriette TALLONNEAU), fils de Jacques GUILBAUD, décédé « par les causes de la guerre civile » et de Louise TENARD, décédée à la Roirie le 14 octobre 1789. Présente au mariage Marie GUILLONNEAU, mère de la mariée, domiciliée à Maché ; témoins Jean POTEREAU, laboureur, de la Roirie, oncle de l’époux, René MERIAU, cabaretier, de la Cannière, cousin de l’époux, René GUILLONNEAU, laboureur, de la Givrandière, Apremont, oncle de l’épouse, Charles MERIAU, du chef-lieu, Saint-Christophe-du-Ligneron, journalier, cousin de l’épouse (qui épouse le même jour la sœur d’Augustin, Marie Anne GUILBAUD, voir plus loin), « lesquels témoins nous ont déclaré et attesté que Jacques Guilbaud et Jacques Meriau sont morts par les causes de la guerre civile, ce qui a mis les parties dans l’impossibilité de nous en présenter les actes de décès ». Anne décède le 9 novembre 1811 à la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumée le 10. La date de décès reste à trouver pour Augustin.

3i) Louis Jacques MERIAU, connu adulte sous le prénom de Jacques, né à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 18 novembre 1786 (parrain Louis ANGIBAUD, marraine Louise RABILLÉ) ; cultivateur, il épouse à Saint-Paul-Mont-Penit, le 14 avril 1813, Marie JARNY, née vers 1792, fille de feu Nicolas JARNY et de Perrine PONTDEVIE. Présentes au mariage Marie GUILLONNEAU, mère du marié, domestique à la Cantinière, et Perrine PONTDEVIE, mère de la mariée, de l’Ymmonière, Saint-Paul-Mont-Penit ; témoins le sieur Dominique GOUPILLEAU et Alexis BULTEAU, journalier, pour le marié, Louis JARNY, oncle paternel de la mariée, et Mathurin JARNY cousin germain de la mariée. Laboureur, Jacques décède le 17 décembre 1852 à la Tenaillère, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par ses fils Jacques et Jean MERIAU, tous deux laboureurs, de la Tenaillère. Marie décède cultivatrice, aux Boisselières, Grand’Landes, le 27 janvier 1862, déclaration le 28 par François MERIAU, cultivateur, des Boisselières, Grand’Landes, et Jean MERIAU, cultivateur, de Saint-Christophe-du-Ligneron, ses fils.

4a) Jacques MERIAU, né le 19 mars 1814 à l’Ymmonière, Saint-Paul-Mont-Penit, déclaration par son père en présence de Louis JARNY, cultivateur, son oncle, et Pierre CANTIN, cultivateur, voisin, tous deux de l’Ymonière ; laboureur à la Tenaillère, il épouse le 8 juin 1841 à Saint-Christophe-du-Ligneron, Marie ALLAIRE, domestique à la Gilbretière du Bois, Saint-Christophe-du-Ligneron, née le 29 septembre 1812 aux Petites Raillères, Challans, fille de feu Louis ALLAIRE, journalier, décédé à Challans le 2 juillet 1824, et de feue Marie RABILLER, décédée à Challans le 22 novembre 1832. Présents au mariage Jacques MERIAU, père du marié, laboureur (selon le maire, métayer selon le curé) et Marie JARNY sa mère, de la Tenaillère ; témoins Pierre JARNY, laboureur, de la Tenaillère, oncle de l’époux, Louis POTEREAU, laboureur, de la Beltière, oncle par alliance de l’époux, Guillaume ALLAIRE, journalier, des Echarneaux, Challans, frère de l’épouse, Jean MERIEAU, laboureur, de la Tenaillère, frère de l’époux. Marie décède à la Fradelière, Saint-Etienne-du-Bois, cultivatrice, le 11 décembre 1882, déclaration le même jour par Laurent BIRON, maçon, de la Fradelière, Saint-Etienne, son ami et voisin, et Eugène DINAUD, chaisier, du bourg, Saint-Etienne, aussi son ami. Jacques décède à la Fradelière, Saint-Etienne-du-Bois, le 18 mai 1893, déclaration le même jour par Pierre MÉRIEAU, journalier, de la Fradelière, Saint-Etienne, ami et voisin du défunt, et Léon RENAUD, tisserand, du bourg, Saint-Etienne, non parent du défunt, qui le déclarent veuf de Marie JARNY et fils de Marie ALLAIRE...

5a) Jacques MERIEAU, né le 22 avril 1842 à la Tenaillère, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de son grand-père Jacques MÉRIEAU, laboureur, de la Tenaillère, et de son grand-oncle Pierre JARNY, laboureur, de la Tenaillère, (parrain Jacques MÉRIEAU son grand-père, marraine Rose MÉRIEAU sa tante), date de décès à trouver.

5b) Jean Louis MERIAU, né le 9 décembre 1843 à la Tenaillère, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de François MÉRIEAU et Jacques MÉRIEAU, tous deux laboureurs, de la Tenaillère, ses oncles (parrain François MÉRIEAU son oncle, marraine Marie MÉRIEAU sa tante) ; il épouse le 16 juin 1874 à Saint-Etienne-du-Bois, Marie Victoire FERRET, née le 14 septembre 1851 à Grand’Landes, servante à Grand’Landes, fille naturelle de défunte Marie Anne FERRET, journalière. Présents et consentant au mariage Jacques MERIEAU, cultivateur, de la Fradelière, Saint-Etienne-du-Bois père de l’époux, Marie ALLAIRE, sa mère, cultivatrice ; témoins Jacques et Aimé MERIEAU, tous deux cultivateurs, frères de l’époux, de la Fradelière, Jacques MERIEAU, journalier, ami de l’épouse, de la Jaubretière, Falleron, et Jean Cantin, cantonnier, ami de l’épouse, de la Fradelière, qui signe. Dates de décès à trouver pour Jean Louis et Marie.

5c) Jean Aimé MERIAU, né le 25 mai 1846 à la Tenaillère, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de ses oncles Jacques et François MÉRIEAU, laboureurs, de la Tenaillère, date de décès à trouver.

5d) Germain Joseph MERIAU, né le 5 novembre 1848 à la Tenaillère, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Joseph MÉRIEAU, son oncle, laboureur, de la Tenaillère, et Jacques MÉRIEAU, son grand père, laboureur, de la Tenaillère, (parrain Joseph MÉRIEAU, marraine Rosalie MÉRIEAU), décédé le 9 août 1856 à la Viollière, Grand’Landes, déclaration par François et Jacques MERIAU, cultivateurs, de la Violière, ses oncles.

4b) Marie Magdeleine MÉRIAU, née le 2 juin 1817 à la Tenaillère, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le même jour par son père en présence de Pierre JARNIS, laboureur, la Tenaillère, son oncle du côté maternel, et Pierre CHAUPIN, sabotier, du Chef lieu de la commune ; le 3 février 1858, elle épouse à Grand’Landes Jean Baptiste IVRENOGEAU, journalier aux Dronières, né le 19 juin 1813 à Grand’Landes, veuf de Magdeleine PAPON, fils de feu Jean IVRENOGEAU et de Marie CORNU. Présentes au mariage Marie CORNU, journalière, de la Bourie, Légé (Loire-Inférieure), mère du marié, et Marie JARNY, cultivatrice, de la Violière, mère de la mariée ; témoins Joseph IVRENOGEAU, de la Bourie, Légé, cultivateur, et Pierre MOLLÉ, maçon, des Dronières, François et Jacques MERIAU, de la Violière. D’où postérité. Les dates de décès de Marie Magdeleine et de Jean Baptiste restent à trouver.

4c) Jean ou Jacques MERIAU, né à la Tenaillère, Saint-Christophe-du-Ligneron le 12 mars 1819 et baptisé Jean le 13 (parrain Pierre JARNY, marraine Marie MICHINEAU) selon le registre de catholicité, ou né le 13 mars 1819 et nommé Jacques le 14 par Jacques MERIAU son père, laboureur, de la Tenaillère, en présence de Jacques VOISIN, laboureur, des Ardières, et de François LUCA, journalier, du chef-lieu, selon le registre d’état civil ; laboureur, de la Tenaillère, sous le double prénom de Jean Jacques, il épouse le 6 juin 1848, à Saint-Christophe-du-Ligneron, Marie CLAUTOUR, cultivatrice, née le 30 avril 1819 à l’Heubretière, Saint-Christophe-du-Ligneron, fille de feu Jean CLAUTOUR, laboureur, décédé le 2 juillet 1827 à l’Heubretière Saint-Christophe-du-Ligneron, et de Rose GAUVRIT. Présents et consentant Jacques MERIEAU, laboureur, et Marie JARNY, de la Tenaillère, parents du marié, et Rose GAUVRIT, de l’Heubretière, cultivatrice, mère de la mariée ; témoins François MÉRIEAU, laboureur, de la Tenaillère, frère de l’époux, Jacques RENAUD, même profession, de la Sortière, beau-frère de l’époux, qui signe, Pierre CLAUTOUR, laboureur, de l’Heubretière, frère de l’épouse, Jean CLAUTOUR, laboureur, de l’Heubretière, frère de l’épouse. Marie décède le 19 juin 1853 à L’eubretière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Jean et Pierre CLAUTOUR, ses frères, tous deux laboureurs, de L’eubretière. Attention aux noms de lieux : il existe sur Saint-Christophe-du-Ligneron à la fois une Hubertière et une Herbretière. Laquelle des deux métairies se cache-t-elle sous le nom de l’Heubretière/L’eubretière ? Il faut bien lire l’Hubertière, le recensement de 1851 le confirme. En conseil de famille réuni le 11 juin 1859 sous la présidence d’Aimé Alexandre Prosper GIBOTTEAU, juge de paix du canton de Palluau, Jean Jacques fait nommer subrogé tuteur de ses enfants mineurs Marie et Pierre leur grand oncle maternel André GAUVRIT, cultivateur, des Baretières, Grand’Landes. De nouveau prénommé Jean et dit métayer par le curé, et Jacques et dit laboureur par le maire, Jean Jacques épouse ensuite, le 29 juin 1863, encore à Saint-Christophe-du-Ligneron, Rosalie CHAUVET, journalière, de la Gilétière, née à Challans le 2 septembre 1827, déjà veuve en second mariage de Pierre NAULEAU, fille de Pierre CHAUVET, laboureur, décédé à la Garnache, et de Marie IVERNOGEAU, cultivatrice, décédée à Froidfond ; témoins Jacques Pierre MÉRIAU, laboureur, frère de l’époux, de Grand’Landes, Jean JARNY, laboureur, oncle de l’époux, de Saint-Christophe-du-Ligneron, Jacques CHAUVET, journalier, frère de l’épouse, de la Garnache, Jacques MÉRIAU, laboureur, ami de l’épouse, de Grand’Landes. Pas de postérité connue pour cette seconde union. Rosalie décède journalière le 7 novembre 1879 à la Gilletière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Louis JARNY, cultivateur, de la Gilletière, cousin de la défunte, Jean NAULEAU, cultivateur, de la Gilletière, ami de la défunte. Quant à Jean Jacques, il décède après 1879, à une date restant à trouver.

5a) Marie Rosalie Victoire MERIAU, née le 25 octobre 1849 à l’Hubretière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Jean CLAUTOUR, laboureur, de l’Hubretière, oncle de l’enfant, et Clovis CANTIN, sacristain, du chef lieu, ami du déclarant, qui signe ; elle épouse à Aizenay, le 24 septembre 1872, Louis Joseph BROCHARD, cultivateur, né au Poiré-sur-Vie le 13 septembre 1842, fils de Joseph BROCHARD et de Jeanne BAUCHET. Date de décès à trouver

5b) Pierre MERIAU, né le 23 septembre 1851 à Leubretiere, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jean et Pierre CLAUTOUR, laboureurs, les deux de Leubretière, oncles de l’enfant ; domestique, domicilié à Coëx, il y épouse, le 11 janvier 1876, Marie Azéline Florentine TESSIER, cultivatrice, née à Mareuil le 20 juillet 1856, fille de Pierre François TESSIER cultivateur, et de Marie Joséphine AUNEAU, cultivateurs, de Coëx ; témoins Joseph BROCHARD, cultivateur, beau-frère de l’époux, de Coëx, Pierre BROCHARD, cultivateur, de Coëx, ami de l’époux, Jean GAUDIN, coquetier, oncle de l’épouse, de Saint-Florent-des-Bois, Aimé MÉRIAU, notaire, ami de l’épouse, d’Apremont Signent les époux, le père de l’épouse, Aimé MÉRIAU, Jean GAUDIN et Pierre BROCHARD. Dates de décès à trouver.

5c) Jean Louis MÉRIAU, né le 9 juin 1853 à Leubretiere, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jean et Pierre CLAUTOUR, ses oncles, laboureurs, de l’Erbretiere ; décédé le 11 juin 1853 à Leubretiere, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par les mêmes. Sa mère décède huit jours plus tard.

4d) Pierre MERIAU, né le 2 avril 1821 à la Tenaillère, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Pierre JARNY, laboureur, de la Tenaillère, son oncle, et Louis POTEREAU, aussi laboureur ; cultivateur, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 25 octobre 1853, Louise VOISIN, cultivatrice, née le 17 mai 1819 à Saint-Christophe-du-Ligneron, fille de feu Jacques VOISIN, décédé le 14 février 1836 aux Ardières, Saint-Christophe-du-Ligneron, et de Marie Anne GUIOCHET, cultivatrice. Présentes et consentant au mariage Marie JARNY, cultivatrice, mère de l’époux, et Marie Anne GUOCHET, mère de l’épouse ; témoins François MÉRIAU, laboureur, de la Tenaillère, frère de l’époux, Joseph Aimé MÉRIAU, laboureur, de la Tenaillère, frère de l’époux, Jacques VOISIN, laboureur, des Ardières, frère de l’épouse, Louis FERRÉ, journalier, de la Tisonière, beau frère de l’épouse. Louise décède le 8 mars 1862 à la Boisselière, Grand’Landes, déclaration par Jacques MERIAU, de la Boisselière, son beau-frère, et Jacques VOISIN, cultivateur, de Saint-Christophe, son frère. Cultivateur, Pierre prend pour seconde épouse le 9 octobre 1865 à Grand’Landes, Eulalie Eugénie FAVREAU, née le 6 novembre 1832 à Rocheservière, cultivatrice à Saint-Etienne-du-Bois, veuve de Pierre LOCTEAU, décédé à Saint-Paul-Mont-Penit, cultivateur, fille de Joseph FAVREAU et de Jeanne HERVOUET, les deux décédés à Saint-Etienne-du-Bois ; témoins au mariage Jean Louis MERIAU, neveu de l’époux, et Jacques MERIAU, frère de l’époux, les deux cultivateurs à Grand’Landes, Pierre FAVREAU, frère de l’épouse, cultivateur, qui signe, et Jean LUBINEAU, propriétaire, ami de l’épouse, de Falleron, qui signe. Pas de postérité connue pour cette union. Sous les prénoms d’Eulalie Eudoxie, cette seconde épouse décède le 9 décembre 1866 à la Grande Villeneuve, Saint-Etienne-du-Bois, déclaration faite le 11 par Pierre FAVREAU, son frère, et Charles TENAILLEAU, tous deux cultivateurs, de la Grande Villeneuve. Journalier, de la Joubretière, Pierre épouse en troisième mariage à Falleron, le 13 mai 1872, Louise ROBIN, née le 23 septembre 1833 à Saint-Paul-Mont-Penit, cultivatrice, de la Joubretière, Falleron, veuve de Jean GIRAUDEAU, fille de feu Joseph ROBIN, sabotier, de Saint-Paul-Mont-Penit, et de feue Jeanne JARNY, cultivatrice ; témoins au mariage Jacques et François MERIAU, journaliers, de Falleron, frères du marié, Joseph ROBIN, sabotier, de Saint-Paul-Mont-Penit, frère de la mariée, et Pierre COUTUY, marchand, de Falleron, ami de la mariée, qui signe. Louise décède le 8 août 1875 à la Joubretière, Falleron, déclaration le même jour par Jean Joseph ROBIN, sabotier, de Saint-Paul-Mont-Penit, son frère, et Jacques MERIEAU, journalier, de la Joubretière, Falleron, son beau-frère. Trois fois veuf, Pierre décède le 9 septembre 1894 au Fief Sorin, Froidfond, déclaration le 10 par Alexandre MORINEAU, cultivateur, de Froidfond, son gendre, et Germain SIRE, cultivateur, de Froidfond, son ami.

5a) Aimée Joséphine MERIAU, née à la Viollière, Grand’Landes, le 10 mai 1855, déclaration par son père en présence de Joseph et Louis COUTAUD, tous deux cultivateurs, cousins issus de germain de l’enfant ; servante, de Lubertière, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 21 novembre 1876, Auguste Marie Joseph GUILBAUD, cultivateur, né le 6 juillet 1848 à la Brosse, Saint-Paul-Mont-Penit., fils de François GUILBAUD et de Marie VIOLLEAU, de Lubertière. Présents et consentant au mariage François GUILBAUD et Marie VIOLLEAU, cultivateurs, de Lubertière, père et mère du marié, et Pierre MÉRIEAU, domestique à Palluau, père de la mariée ; témoins Jean Louis GUILBAUD, cultivateur, frère de l’époux, de Lubertière, Baptiste MORNET, cultivateur, oncle de l’époux, de la Forêt, qui signe, Jean MÉRIEAU, journalier, oncle de l’épouse, de la Gibretière, Jean Louis MÉRIEAU, cultivateur, cousin de l’épouse, de Saint-Etienne-du-Bois. Date de décès d’Auguste et d’Aimée à trouver.

5b) Clémentine MERIAU, née le 21 juillet 1857 à la Viollière, Grand’Landes, déclaration par son père en présence de Jacques MERIAU, laboureur, de la Violière, son oncle et parrain, et Louis COUTAUD, cousin de l’enfant, laboureur ; domestique, elle épouse sans contrat à Falleron, le 18 juin 1884, Alexandre Jean Marie MORINEAU, né le 28 février 1845 à Challans, cultivateur à Froidfond, fils des feus Jean Louis MORINEAU et Marie PINSON, de leur vivant agriculteurs à Froidfond ; témoins au mariage Pierre MORINEAU, tisserand, oncle de l’époux, de Landeronde, François CHOTARD, cultivateur, beau-frère de l’époux, de Froidfond, Jean MÉRIAUD, journalier, oncle de l’épouse, de Falleron, Auguste GUILBAUD, cultivateur, beau-frère de l’épouse, de Saint-Christophe-du-Ligneron. Aucun ne signe. Date de décès d’Alexandre et de Clémentine à trouver.

5c) Angèle Constance MERIAU, née le 14 février 1860 à la Viollière, Grand’Landes, déclaration par son père en présence de Jean-Louis DURANTEAU, tisserand au Bourg, ami de la famille, et Louis ROTHAIS, cultivateur à Grand’Landes et ami ; décédée sous les prénoms de Constance Rosalie le 26 août 1864 à la Boisselière, Grand’Landes, déclaration par Pierre MÉRIEAU et François MÉRIEAU, son père et son oncle, tous deux cultivateur, de la Boisselière.

5d) Marie Rosalie Olive MÉRIAU, née du second lit le 1er août 1875 à la Joubretière, Falleron, déclaration le 2 par son père en présence de François et Jacques MÉRIAU, journaliers, de la Joubretière, ses oncles paternels. Sa mère meurt huit jours plus tard. Date de décès à trouver. L’absence de mention marginale laisse supposer une mort jeune.

4e) François MERIAU, laboureur, né le 12 février 1823 à la Tenaillère, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 13 par son père en présence de Jean JARNY, laboureur, de la Tenaillère, son oncle, et Clovis CANTIN, sacristain, du Chef-lieu de la commune ; laboureur, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 15 juillet 1851, Marie CANTIN, née le 13 mai 1822 au Moulin Neuf, Commequiers, tailleuse, fille de Pierre CANTIN, meunier, né le 24 octobre 1778, décédé le 2 mars 1838, et de Marie (curé) Françoise (maire) BARREAU, née à la Petite Sauvagère de Commequiers le 16 juin 1785, décédée le 25 janvier 1851 à Saint-Christophe-du-Ligneron. Présents et consentant au mariage Jacques MÉRIAU et Marie JARNY, père et mère du marié ; témoins Pierre et Joseph MÉRIAU, laboureurs, de la Tenaillère, frères de l’époux, Baptiste PÉROCHAUD, sabotier, le Chatelier, beau frère de l’épouse, Jean CANTIN, tisserand, du chef lieu de Saint-Méxent, frère de l’épouse. Journalière, Marie décède à la Joubretière, Falleron, le 14 mai 1873, déclaration le 15 par Pierre et Jacques MÉRIEAU, journaliers, de la Joubretière, ses beaux-frères. François décède au bourg de Falleron le 7 décembre 1893, déclaration par son fils François MÉRIEAU, charpentier, et Joseph PLUMET, journalier, ami et voisin du défunt.

5a) Pierre François MÉRIAU, né le 20 mai 1852 à la Tenaillère, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jacques MÉRIAU, laboureur, de la Tenaillère, son grand-père, et Pierre MÉRIAU, laboureur, de la Tenaillère, « oncle et parrain » de l’enfant (mention très rare sur un acte civil), baptisé le 23 (parrain Pierre MÉRIAU son oncle, marraine Marie HALLERE) ; charpentier, du bourg de Falleron, il épouse sans contrat à Falleron, le 28 janvier 1891, Clémentine PAJOT, née le 2 novembre 1857 à Falleron, journalière à la Grande Haie, veuve de François BARIL, fille de Jean Louis PAJOT, charpentier, de la Grande Haie, Falleron, et de feue Marie BOUCARD, de son vivant ménagère (Clémentine signe son acte de mariage) ; témoins au mariage Elie NICOLLEAU, forgeron, ami de l’époux, de Falleron, qui signe, Henri LEGAST, cultivateur, ami de l’époux, de Falleron, qui signe, Jacques MÉRIAU, cultivateur, ami de l’épouse, de Falleron, Aimé MERIAU, cultivateur, ami de l’épouse, de Falleron, qui signe. Date de décès à trouver pour Pierre et Clémentine.

6a) Marie Ange Adélina Flavie MÉRIEAU, née le 28 octobre 1891 au Bourg, Falleron, déclaration par son père en présence d’Elie BOIZARD, maréchal ferrand, du bourg, ami du père, qui signe, et Jean-Louis PAJOT, charpentier, de la Grande Haie, Falleron, grand-père maternel ; en marge : contracté mariage le 27 février 1924 à Saint-Etienne-du-Bois avec Alphonse Pierre AUGISEAU, décès à Orvault (Loire-Atlantique) le 11 novembre 1986.

6b) Agnès Marthe Marie MÉRIEAU, née le 7 octobre 1893 au Bourg, Falleron, déclaration par son père en présence de François MERIEAU, journalier, du bourg, Falleron, aïeul paternel, et Joseph PLUMET, journalier, du bourg, Falleron, ami et voisin du père. Pas de mention en marge. Date de décès à trouver.

5b) Marie Pélagie Françoise MERIAU, née le 6 novembre 1861 à Grand’Landes, déclaration par son père en présence de Jean-Louis GUILLOT, maçon, ami, qui signe, et Théodore Louis ESGONNIERE, instituteur, aussi ami, qui signe ; couturière, elle épouse sans contrat à Falleron, le 7 janvier 1885, Alexandre VENNAT, né le 21 août 1859 à Moustier-Ventadour, (Corrèze), cordonnier, fils de Jean VENNAT, cultivateur à Moustier-Ventadour, et de feue Léonarde FAUGERAS de son vivant cultivatrice ; témoins Jean CHARTAUD, cultivateur, ami de l’époux, de Falleron, François MÉRIAU, charpentier, beau-frère de l’époux, de Falleron, Benjamin CAVOLEAU, maréchal, ami de l’épouse, de Falleron, Adolphe SORIN, boulanger, ami de l’épouse, de Falleron ; les époux signent, ainsi que CAVOLEAU et SORIN. Dates de décès à trouver pour Marie et Alexandre.

4f) Joseph MERIAU, né le 9 février 1826 à la Tenaillère, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Pierre JARNY, laboureur, de la Tenaillère, et Jean JARNY, laboureur, de la Tenaillère, tous deux oncles maternels de l’enfant ; décédé le 25 mai 1826 au même lieu, déclaration par Jacques GENAUDEAU, laboureur, de la Marcelière, et Jean BIRON, laboureur, du Pouillot, amis du défunt.

4g) Victoire MERIAU, née le 28 décembre 1827 à la Tenaillère, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jean et Pierre JARNY, oncles de l’enfant, laboureurs, de la Tenaillère ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 16 février 1848, Jacques Etienne Louis Désiré RENAUD, laboureur, de la Sortière, né le 14 mars 1818 à la Guitonnière, Commequiers, fils d’Etienne RENAUD, laboureur, décédé le 10 avril 1832 aux Galussières, Commequiers, et de Magdeleine RABILLER, cultivatrice. Présents et consentant au mariage Magdeleine RABILLER, mère du mariée, Jacques MÉRIEAU, laboureur pour le maire, métayer pour le curé, et Marie JARNY, père et mère de la mariée ; témoins Jacques RABILLER, laboureur, de la Guitonnière, Commequiers, oncle de l’époux, Jean RENAUD, laboureur, de la Sortière, frère de l’époux, Jacques et François MÉRIEAU, laboureurs, de la Tenaillère, frères de l’épouse. L’époux signe avec deux amis, Jean CAUVEAU et un certain BOURMAUD. Victoire décède le 21 août 1875 à la Furetière, Saint-Paul-Mont-Penit. Date de décès à trouver pour Jacques son mari.

4h) Joseph Aimé MERIAU, né le 3 octobre 1829 à la Tenaillère, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Pierre et Jean JARNY, laboureurs, de la Tenaillère, tous deux oncles par alliance de l’enfant ; décédé le 23 août 1855 à l’hôpital de « Vatna, en Affrique », cavalier au Cinquième Hussards, acte reporté sur le registre de Saint-Christophe le 19 octobre suivant. Il convient sans doute de lire Batna, en Algérie, ville où l’armée française a fondé un hôpital militaire effectivement. De fait, de 1855 à 1859, le 5e Hussards est bien cantonné en Algérie.

4i) Rosalie MERIAU, née le 28 janvier 1834 à la Tenaillère, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 29 par son père en présence de Pierre et Jean JARNY, ses oncles, tous deux laboureurs, de la Tenaillère ; « cultivateur », elle épouse à Grand’Landes, le 9 octobre 1865, Jean Louis BARREAU, domestique à Légé, Loire-Inférieure, né le 17 février 1841, fils de Pierre BARREAU, journalier, décédé à Grand’Landes, et de Marie-Anne Françoise BOUDELIER, journalière, décédée à Saint-Etienne-du-Bois ; témoins Jacques MERIAU, cultivateur, neveu de l’époux, des Boisselières, Jacques MERIAU, cultivateur, beau-frère de l’époux, de Grand’Landes, Jacques RENAUD, cultivateur, beau-frère de l’épouse, de Saint-Christophe, qui signe, et Jacques MERIAU, cultivateur, frère de l’épouse, de Grand’Landes. Il apparaît que les témoins sont des frères ou neveux de l’épouse ; l’époux n’a pas de famille sur place. Date de décès à trouver pour Rosalie et pour Jean Louis. 

4j) Jacques Pierre MERIAU, né le 20 décembre 1835 à la Tenaillère, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jean et Pierre JARNY, laboureurs, tous deux de la Tenaillère, oncles de l’enfant.; cultivateur, il épouse à Falleron, le 15 février 1860, Pélagie PIFTEAU, née le 28 février 1839 à Falleron, cultivatrice, fille de François PIFTEAU, cultivateur à Falleron, et de Marie CORNETEAU, décédée. Présents et consentant Marie JARNY, mère de l’époux, cultivatrice, demeurant à Grand’Landes, et François PIFTEAU, père de l’épouse ; témoins Jacques et François MÉRIEAU, cultivateurs, de Grand’Landes, frères de l’époux, François CORNETEAU, meunier, de Falleron, oncle de l’épouse, Pierre PRAUD, cultivateur, de Grand’Landes, cousin de l’épouse. Dates de décès à trouver pour Jacques Pierre et Pélagie.

5a) Aimé Jules Jean MERIAU, né le 22 juin 1865 à la Boisselière, Grand’Landes, déclaration le 23 par son père en présence de Pierre PEROCHEAU, farinier, de la Grande Villeneuve de Saint-Etienne-du-Bois, ami, et Jacques MERIAU, cultivateur, de la Boisselière, oncle de l’enfant ; cultivateur, il épouse sans contrat à Falleron, le 17 juin 1888, Mélanie Adèle ROY, née le 17 septembre 1867 à Touvois, domestique à Falleron, fille de Julien ROY et de Madeleine BOUCARD, journaliers à Falleron ; témoins Aimé MÉRIEAU, cultivateur, cousin germain de l’époux, de Saint-Etienne-du-Bois, qui signe, Eugène PIFTEAU, cultivateur, oncle de l’époux, de Falleron, François et Pierre ROY, journaliers, frères de l’épouse, le premier de Falleron, le second de Touvois, qui signent tous deux. Dates de décès à trouver pour Aimé et Mélanie.

6a) Mélanie Pélagie Marie MÉRIEAU, née le 18 mai 1889 à la Jaubretière, Falleron, déclaration par son père, journalier, en présence de Jacques MÉRIEAU, journalier, de la Jaubretière, son grand-père paternel, et Julien ROY, journalier, du bourg de Falleron, son grand-père maternel. Le père signe. En marge : contracté mariage à Grand’Landes le 30 mai 1910 avec Henri Louis BARRETEAU, décédée à Saint-Etienne-du-Bois le 4 décembre 1956.

6b) Marie Elisabeth Blondine MÉRIEAU, née le 22 mars 1892 à la Jaubretière, déclaration par son père, cultivateur, qui signe, en présence de Jacques MÉRIEAU, cultivateur, de la Jaubretière, son grand-père paternel, et Julien THOMAS, journalier, de la Jaubretière, « ami et voisin au père ». En marge : décédée à Légé (Loire Atlantique) le 13 janvier 1975.

3j) Jacques MERIAU, né le 3 décembre 1790 à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le même jour (parrain Léon LEGAS, marraine Jeanne LEGAS), décédé à une date inconnue (entre 1792 et 1796 ?). Sans postérité connue.

2b) René MERIAU, jumeau du précédent, baptisé le 12 septembre 1746 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain René MERIAU son grand-père, marraine Louise MERIAU), préalablement « ondoyé à la maison par Marie Grondin sage femme qui l’a jugé en très grand danger et luy a donné le baptême avec un plein jugement et sans aucune préoccupation ni surprise, comme elle l’a elle même attesté », inhumé le 7 octobre 1746 à Saint-Christophe-du-Ligneron, son père présent.

2c) Marie MERIAU, fille posthume, baptisée le 14 avril 1748 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain Charles MERIAU, marraine Marie CHARON) ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 20 septembre 1774, Pierre CANTIN, meunier, fils de Jacques CANTIN et de Jeanne BOSSÉ, de Commequiers. D’où postérité. Marie décède le 4 décembre 1787 aux Habites (ancienne paroisse désormais rattachée à Apremont), et est inhumée le 5 en présence de Pierre CANTIN, meunier, son mari Jacques MERIAU son frère, Jacques CANTIN son beau-frère, Alexandre CHAUVIN et Jean CHAUVIN ses frères de mère. Date de décès à trouver pour Pierre.

1c) René MERIAU, né vers 1714 ; il épouse à Coudrie (ancienne paroisse aujourd’hui rattachée à Challans) le 12 février 1749, Marie Jeanne JOLY, née vers 1723, fille de feu Estienne JOLY et de défunte Marie CHAUVET. Acte curieusement inscrit dans le registre de Coudrie ET dans celui de Saint-Christophe-du-Ligneron. Témoins René MERIAU, père du proparlé, Pierre MERIAU son frère, et Pierre TRICHET, qui signe, son beau-frère, Charles, Mathurin et Pierre JOLY, frères de la proparlée, Mathurin RIDOLET et Luc BOUHIER ses beaux-frères. Signe aussi un certain Pierre GIRARD. Marie Jeanne décède le 7 juin 1781 à la Benetière, Challans et est inhumée le lendemain au cimetière de Coudrie en présence de son mari et de Jacques MERIAU son fils. René décède le 7 mars 1786 à la Benetière, Challans, et est inhumé lui aussi au cimetière de Coudrie en présence de Jacques MERIAU son fils et de René GILET son gendre.

2a) René MERIAU, né à Coudrie et baptisé à Challans le 19 décembre 1749 (parrain Pierre JOLY, marraine Renée BOUYER), décédé aux Echarnaux, Challans et inhumé le 9 septembre 1756 en présence de René MERIAUX son père, des écharnaux, et de René CHAUVIN.

2b) Jean MERIAU, jumeau du précédent, né à Coudrie et baptisé à Challans le 19 décembre 1749 (parrain Jean GUILLET, marraine Suzanne JOLY), décédé le 26 mars 1750 à Challans, selon les tables du chanoine BOUTIN, qui pallient par chance l’absence du registre perdu de 1750.

2c) Marie Jeanne ÉMERIAU, née à Challans, baptisée le 6 février 1752 (parrain Charles JOLY, marraine Germaine BRETHE), décédée le 4 brumaire an XIV (26 octobre 1805) à la Mérandoire, la Garnache, déclaration par Jacques MERIAU, des Mérandoires, frère de la décédée, et René GILLET, laboureur, beau-frère de la décédée.

2d) Pierre MERIEAU, né aux Echarnaux, Challans, baptisé le 2 janvier 1755 (parrain Pierre CHEVRIER, marraine Renée BOUHIER), décédé aux Echarnaux, Challans et inhumé le 12 janvier 1755 en présence de René MERIEAU son père et de Charles JOLY son oncle.

2e) Françoise Louise ÉMERIAUD, connue adulte sous le prénom de Louise, née aux Echarnaux, Challans, baptisée le 21 mai 1756 (parrain Jacques MORINEAU, marraine Renée MOUILLEAU),; elle épouse à la Garnache, le 11 février 1783, René GILLET, fils mineur de Pierre GILLET, laboureur, et d’Anne BOURON, en présence de Pierre GILLET, père du proparlé, Pierre GILLET son frère, Jean GILLET, René MÉRIAU, père de la proparlée, Jacques MÉRIAU son frère, Louis MERIAU son cousin germain (première apparition notée de l’accent très net sur le É). D’où postérité. René décède laboureur le 24 octobre 1823 à la Barre, la Garnache, déclaration le 25 par Pierre GILLET, laboureur, fils du décédé, et Alexis MERIEAU, laboureur, gendre du décédé. Louise décède le 7 septembre 1827 à la Barre, la Garnache, déclaration le 8 par Louis MERIEAUX, laboureur, de la Barre, gendre de la décédée, Pierre GILLET, laboureur, de la Barre, fils de la décédée.

2f) Jacques René MERIAU, connu adulte sous le prénom de Jacques né aux Echarnaux, Challans, baptisé le 28 janvier 1758 (parrain Jacques PAJOT, qui signe, marraine Marie Jeanne JOLLY) ; il épouse à Challans, le 7 février 1781, Marie Magdeleine PEIGNÉ, connue adulte sous le prénom de Marie, née le 5 février 1755 à Challans, fille de Michel PEIGNÉ et de Modeste DANIEL, décédés avant 1781 ; témoins René MERIAU, père de l’époux, Pierre JOLY son cousin germain maternel, Etienne PEGNÉ et Michel PEGNÉ, frères de l’épouse. Marie décède le 18 nivôse an IX (8 janvier 1801) à la Benetière, Challans, déclaration le 19 par Louis PEIGNÉ, de la Juisière, Challans, journalier, frère de la défunte, et André BARILLON, de la Caillotière, Challans, laboureur, neveu de la défunte. Jacques décède à la Corbelière (auj. la Corbilère), la Garnache, le 17 octobre 1818, déclaration le 18 par René MERIEAU, laboureur, de la Corbelière, fils du décédé, et René GILLET, laboureur, de la Barre, beau-frère du décédé.

3a) René MERIAU, né le 22 avril 1783 à la Benetière, Challans, baptisé le même jour (parrain René MERIAU son grand-père, marraine Marie MERIAU sa tante) ; laboureur, il épouse à Challans, le 16 février 1814, Marie Jeanne BARREAU, née le 14 décembre 1786, de la Benetière, Challans, fille de Jacques BARREAU, laboureur, et de Marie MERCERON, de la Benetière ; témoins Joseph MERIAU, laboureur, de la Benetière, frère de l’époux, Jean GILLET, laboureur, de la Barre de la Garnache, cousin germain de l’époux, Jacques BOIZIEAU, cultivateur, du village de la Merandoire de la Garnache, beau-frère par alliance de l’épouse, et Pierre GILLET, laboureur, du village de la Barre de la Garnache, ami de l’épouse. Marie Jeanne décède le 6 février 1826 à la Corbelière, la Garnache, déclaration par Joseph DUGUÉ, laboureur, beau-frère de la décédée, Pierre PAJOT, domestique, tous deux demeurant séparément au village de la Corbelière. Laboureur, de la Corbelière, la Garnache, René épouse en seconde union à la Garnache, le 4 juin 1828, Marie GUYOCHET, née le 30 thermidor an VIII (18 août 1800) à Froidfond, journalière, de la Corbelière, fille de Jean GUYOCHET, décédé le 28 janvier 1820 à la Tougerie, Froidfond, et de Marie LEGATS, présente et autorisante ; témoins à ce second mariage Jacques DUGUÉ, laboureur, de la Corbelière, beau-frère du futur époux, André ALLAIRE, laboureur, de la Corbelière, ami du futur époux, François LEGATS, laboureur, de la Mérandoire, oncle maternel de la future épouse, Jean GUYOCHET, maçon, de la Tougerie, commune de Froidfond, beau-frère de la future épouse. René décède le 16 février 1849 à la Corbelière, la Garnache, déclaration par Michel CROCHET, laboureur, et Pierre ROCAND, laboureur, de la Corbilière, voisins du défunt. Marie décède le 4 mai 1873, cultivatrice, de la Margotière, Challans, déclaration le 5 par ses fils René MÉRIEAU, cultivateur, de la Margotière, Challans, et Honoré MÉRIEAU, cultivateur, de Froidfond.

4a) Jacques MERIAU, né le 7 décembre 1814 à la Benetière, Challans, déclaration le même jour par son père en présence de Jacques MERIAU et Jacques BARREAU, les deux laboureurs, de la Benetière ; décédé le 11 décembre 1825 à la Corbelière, la Garnache, « chez son père », déclaration par André ALLAIRE, laboureur, et Pierre PAJOT, domestique, les deux demeurant au village de la Corbelière, voisins du décédé.

4b) René MERIAU, née le 24 janvier 1816 à la Benetière, Challans, déclaration le 26 par son père en présence de Jacques BARREAU, laboureur, et Jacques MERIAU, laboureur, ayeuls de l’enfant, tous deux de la Benetière de Challans ; il épouse à la Garnache, le 3 février 1850, le même jour où son frère Pierre épouse Magdeleine GUÉDON, Thérèse CHANTREAU, tailleuse, née le 8 octobre 1817 à la Garnache, fille de Louis CHANTREAU, cultivateur, et de Marie ROCAND, de l’Herbretière, présents ; témoins Pierre GUÉDON, cultivateur, de la Chenelière, ami de l’époux, François MERIEAU, cultivateur, de la Corbilière, frère de l’époux, Pierre GUILLOT, cultivateur, de la Sauzaie, oncle de l’épouse, Jean ROCAND, cultivateur, de la Poirière, oncle de l’épouse. Pas de postérité connue. Dates de décès à trouver pour René et pour Thérèse. 

4c) Joseph MERIAU, né le 6 décembre 1817 à la Benetière, Challans, déclaration le même jour par son père en présence de Jacques MERIAU, ayeul paternel, et Jacques BARREAU, ayeul maternel ; décédé le 6 octobre 1820 à la Corbelière, la Garnache, déclaration par René MERIEAU, laboureur, père du décédé, et Joseph MERIEAU, laboureur, oncle du décédé, les deux du village de la Corbelière.

4d) Pierre MERIEAU, né le 27 février 1820 à la Corbelière, la Garnache, déclaration par son père en présence de Pierre MARTIN, domestique, et Germain LAIDAIN, cultivateur, tous deux de la Corbelière, amis du père ; il épouse à la Garnache, le 3 février 1850, le même jour où son frère René épouse Thérèse CHANTREAU, Magdeleine Félicité GUÉDON, née le 17 septembre 1827 à la Chenelière, la Garnache, fille de Pierre GUEDON, décédé à la Garnache le 28 mars 1838, et de Marie GROUSSIN, décédée à la Garnache le 20 novembre 1832 ; témoins au mariage : les mêmes qu’au mariage de René et Thérèse le même jour. Pierre décède le 26 septembre 1883 à la Corbelière, la Garnache, déclaration par Louis MÉRIEAU, fils du défunt, et François MÉRIEAU, frère du défunt, cultivateurs, de la Garnache. Date de décès à trouver pour Magdeleine.

5a) Pierre René MÉRIEAU, né le 20 avril 1851 à la Corbilière, la Garnache, déclaration par son père en présence de René MÉRIEAU et François MÉRIEAU, cultivateurs, de la Corbilière, oncles de l’enfant ; décédé le 17 mai 1851 à la Corbilière, la Garnache, déclaration par les mêmes témoins qu’à sa naissance.

5b) Aimé Pierre MÉRIEAU, connu adulte sous le prénom de Pierre, né le 25 mai 1852 à la Corbilière, la Garnache, déclaration par son père en présence de René MÉRIEAU et François MÉRIEAU, cultivateurs, demeurant ensemble à la Corbilière, oncles de l’enfant ; il épouse à la Garnache le 8 novembre 1876 Marie Clémence Joséphine GAUTIER, connue adulte sous le prénom de Joséphine, née le 23 juin 1853 à la Garnache, fille de Joseph GAUTIER, cultivateur, et de Victoire BARREAU ; témoins François MÉRIEAU, cultivateur, oncle de l’époux, de la Garnache, René MÉRIEAU, cultivateur, oncle de l’époux, de Challans, Joseph GAUTIER, cultivateur, frère de l’épouse, de la Garnache, Pierre DAVIAUD, cultivateur, beau-frère de l’épouse, de Bois-de-Céné. Date de décès à trouver pour Pierre et pour Joséphine. 

6a) Pierre Joseph MÉRIEAU, né le 22 août 1877 à la Corbillère, la Garnache, déclaration par son père en présence de Joseph GAUTIER, cultivateur, son grand-père, Joseph ROUSSEAU, cultivateur, son oncle par alliance, tous de cette commune ; décédé le 12 avril 1880 à la Corbillère, la Garnache, déclaration par Jean Baptiste MÉRIEAU et René MÉRIEAU, tous deux cultivateurs, de la Garnache, ses oncles.

6b) Joséphine Marie MÉRIEAU, née le 2 février 1879 à la Corbillère, la Garnache, déclaration par son père en présence de Pierre MÉRIEAU, cultivateur, de la Garnache, son grand-père, et François MÉRIEAU, cultivateur, de la Garnache, son oncle. En marge : mariée à la Garnache le 29 janvier 1901 avec Pierre François Emile GALLAIS. Date de décès à trouver pour Joséphine et Pierre.

6c) Pierre René Joseph MÉRIEAU, né le 6 mai 1880 à la Corbillère, la Garnache, déclaration par son père en présence de Pierre MÉRIEAU et Joseph GAUTIER, ses grands-pères, tous deux cultivateurs, de la Garnache ; décédé le 26 février 1881 à la Corbillère, la Garnache, déclaration par son oncle Jean Baptiste MÉRIEAU, et son grand-père Pierre MÉRIEAU, tous deux cultivateurs, de la Garnache.

6d) Marie Angèle Joséphine MÉRIEAU, née le 15 novembre 1882 à la Corbillère, la Garnache, déclaration par son père en présence de Pierre MÉRIEAU, grand-père de l’enfant, René MÉRIEAU, oncle de l’enfant, laboureurs, de la Garnache. Date de décès à trouver

5c) Thérèse Marie MÉRIEAU, née le 12 novembre 1854 à la Corbilière, la Garnache, déclaration par son père en présence de François MÉRIEAU et René MÉRIEAU, cultivateurs, demeurant à la Corbilière, oncles paternels de l’enfant ; elle épouse à la Garnache, le 8 mai 1878, Pierre Alexis GIRAUDET, cultivateur, né le 22 octobre 1853 à la Garnache, fils de feu Jacques GIRAUDET et d’Angélique BLAIS. Présents au mariage Angélique BLAIS, cultivatrice, mère de l’époux, Pierre MÉRIEAU, cultivateur, de la Garnache, et Magdeleine GUÉDON, cultivatrice, père et mère de l’épouse ; témoins Jacques GIRAUDET, qui signe, cultivateur, frère de l’époux, Louis GUIBERT, journalier, oncle d’alliance de l’époux, François MÉRIEAU, cultivateur, oncle de l’épouse, Pierre MÉRIEAU, cultivateur, frère de l’épouse, tous de la Garnache. Date de décès à trouver pour Thérèse et Pierre. 

5d) Jean Baptiste MÉRIEAU, né le 4 novembre 1858 à la Corbilière, la Garnache, déclaration par son père en présence de François et René MÉRIEAU, cultivateurs, de la Corbilière, ses oncles paternels. Date de décès à trouver.

5e) Louis Constant MÉRIEAU, né le 13 mars 1862 à la Corbilière, la Garnache, déclaration par son père en présence de René et François MÉRIEAU, cultivateurs, de la Corbilière, ses oncles paternels. Date de décès à trouver.

5f) Joséphine Félicité Magdeleine MÉRIEAU, née le 17 février 1865 à la Corbilière, la Garnache, déclaration par son père en présence de René et François MÉRIEAU, cultivateurs, de la Corbilière, ses oncles. Date de décès à trouver.

5g) Célestin MÉRIEAU, né le 23 novembre 1868 à la Corbelière, la Garnache, déclaration par son père en présence de René et Joseph MÉRIEAU, tous deux cultivateurs, de la Corbillère, oncles de l’enfant. En marge : marié le 27 juin 1904 à Sallertaine avec Marie Joséphine Victoire DUGUÉ. Date de décès à trouver pour Célestin et Marie 

4e) Marie Jeanne MERIEAU, née le 2 février 1822 à la Corbelière, la Garnache, déclaration par son père en présence de Joseph MERIEAU, laboureur, et Joseph DUGUÉ, laboureur, demeurant ensemble à la Corbelière, oncles de l’enfant, décédée le 22 janvier 1826 à la Corbelière, la Garnache, deux semaines avant sa mère (contagion ?), déclaration par son père et par Joseph DUGUÉ, oncle de la décédée, de la Corbelière.

4f) François MERIEAU, né le 8 novembre 1824 à la Corbelière, la Garnache, déclaration par son père en présence de Joseph DUGUÉ, laboureur, oncle de l’enfant, André DUGUÉ, laboureur, ami du père, les deux demeurant séparément à la Corbelière ; cultivateur, il épouse à la Garnache, le 20 janvier 1856, Marie Jeanne GILLET, conne adulte sous le prénom de Jeanne, née le 11 juillet 1835 à la Garnache, servante, de Maison Neuve, fille de Charles GILLET et de Marie AUDÉON, journaliers à la Richardière ; témoins René et Pierre MÉRIEAU, cultivateurs, de la Corbelière, frères de l’époux, Joseph AUDÉON, charpentier, oncle de l’épouse, du faubourg Saint Léonard, la Garnache, Augustin DURANTEAU, cultivateur, de la Maison Neuve, ami de l’épouse, qui signe. Dates de décès à trouver pour François et Marie Jeanne.

5a) François Désiré MÉRIEAU, connu adulte sous le prénom de François, né le 19 janvier 1857 à la Corbilière, la Garnache, déclaration le 20 par son père en présence de René MÉRIEAU, cultivateur, de la Corbilière, oncle paternel, Pierre MÉRIEAU, cultivateur, de la Corbilière, oncle paternel ; cultivateur, il épouse à la Garnache, le 5 février 1882, Marie Victoire Adèle BOCQUIER, connue adulte sous le prénom de Marie, née le 31 août 1858 à la Garnache, cultivatrice, fille de Pierre BOCQUIER, cultivateur, et de feue Marie ROUSSEAU, décédée à la Garnache ; témoins Charles et Pierre GILLET, oncles de l’époux, cultivateurs, de la Garnache, Alexandre DESLANDES, cantonnier chef, cousin de l’épouse, de la Garnache, Mathurin PERRAUDEAU, cultivateur, de Bois-de-Céné, ami de l’épouse. Dates de décès à trouver pour François et Marie.

6a) François Pierre Augustin MÉRIEAU, né le 24 février 1883 à la Laumière, la Garnache, déclaration par son père en présence de François MÉRIEAU, cultivateur, son grand-père paternel, et Pierre BOCQUIER, cultivateur, son grand-père maternel. Date de décès à trouver.

5b) Louis Auguste MÉRIEAU, né le 8 novembre 1859 à la Corbilière, la Garnache, déclaration par son père en présence de Pierre et René MÉRIEAU, cultivateurs, de la Corbilière, ses oncles paternels ; décédé cultivateur le 16 juillet 1873 à la Corbillère, la Garnache, déclaration par René et Pierre MÉRIEAU, tous deux cultivateurs, oncles du défunt.

5c) Marie Jeanne Mélanie MÉRIEAU, née le 27 mars 1862 à la Corbelière, la Garnache, déclaration pa son père en présence de René et Pierre MÉRIEAU, cultivateurs, de la Corbilière, ses oncles paternels. Date de décès à trouver.

5d) Charles Alexis MÉRIEAU, né le 24 mars 1864 à la Corbillère, la Garnache, déclaration pa son père en présence René et Pierre MÉRIEAU, cultivateurs, de la Corbilière, ses oncles paternels. Date de décès à trouver.

5e) Henri Auguste MÉRIEAU, né le 10 novembre 1865 à la Corbillère, la Garnache, déclaration par son père en présence de René et Pierre MÉRIEAU ses oncles, cultivateurs, de la Corbillère. Date de décès à trouver.

5f) Joseph MÉRIEAU, né le 8 octobre 1868 à la Corbillère, la Garnache, déclaration par son père en présence de René et Pierre MÉRIEAU, ses oncles, cultivateurs, de la Corbillère. Date de décès à trouver.

5g) Marie Victoire Joséphine MÉRIEAU, née le 9 janvier 1871 à la Corbillère, la Garnache, déclaration par son père en présence de Pierre MÉRIEAU et Pierre René MÉRIEAU, tous deux cultivateurs et oncles paternels de l’enfant, de la Corbillière. Date de décès à trouver.

5h) Clément MÉRIEAU, né le 28 avril 1873 à la Corbillère, la Garnache, déclaration par son père en présence de René MÉRIEAU et de Pierre MÉRIEAU, cultivateurs, ses oncles. Date de décès à trouver.

5i) Pierre Aimé Baptiste Honoré MÉRIEAU, né le 19 septembre 1875 à la Corbillère, la Garnache, déclaration par son père en présence de René MÉRIEAU et de Pierre MÉRIEAU, cultivateurs, oncles de l’enfant. En marge : marié à la Garnache le 19 septembre 1904 avec Marie Jeanne BARREAU. Date de décès à trouver pour Pierre et pour Marie Jeanne.

5j) Emilie Virginie Jeanne MÉRIEAU, née le 20 avril 1878 à la Corbillère, la Garnache, déclaration pa son père en présence de Louis FRADET, sabotier, de la Garnache, non parent, François MÉRIEAU, cultivateur, de la Garnache, frère de l’enfant, qui signent tous deux. En marge : mariage le 29 mai 1900 à la Garnache avec Pierre Jean Alfred MOSNIER. Date de décès à trouver pour Emilie et pour Pierre..

4g) Marie Victoire MERIAU, connue adulte sous le prénom de Victoire, née du second lit le 22 avril 1829 à la Corbelière, la Garnache, déclaration par son père en présence d’André ALLAIRE, laboureur, et Joseph DUGUÉ, laboureur, tous deux de la Corbelière ; cultivatrice, du Pied de Geay, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 16 novembre 1852, François GUILBAUD, cultivateur, de la Thibaudière, né le 2 février 1831 à la Cantinière, Saint-Christophe-du-Ligneron, fils de Jacques GUILBAUD, décédé à la Thibaudière le 24 novembre 1843, et de Louise CAILLONNEAU. Présentes et consentant au mariage Louise CAILLONNEAU, cultivatrice, de la Thibaudière, mère de l’époux, et Marie GUYOCHET, cultivatrice, du Pied de Geay, mère de l’épouse ; témoins Jacques et Jean GUILBAUD, laboureurs, de la Thibaudière, frères de l’époux, René MÉRIAU, laboureur, du Pied de Geay, frère de l’épouse, François JARNY, journalier, de la Grande Grostière, ami de l’épouse. D’où postérité. Date de décès à trouver pour Victoire et François.

4h) Pierre René MERIAU, connu adulte sous le prénom de René, né le 19 janvier 1831 à la Corbelière, la Garnache, déclaration par son père le 20 en présence de Joseph DUGUÉ, laboureur, et André ALLAIRE, aussi laboureur, tous deux de la Corbelière, voisins et amis du père de l’enfant ; laboureur, du Pied de Geay, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 28 novembre 1854, Marie Joséphine CHAUVIN, connue adulte sous le prénom de Joséphine, née le 19 février 1826 à la Mansoire, Saint-Christophe-du-Ligneron, journalière à la Croix Rouge, née à la Mansoire le 19 février 1826, fille de feu Louis CHAUVIN, laboureur, décédé à la Croix Rouge le 18 février 1847, et de Jeanne Aimée RABILLER, journalière à la Croix Rouge. Présentes et consentant au mariage Marie GUIOCHET, cultivatrice, du Pied de Geay, mère de l’époux, et Jeanne RABILLER, journalière, de la Croix Rouge, mère de l’épouse ; témoins François GUILBAUD, laboureur, du Pied de Geay, beau frère de l’époux, Jean GUILBAUD, ami de l’époux, laboureur, de la Thibaudière, Jean Louis CHAUVIN, journalier, de la Croix Rouge, frère de l’épouse, Jean Baptiste GAUTIER, cultivateur, de la Cantinière, ami de l’épouse. René apparaît le 12 décembre 1857 dans les actes du juge de paix de Palluau ; ce jour-là, Jean GUYOCHET, maçon, du bourg, Saint-Christophe-du-Ligneron, ayant cinq enfants, dont deux mineurs, issus de son mariage avec Antoinette RENAUD, décédée environ six ans plus tôt, fait réunir le conseil de famille pour leur faire nommer un subrogé tuteur. René, laboureur, de la Roussière, Commequiers, y assiste en tant que cousin germain des enfants (le subrogé tuteur choisi sera François CHARIER, un des gendres de Jean GUYOCHET). Date de décès à trouver pour René et pour Joséphine.

5a) Jean MÉRIAU, né le 22 décembre 1855 au Marché, Commequiers, déclaration par son père le même jour en présence de Pierre et Jean VOISIN, cultivateurs, de Saint-Christophe, baptisé à Saint-Christophe-du-Ligneron. Date de décès à trouver.

5b) Anastasie MÉRIAU, née le 11 juin 1857 au Marché de la Roussière, Commequiers, déclaration le 12 par son père en présence de François GUILBAUD, cultivateur, du Marché de la Roussière, oncle d’alliance de l’enfant, et Louis CHAUVIN, journalier, de la Croix-Rouge, Saint-Christophe-du-Ligneron, oncle maternel et parrain de l’enfant (mention rare), et baptisée à Saint-Christophe-du-Ligneron le 11 juin 1857. Date de décès à trouver.

5c) Adélaïde Marguerite MÉRIAU, née le 1er janvier 1859 à la Roussière, Commequiers, déclaration par son père le même jour en présence de Pierre VOISIN, laboureur, de la Roussière en Saint-Christophe, cousin de l’enfant, et de François GUILBAUD, laboureur, de la Roussière en Commequiers, oncle paternel de l’enfant. Date de décès à trouver.

5d) Rosalie Joséphine MÉRIAU, né le 19 mars 1861 à la Roussière, Commequiers, déclaration par son père le même jour en présence de Baptiste MÉRIAU, laboureur, de la Roussière, oncle paternel de l’enfant, et François GUILBAUD, laboureur, de la Roussière, oncle d’alliance de l’enfant. Date de décès à trouver.

5e) Jean Joseph MÉRIAU, né le 4 mai 1863 à la Roussière, Commequiers, déclaration le même jour par son père en présence de Baptiste MÉRIAU, laboureur, de la Roussière, oncle paternel de l’enfant, et François GUILBAUD, laboureur, de la Roussière, oncle d’alliance de l’enfant. Date de décès à trouver.

5f) Pierre MÉRIAU, né le 20 janvier 1865 à la Roussière, Commequiers, déclaration le même jour par son père en présence de Jean Honoré MÉRIAU, laboureur, de la Roussière, oncle paternel de l’enfant, et Baptiste MÉRIAU, laboureur, de la Roussière, oncle paternel de l’enfant. Date de décès à trouver.

4i) Jean Honoré MÉRIEAU, connu adulte sous le prénom d’Honoré, né le 17 mai 1833 à la Corbelière, la Garnache, déclaration le 18 par son père en présence d’André ALLAIRE, laboureur, voisin de l’enfant, et Joseph DUGAY, laboureur, oncle par alliance de l’enfant, tous deux de la Corbellière ; laboureur, domicilié à Commequiers, il épouse à Falleron, le 13 juin 1865, Rosalie Philomène MIGNÉ, connue adulte sous le prénom de Philomène, née le 19 février 1840 à Apremont, cultivatrice, fille de Pierre MIGNÉ, laboureur à Falleron, et de Marie RICOLLEAU ; témoins René MERIAU, laboureur, de Commequiers, frère de l’époux, Baptiste MERIAU, laboureur, de Commequiers, frère de l’époux, Pierre MIGNÉ, laboureur, de Falleron, frère de la mariée, Charles MIGNÉ, journalier, de Commequiers, oncle de la mariée. Philomène décède le 7 avril 1901 à la Biette, Froidfond, déclaration par Aimé PLUMET, cultivateur, de Saint-Christophe, gendre de la décédée, et Jacques RIANT, cultivateur, du Fief Sorin, voisin et ami de la décédée. Dates de décès à trouver pour Honoré.

5a) Olive Clémentine MERIAU, née le 18 mai 1866 à la Plumetière, Falleron, déclaration par son père en présence de Pierre et Louis MIGNÉ, cultivateurs, de la Plumetière, oncles de l’enfant, décédée le 23 mai 1879 au Marchais, Commequiers, et inhumée à Saint-Christophe-du-Ligneron.

5b) Flavie Eulalie MERIAU, née le 28 février 1868 à la Plumetière, Falleron, déclaration par son père en présence de Pierre et Louis MIGNÉ,, cultivateurs, de la Plumetière, oncles de l’enfant ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 29 avril 1890, Aimé Louis PLUMET, fils majeur de Louis PLUMET et de Rosalie PERROCHEAU. Date de décès à trouver pour Eulalie et Aimé.

5c) René Désiré MERIAU, né le 17 février 1870 à la Plumetière, Falleron, déclaration par son père en pésence de René MERIAU, cultivateur, de la Garnache, oncle de l’enfant, et Pierre MIGNÉ, cultivateur, de la Plumetière, oncle de l’enfant. Date de décès à trouver (pas de mention en marge de l’acte).

5d) Auguste Elie MERIAU, né le 22 mars 1872 à la Plumetière, Falleron, déclaration par son père en pésence de Charles MIGNÉ, marchand coquetier, de la Croix Chiron, de Commequiers, grand-oncle maternel de l’enfant, et Louis MIGNÉ, cultivateur, de la Plumetière, oncle maternel de l’enfant. En marge : décédé à Maché le 29 août 1954.

5e) Marie Mélina MERIAU, née le 17 avril 1874 à la Plumetière, Falleron, déclaration par son père en présence de Pierre MIGNÉ, cultivateur, de la Plumetière, oncle de l’enfant, qui signe, et Louis MIGNÉ, cultivateur, de la Plumetière, oncle de l’enfant. En marge : décédée à Saint-Etienne-du-Bois le 30 mai 1959.

5f) Olivier MERIAU, né le 26 janvier 1876 à la Plumetière, déclaration par son père en présence de René GUILBAUD, cultivateur, de la Roussière, Commequiers, cousin germain de l’enfant, et Pierre MIGNÉ, cultivateur, de la Plumetière, aïeul maternel de l’enfant. En marge : mariage à Saint Christophe le 27 avril 1904 avec Clarisse Aimée Philomène BOUCARD. Décédé aux Lucs-sur-Boulogne le 15 juillet 1965.

5g) Jean Louis François MÉRIAU, né le 5 mai 1880 au Marché, Commequiers, déclaration le 7 par son père en présence de Jean-Louis VOISIN, métayer, du Marché, voisin de l’enfant, et de Jean VOISIN, métayer, du Marché, voisin de l’enfant, et baptisé le 6 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain son frère Désiré, marraine sa sœur Eulalie). Date de décès à trouver.

4j) Victoire Marie MÉRIEAU, née le 28 décembre 1835 à la Corbelière, la Garnache, déclaration par son père en pésence de Pierre ROQUAND, laboureur, et André ALLAIRE, laboureur, tous deux de la Corbelière. Date de décès à trouver.

4k) François Baptiste MÉRIEAU, connu adulte sous le prénom de Baptiste, né le 18 septembre 1838 à la Corbelière, la Garnache, déclaration par son père en présence d’André ALLAIRE, cultivateur, et Pierre ROCAND, cultivateur, amis du père de l’enfant, de la Corbelière ; cultivateur, de la Margotière il épouse à Challans, le 10 novembre 1875, Joséphine Emilie PAJOT, connue adulte sous le prénom de Joséphine, née le 9 février 1849 à Challans, domestique, fille de feu Jean PAJOT, cultivateur, décédé à Challans, et de feue Marie GUIOCHET, décédée à Challans (mêmes nom et mentions que pour l’autre belle-mère ; hasard ou erreur du rédacteur ?). Témoins René MÉRIEAU, cultivateur, frère de l’époux, de Challans, François GUILBAUD, cultivateur, beau-frère de l’époux, de Challans, François BARREAU, journalier, oncle de l’épouse, de Saint-Christophe-du-Ligneron, Jean SORIN, journalier, beau-frère de l’épouse, de Commequiers. Dates de décès à trouver pour Baptiste et pour Joséphine.

5a) Joséphine Aimée MÉRIEAU, née le 7 octobre 1876 à la Margotière, Challans, déclaration par son père en présence de François GUILBAUD, cultivateur, de Commequiers, oncle de l’enfant, et René MÉRIEAU, cultivateur, de la Margotière, oncle de l’enfant. Date de décès à trouver.

5b) Baptiste François Auguste MÉRIEAU, né le 12 octobre 1877 à la Bretonnière, la Garnache, déclaration le même jour par son père en présence de Jean SORIN, maçon, de Commequiers, oncle d’alliance, et François GUILBAUD, cultivateur, de la Roussière en Commequiers, oncle d’alliance. Date de décès à trouver.

5c) Jean Louis Victor MÉRIAU, né le 11 mars 1882 à la Bretonnière, Commequiers, déclaration le même jour par son père en présence de Jean-Louis ELINEAU, journalier, de la Bretonnière, voisin des parents, et de Louis GIRAUDEAU, laboureur, de Pierre Folle, ami des parents. Date de décès à trouver.

3b) Marie Jeanne MERIAUD, née le 12 juin 1784 à la Benetière, Challans, baptisée le même jour (parrain Symphorien MARECHAL, marraine Marie Jeanne MERIAUD sa tante) ; elle épouse à Challans, le 29 avril 1812, Louis RENAUD, laboureur, de la Charlière de Coudrie, né à la Garnache, fils de feu Etienne RENAUD, laboureur, et de feue Magdeleine PINSON, de Coudrie ; témoins Pierre PINSON, de la Galerie, Soullans, domestique, cousin germain de l’époux, Jacques BARDON, laboureur, de Belvue de la Coudrie, ami de l’époux, François MASSONNEAU, laboureur, de la Grossetière de la Coudrie, ami de l’épouse, et Jacques GAUTIER, laboureur, de la Petite Coudrie de la Garnache, ami de l’épouse. Ce premier mari décède à la Charlière de Coudrie, commune de Challans, le 27 octobre 1818, déclaration le 28 par René GRONDIN, domestique, et Pierre MASSONNEAU, journalier, les deux de la ville de Challans. Cultivatrice, de la Potterie, Marie Jeanne épouse en second mariage, à la Garnache, le 17 juillet 1820, Louis GRASSINEAU, domestique, de la Corbelière, né à Froidfond le 6 avril 1795, fils de Jacques GRASSINEAU, laboureur, du Fief Sorin, présent et consentant, et de feue Marie Jeanne TOUGERON. Témoins Joseph RENAUDINEAU, tisserand, des Potteries, ami de l’époux, Joseph DIOCHET (pour GUYOCHET), laboureur, de la Pouillère de Froidfond, beau-frère de l’époux, René MERIAUD, laboureur, de la Corbilière, frère de l’épouse, Pierre COUTANCEAU, laboureur, des Potteries, ami des époux. Marie Jeanne décède le 24 février 1822 au Potterie, la Garnache, déclaration par Joseph DUGUÉ, laboureur, beau-frère de la décédée, et René MERIEAU, laboureur, frère de la décédée, les deux de la Corbelière.

3c) Marie MERIAU, née le 5 juillet 1785 à la Benetière, Challans, baptisée le même jour (parrain Pierre JOLI, marraine Marie JOLI), mais repris à tort pour le 3 juillet sur son acte de mariage ; elle épouse à la Garnache, le 22 mars 1813, Jacques GAUTIER, laboureur, né à la Garnache le 12 décembre 1788, fils d’André GAUTIER et de Geneviève Véronique BARRAUD, présente et consentante, de la Petite Coudrie.; témoins Charles GAUTIER, laboureur, frère de l’époux, René GAUTIER, domestique, cousin issu de germain de l’époux, les deux demeurant ensemble à Petite Coudrie, René MERIEAU, laboureur, de la Benetière, frère de l’épouse, et Louis RENAUD, laboureur, la Charelière en Coudrie, beau-frère de l’épouse. Marie décède le 5 avril 1814 à la petite Coudrie de la Garnache, déclaration par Louis RENAUD, laboureur, de la Charelière en Coudrie, beau-frère de la décédée, et Charles GAUTIER, laboureur, demeurant à la Petite Coudrie, aussi beau-frère de la décédée. Date de décès à trouver pour Jacques.

3d) Jacques François MERIAU, né à la Benetière, Challans, baptisé le 7 septembre 1786 à Coudrie (parrain René GILET, marraine Louise MORNET), décédé le 8 novembre 1788 à la Benetière, Challans et inhumé le 9 en présence de Symphorien MARECHAL et de Guillaume BARAUD.

3e) Pierre MERIAU, né à la Benetière, Challans, baptisé le 20 mai 1788 à Coudrie (parrain Guillaume BARAUD, marraine Françoise GRELIER), décédé le 27 août 1856 à la Corbilière, la Garnache, sans profession, célibataire, déclaration par René et François MÉRIEAU, cultivateurs, de la Corbilière, neveux du défunt.

3f) Marie Victoire MERIAU, née le 18 août 1789 à la Benetière, Challans, baptisée à Coudrie le 19 (parrain Mathurin CHAUVET, marraine Marie FORTINEAU), décédée le 18 décembre 1791 à la Benetière, Challans, inhumée le 19 en présence de Symphorien MARECHAL et de Pierre PINSON.

3g) Marie Véronique MERIAU, née à la Benetière, Challans, baptisé le 1er novembre 1790 (parrain Mathurin CHAUVET, marraine Françoise TALLONEAU), décédée à une date inconnue (entre 1792 et 1796 ?). Sans postérité connue.

3h) Louise MERIAU, née à une date inconnue, vers 1792, décédée le 13 avril 1811 à la Benetière, Challans, âgée de dix-neuf ans selon l’acte, déclaration par René GILLET, laboureur, du village de la Barre, commune de la Garnache, oncle de la défunte, et René MERIEAU, laboureur, de la Benetière de Challans, frère de la défunte.

3i) Joseph MERIAU, né le 14 décembre de l’an 1792 et le premier de la République, à la Benetière, Challans, déclaration le même jour par Marie MERIEAU, fille majeure demeurant à la Benetiere, en présence de Joseph BLANCHARD, laboureur, de la Groussetière, Coudrie, et Catherine GILLET, des Echarnau, Challans (rare apparition d’une déclarante et d’un témoin féminin, ce qui ne se voit que dans les premiers temps de la République) ; laboureur, domicilié à la Garnache, il épouse à Challans, le 6 février 1822, Louise MORINEAU, née à Sallertaine, cultivateur, fille de feu François MORINEAU et de Louise NICOLLEAU, de Sallertaine, vivante, présente et consentante ; témoins René MERIAU, laboureur, et Joseph DUGUÉ, laboureur, frère et beau-frère de l’époux, demeurant à la Corbillère, la Garnache, Jean GAUTIER, laboureur, de la Taraudière, Challans, et René MARCHAIS, tisserand, de Pontabert, Sallertaine, ami et cousin germain de l’épouse. Journalier, Joseph décède le 13 septembre 1844 aux Plantes, Challans, déclaration par Joseph MÉRIAU, et François MORINEAU, tous deux journaliers, le premier fils et le second beau-frère du décédé. Journalière, Louise décède à la Baraudière, Challans, le 29 janvier 1857, déclaration le même jour par François et Pierre GRUÉ, de la Baraudière, Challans, cultivateurs, amis de la défunte.

4a) Joseph François MERIEAU, connu adulte sous le prénom de Joseph, né le 13 décembre 1822 au Poterie, la Garnache, déclaration par son père en présence de Pierre COUTANCEAU, laboureur, et de Germain VRIGNAUD, farinier, amis du père, demeurant séparément au Poterie ; journalier, de la Taraudière, il épouse à Challans, le 26 juin 1848, Marie Anne Eléonore TESSIER, connue adulte sous le prénom de Marie Anne, servante, née le 4 juin 1819 à Sallertaine, fille de Jean TESSIER, journalier à Sallertaine, et de feue Marie Rose CHAUVET, journalière, décédée à Sallertaine ; témoins Louis MORINEAU, journalier, de Sallertaine, oncle de l’époux, François MÉRIAU, cultivateur, de la Garnache, cousin de l’époux, Charles TESSIER, meunier, de Sallertaine, frère de l’épouse, Pierre GUYARD, cultivateur, de Challans, ami de l’épouse. Marie Anne décède le 7 janvier 1866 à la Grossetière, Challans, déclaration le 8 par Louis GUILLOT, journalier, beau-frère de la défunte, et Joseph HUGUET, cultivateur, ami de la défunte, tous deux de la Grossetière, Challans. Date de décès à trouver pour Joseph.

5a) Joseph François MÉRIAU, né le 21 mars 1849 à la Taraudière, Challans, déclaration par son père en présence de Henri et Louis MORINEAU, tous deux journaliers, de Sallertaine, grands oncles paternels de l’enfant ; décédé le 8 mai 1849 à la Taraudière, Challans, déclaration par François et Auguste GRUÉ, tous deux cultivateurs, amis du décédé.

5b) Marie Victoire MÉRIAU, née le 13 juillet 1850 à la Taraudière, Challans, déclaration par François et Auguste GRUÉ, tous deux cultivateurs, amis de l’enfant ; cultivatrice, de la Grossetière, elle épouse à Challans, le 4 juillet 1870, Jean Baptiste AUDEON, domestique à Challans, né le 13 octobre 1846 à la Garnache, fils de Pierre AUDEON, journalier, décédé à la Garnache, et de Jeanne BLANCHARD, journalière, de la Garnache ; témoins Jean RECULEAU, cultivateur, ami de l’époux, de la Garnache, Louis DUGUÉ, ami de l’époux, cultivateur, de Challans, René MÉRIEAU, cultivateur, cousin de l’épouse, de la Garnache, François PERROCHAUD, cultivateur, oncle de l’épouse, de Challans. Dates de décès à trouver pour Marie Victoire et Jean Baptiste.

5c) Marie Rose Aimée MÉRIAU, née le 12 novembre 1851 à la Taraudière, Challans, déclaration par Jean et pierre TESSIER, tous deux journaliers, de Sallertaine, oncles maternels de l’enfant ; décédée le 6 avril 1852 à la Taraudière, Challans, déclaration par déclaration par François et Auguste GRUÉ, tous deux cultivateurs, de Challans amis de la décédée.

5d) Auguste Joseph MÉRIAU, connu adulte sous le prénom d’Auguste, né le 8 février 1853 à la Taraudière, Challans, déclaration le même jour par son père en présence de René et François GRUÉ, de Challans, cultivateurs, amis de l’enfant ; journalier, de Challans, il épouse à la Garnache, le 25 juin 1877, le même jour où sa sœur Victoire épouse Jean-Louis GALLAIS, Marie Virginie Thérèse CHANTREAU, connue adulte sous le prénom de Marie, tailleuse, née le 19 mars 1855 à la Garnache, fille de Pierre CHANTREAU, tisserand, et de Marie Virginie POIRINE, ménagère ; témoins François PÉROCHEAU, fermier, de Challans, cousin de l’époux, René MÉRIEAU, cultivateur, de Challans, cousin de l’époux, Pierre BLANCHARD, journalier, de Chateauneuf, cousin de l’épouse, Jean BODARD, journalier, de la Garnache, ami de l’épouse, qui signe avec les mariés. Date de décès à trouver pour Auguste et Marie.

6a) Auguste Pierre Joseph MÉRIEAU, né le 29 août 1878 à la Grostière, Challans, déclaration par son père en présence de Joseph LOISY, cultivateur, de la Grossetière, ami du père de l’enfant, et Baptiste RENAUDINEAU, cultivateur, de la Grossetière, ami du père de l’enfant. Date de décès à trouver.

6b) Jean Marie MÉRIEAU, né le 9 février 1880 à la Grostière, Challans, déclaration par son père en présence de Pierre RENAUD, journalier, de la Grossetière, ami du père de l’enfant, et Jean HUGUET, journalier, de la Grossetière, ami du père de l’enfant. Date de décès à trouver.

6c) Pierre Louis François MÉRIEAU, né le 24 septembre 1881 à Luctière, Challans, déclaration par son père en présence d’Auguste DUPONT, cultivateur, de Luctière, ami du père de l’enfant, et Jean VOISIN, cultivateur, de Luctière, ami du père de l’enfant. Date de décès à trouver.

6d) Henri Aimé MÉRIEAU, né le 27 février 1883 à Luctière, Challans, déclaration par son père en présence d’Auguste DUPONT et de Jean VOISIN, tous deux cultivateur, de Luctière, amis du père de l’enfant. En marge : il épouse au Fenouiller, le 4 mai 1909, Marie Adélaïde JOUBERT. Dates de décès à trouver pour Henri et Marie Adélaïde.

5e) Joséphine Virginie MÉRIAU, née le 20 avril 1855 à la Taraudière, Challans, déclaration par son père en pésence de Joseph HUGUET, ami de l’enfant, cultivateur, des Taraudières, et Jacques BOUTEILLER, ami de l’enfant, journalier, des Taraudières ; décédée le 20 août 1859 à la Taraudière, Challans, déclaration par François et Augustin GRUÉ, tous deux cultivateurs, de la Taraudière, Challans, amis de la défunte.

5f) Victoire MÉRIAU, née le 22 décembre 1857 à la Taraudière, Challans, déclaration par son père en présence de François et Augustin GRUÉ, tous deux cultivateurs, de la Taraudière, Challans, amis de l’enfant ; journalière, elle épouse à la Garnache, le 25 juin 1877, le même jour où son frère Auguste épouse Marie CHANTREAU, Jean Louis Pierre GALLAIS, domestique, né à la Garnache le 26 janvier 1851 à la Garnache, fils de feu André GALLAIS, journalier, et de feue Françoise LAIDIN, journalière, les deux décédés à la Garnache ; témoins Pierre GALLAIS, journalier, de la Garnache, frère du marié, Jean POTEREAU, journalier, de Challans, beau-frère du marié, Jean BODARD, qui signe, journalier, de la Garnache, oncle de l’épouse, et François PERROCHEAU, fermier, de Challans, oncle de l’épouse. Date de décès à trouver pour Victoire et Jean Louis.

5g) Rose MÉRIAU, née le 11 février 1860 à la Taraudière, Challans, déclaration par son père en présence de Jean RIVALIN, cultivateur, de la Taraudière, ami de l’enfant, et de Jacques BOUTEILLER, cultivateur, de la Taraudière, ami de l’enfant. Date de décès à trouver.

4b) Sophie Eugénie MERIEAU, née le 19 décembre 1825 à Chagnon, la Garnache, déclaration par son père en présence de Pierre MERIEAU, laboureur, oncle de l’enfant, de Chagnon, et René MERIEAU, laboureur, oncle de l’enfant, de la Corbelière ; décédée le 1er avril 1827 à Chagnon, la Garnache, déclaration par son père et par Pierre MERIEAU, laboureur, du même lieu, oncle de l’enfant.

4c) Marie MERIEAU, date et lieu de naissance à trouver, décédée le 29 août 1829 à Chagnon, la Garnache, âgée de vingt mois, déclaration par Pierre MERIEAU, laboureur, et Jean DRIAN, laboureur, tous deux du village de Chagnon.

4d) Rose MERIAU, née le 23 mai 1829 à Chagnon, la Garnache, déclaration par son père en présence de Pierre MERIAU, laboureur, et Pierre DRIAN, laboureur, tous deux de Chagnon. Date de décès à trouver.

4e) Victoire MÉRIAU, née le 4 mars 1831 à Chagnon, la Garnache, déclaration par son père en présence de Jean MORINEAU, cousin de l’enfant, et Pierre BRECHET, laboureur, les deux de Chagnon, voisins et amis du père de l’enfant ; servante, du chef-lieu de la Garnache, elle épouse à la Garnache, le 9 janvier 1859, Alexis Joseph MÉRIEAU, de la Gabètrie, cultivateur, né à la Garnache le 13 mars 1824, fils de défunt Alexis MÉRIEAU, décédé à la Garnache le 16 octobre 1852, et de Rose GILLET, cultivatrice, de la Gabètrie, présente et consentante ; témoins Baptiste ERIEAU, de la Gabètrie, cultivateur, beau-frère de l’époux, Baptiste FORT, des Ruelles, cultivateur, ami de l’époux, qui signe, Joseph MÉRIEAU, de la Taraudière, Challans, journalier, frère de l’épouse, Monsieur François Mathurin GUYARD, Docteur Médecin, ami de l’épouse, qui signe ; le marié signe aussi. Cultivateur, ce premier époux décède à l’Epinassière, la Garnache, le 17 avril 1863, déclaration par Jean Baptiste ERIEAU, beau-frère, François DAVIAUD, non parent du défunt, cultivateurs, de l’Epinassière. Domestique à la Benétière, Challans, Victoire épouse en secondes noces à Challans, le 11 septembre 1867, Jean François PERROCHAUD, né le 16 mai 1823, cultivateur, de la Benétière, Challans, veuf de Marie ROUSSEAU, fils de feu Pierre PERROCHAUD, cultivateur, décédé à Challans, et de feue Marie Anne PERROCHAUD, cultivatrice, décédée à Saint-Gervais ; témoins Joseph et Jacques PERROCHAUD, frères de l’époux, journaliers, de Challans, Joseph MERIEAU, frère de l’épouse, journalier, de Challans, et Louis GUILLOT, beau-frère de l’épouse, journalier, de Challans. Dates de décès à trouver pour Victoire et Jean François.

4f) Marie Louise MÉRIEAU, née le 17 février 1833 à Chagnon, la Garnache, déclaration par son père en présence de Pierre MÉRIEAU, journalier, oncle paternel de l’enfant, de Chagnon, Pierre DÉAU, laboureur, voisin, de Chagnon. Date de décès à trouver.

4g) Sophie MÉRIAU, née le 27 décembre 1834 à la Proutière, Challans, déclaration par son père en présence de Jean et de Joseph RICOLLEAU, les deux journaliers, de la Proutière, amis de l’enfant ; servante, de la Grostière, elle épouse le 26 avril 1858, à Challans, Jean Louis GUILLOT, journalier, de la Grostière, né le 30 juin 1832 à Saint-Gervais, fils de Joseph GUILLOT et de Modeste THOMAS, tous deux journaliers et décédés à Saint-Gervais ; témoins Charles GUILLOT, journalier, frère de l’époux, de la Lande, Sallertaine, André MORINEAU, journalier, ami de l’époux, de Pont-Abert, Sallertaine, Josepht MÉRIAU, journalier, frère de l’épouse, de la Taraudière, Challans, et François MASSONNEAU, propriétaire, ami de l’épouse, de la Grostière, Challans. Date de décès à trouver pour Sophie et Jean Louis. 

4h) Henri Narcisse MÉRIAU, né le 13 novembre 1836 à la Proutière, Challans, déclaration par son père en présence de Jacques JOLLY et Pierre JOUBERT, journaliers, amis de l’enfant, décédé le 3 avril 1842 aux Plantes, Challans, déclaration par son père et par Louis HUGUET, ami du décédé, tous deux journaliers, des Plantes, Challans.

4i) Marie Louise Rose MÉRIAU, née le 29 octobre 1838 à la Proutière, Challans, déclaration par son père en présence de François GAUTIER et François RIAND, journaliers, amis de l’enfant, décédée le 13 août 1841 à la Proutière, Challans, déclaration par son père et par Joseph RIAND, ami de la décédée, tous deux journaliers, de la Proutière, Challans.

3j) Rose MERIAU, née le 7 prairial an V (26 mai 1797) à la Benetière, Challans, déclaration le 8 par son père en présence de Rose DOUCET et de Jacques BLANCHARD, laboureur, de la Grossetière de Coudrie ; mais l’acte de son baptême clandestin fait par le curé insermenté HERVOUET à la Garnache fournit la date du 28 avril 1797, soit presque un mois plus tôt (parrain Jacques BLANCHARD, marraine Marie Jeanne MÉRIAU) ; cultivatrice, de la Corbelière, la Garnache, elle épouse à la Garnache, le 28 février 1821, Joseph DUGUÉ, né le 11 août 1792 à la Garnache, laboureur, fils de Louis DUGUÉ, laboureur, de la Brunière, Challans, présent et consentant, et de feue Jeanne BUREAU ; témoins Jean DUGUÉ, laboureur, et Pierre DUGUÉ, laboureur, les deux du village de la Brunière, frères du futur époux, René MERIAU, laboureur, et Joseph MERIAU, laboureur, les deux demeurant ensemble, frères de la future épouse. Date de décès à trouver pour Rose et Joseph.

2g) Pierre MERIAU, né aux Echarnaux, Challans, le 23 août 1760, baptisé le même jour (parrain : René PENIÇON, marraine Louise GUERIN), décédé aux Echarnaux, Challans, inhumé sous le ballet de l’église de Challans le 24 août 1760 en présence de Jeanne BOUÉ, sa tante, et autres (dans ces années 1760, et déjà dans les années 1740, les petits défunts de Challans sont souvent inhumés sous le ballet, balet, balé de l’église ; les adultes vont au cimetière).

2h) Marie MERIEAU, née aux Echarnaux, Challans, le 25 novembre 1761 et baptisée le lendemain 26 (parrain Pierre JOLY, marraine non nommée !) ; elle épouse à la Garnache, le 8 février 1786, Symphorien MARÉCHAL, fils mineur de défunt Symphorien MARÉCHAL et d’Anne ROUSSEAU, de Froidfond. ; témoins Anne ROUSSEAU, mère tutrice du proparlé, Jean MARECHAL, son frère, Jean GUIOCHET, beau frère à cause de Catherine MARECHAL son épouse, René MERIAU, père de la proparlée, Jacques MERIAU son frère, René GILLET son beau frère à cause de Loüise MERIAU son épouse. Symphorien décède tôt ; il est déjà mort en 1812 lorsqu’un de ses fils se marie à la Garnache. Veuve, Marie décède le 19 mai 1819, journalière, de la Grenonnière, la Garnache, déclaration par Jean PATRON, laboureur, gendre de la décédée, et François GILLET, aussi laboureur, neveu de la décédée, les deux de la Garnache.

2i) Jeanne MERIAU, née aux Echarnaux, Challans, baptisée le 8 juillet 1764 (parrain Pierre JOLY, marraine Jeanne RIDOLET), décédée le 16 septembre 1764 aux Echarnaux, Challans et inhumée le 17 sous le ballet de l’église de Challans, en présence de René MERIAU son père et de plusieurs autres.

1d) Charles MERIAU, né vers 1717 ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 8 janvier 1755, Marie Anne RABILLÉ,  fille de Louis RABILLÉ et de défunte Catherine BARREAU ; témoins René MERIAU, père du proparlé, Pierre MERIAU son frère, Louis RABILLÉ, père de la proparlée et Pierre RABILLÉ son cousin germain. Charles décède à la Vergne, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumé le 3 juin 1771, sa femme et ses enfants présents. Le 10 février 1773, Marie Anne prend pour second époux, à Saint-Christophe-du-Ligneron, Jacques BOURON, fils majeur de feü Pierre BOURON et de Jacquette CLAUTOUR ; témoins Pierre BOURON, frère du proparlé et Claude CANTIN son ami, Pierre MERIAU, beau frère de la proparlée et René MERIAU son fils. D’où postérité. Jacques décède le 8 janvier 1785 à la Vergne, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumé le 9, sa femme et ses enfants présents. La date de décès de Marie Anne reste introuvable, à situer avec vraisemblance entre 1792 et 1796, en tout cas avant l’an XIII ; cette année-là, son fils François BOURON se marie à Commequiers et expose que ses deux parents sont décédés à Saint-Christophe, dont son père le 9 janvier 1785 et sans date pour sa mère. Cette imprécision est en soi une information…

2a) Charles René MERIAU, connu adulte sous le prénom de Charles, baptisé le 6 décembre 1755 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain Pierre MERIAU, marraine Catherine RABILLÉ) ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 18 février 1778, sous l’autorité de Jacques BOURON, son beau-père et vitrix, Jeanne CAFFIN, baptisée le 5 octobre 1759 à Saint-Christophe-du-Ligneron, fille de Jean CAFFIN et de Marie MORISSET, métayers de la Cautuère ; témoins Jacques BOURON, beau père du proparlé, et Pierre MERIAU son oncle, Jean CAFFIN, père de la proparlée, et Jean MORISSET, son cousin germain. C’est à la belle-mère de Charles, ou à sa belle-sœur, que Marie Anne BOUTEILLER, citée par CHASSIN dans sa « Préparation à la Guerre de Vendée », fait allusion lorsqu’elle dit avoir reçu « de mauvais conseils » lors de l’émeute de mai 1791 à Saint-Christophe-du-Ligneron, et CAILLETEAU, qui engage les violences le premier ce jour-là, est domestique chez ces mêmes CAFFIN. Charles figure sous le n° 107 sur la liste électorale, de Saint-Christophe datée apparemment de l’an V (ADV). Jeanne décède le 10 décembre 1827 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Charles MÉRIAU, laboureur, de la Noue au Loup, fils de la défunte, et Jean POTEREAU, laboureur, de la Cautuère, ami de la défunte. Charles décède le 18 mars 1829 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Pierre MÉRIAU, journalier, du chef-lieu de Saint-Christophe, frère du défunt, et Pierre MÉRIAU, laboureur, du Pré Neuf, neveu du défunt.

3a) Marie Anne MERIAU, née à la Cautuère, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 1er octobre 1780 (parrain Jean CAFFIN, marraine Marie CAFFIN) ; décédée à la Cautuère, Saint-Christophe-du-Ligneron et inhumée le 8 juin 1789, ses parents présents.

3b) Charles MERIAU, né à la Cautuère, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 13 octobre 1782 (parrain Germain MERIAU, marraine Marie Anne RABILLÉ) ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 16 avril 1807, Marie Anne GUILBAUD, née à la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 24 novembre 1784 (parrain Antoine TENARD, marraine Marie Anne TENARD), fille de Jacques GUILBAUD, décédé « par les causes de la guerre civile », et de Louise TENARD, décédée à la Roirie le 14 octobre 1789. Ce mariage a lieu le même jour que celui d’Auguste GUILBAUD, le frère de Marie Anne, avec Anne MERIAU, la fille de Jacques MERIAU (voir précédemment). Présents et consentants Charles MERIAU et Jeanne CAFFIN, père et mère du marié, témoins les mêmes que ceux présents au mariage GUILBAUD-MERIAU de l’acte précédent. Marie Anne décède le 9 mars 1822 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 10 par Charles MÉRIAU, laboureur, de la Noue au Loup, son beau père, et Pierre MÉRIAU journalier, du chef lieu de la commune, son oncle par alliance. Charles épouse en second mariage à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 5 juin 1824, Françoise ROBIN, née le 9 novembre 1789 à Froidfond, domestique, fille de Jacques ROBIN, meunier, décédé à Froidfond le 27 mars 1815, et de Marie Anne LOISY, décédée à Froidfond le 30 août 1782. Présents au remariage Charles MÉRIAU et Jeanne CAFFIN, consentants, témoins Hyacinthe POIRON, tisserand, du chef lieu, ami de l’époux (il sera maire deux ans plus tard), Louis CHASSÉ, maréchal ferrant, du chef lieu, ami de l’époux, Jacques ROBIN, meunier, de Froidfond, frère de l’épouse, et Jean FOUCAUD, meunier, du Pré Neuf, ami de l’épouse. Françoise décède le 23 octobre 1828, déclaration le 24 par Charles MÉRIAU, laboureur, de la Noue au Loup, son beau père, et Louis CHAILLOU, farinier, du Moulin du Quarteron. Charles épouse en troisième mariage à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 8 septembre 1829, Magdeleine RENAUD, cultivatrice, née le 18 septembre 1794 à Saint-Paul-Mont-Penit, fille de François RENAUD, laboureur, de la Sortière, et de Marie MORISSET, décédée à la Rivière, Saint-Paul-Mont-Penit, le 28 mars 1803 ; témoins Jacques BOURON, journalier, de la Grande Taillée, oncle de l’époux, Louis POTEREAU, laboureur, de la Beltière, ami de l’époux, Pierre POTEREAU, laboureur, de la Beltière, ami de l’épouse, et Louis POTEREAU, laboureur, de la Cotuère, cousin par alliance de l’épouse. Charles décède laboureur, le 14 mai 1850, à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, veuf en premier mariage de feue Marie Anne GUILBAUD, et en deuxième mariage de feue Françoise ROBIN, et marié en troisième mariage à Magdeleine RENAUD, déclaration par Jacques et Jean MÉRIEAU, laboureurs, du village de la Noue du Loup, tous deux fils du défunt. Cultivatrice, Magdeleine décède le 30 juin 1870 aux Péauderies, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 1er juillet par Pierre MÉRIAU, laboureur, des Péauderies, beau-fils de la défunte, et Aimé POTEREAU, meunier, le Quarteron, ami de la défunte.

4a) Charles MERIAU, né du premier lit le 13 mars 1808 à la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 14 par son père en présence de Félix RIGALLEAU, laboureur, de la Roirie, Charles MERIAU (son grand-père), laboureur, de la Roirie ; le 8 septembre 1829, le jour où son père, convolant pour la troisième fois, épouse Magdeleine RENAUD, Charles épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, Louise RENAUD, demi-sœur de la précédente, née le 27 septembre 1806 à la Rivière, Saint-Paul-Mont-Penit, fille de François RENAUD, laboureur, de la Sortière, et de Françoise BAILLEAU, décédée à Saint-Christophe-du-Ligneron le 1er juin 1826 ; témoins (les mêmes que pour son père) pour l’époux Jacques BOURON, journalier, de la Grande Taillée, et Louis POTEREAU, laboureur, de la Beltière, et pour l’épouse Pierre POTEREAU, laboureur, de la Beltière, et Louis POTEREAU, laboureur, de la Cotuère, son cousin par alliance. Laboureur, Charles décède le 23 décembre 1841 à la Noue au Loup, Saint-Christophe, déclaration par Charles MÉRIEAU, laboureur, de la Petite Brosse, son père, et Pierre MÉRIEAU, farinier, du Pré Neuf, son cousin. Après seize ans de veuvage, Louise, journalière, de la Noue du Loup, épouse en second mariage le 15 février 1857, à Saint-Christophe-du-Ligneron, Jacques CORNEVIN, meunier, du Pré Neuf, né le 1er septembre 1806 à Saint-Christophe, célibataire, fils de feu Paul CORNEVIN, meunier, et de défunte Françoise BOURMAUD, propriétaire ; témoins Louis SEIGNEURET, meunier, ami de l’époux, de Froidfond, René MIGNÉ, propriétaire, ami de l’époux, de Saint-Christophe, Joseph MÉRIAU, domestique, fils de l’épouse, de Saint-Christophe, Charles MÉRIAU, domestique, fils de l’épouse, d’Apremont. Propriétaire, Jacques décède au Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 22 décembre 1871, déclaration le même jour par Aimé RABILLER, meunier, des Maisons Rouges, son cousin, et Armand HERBERT, sabotier, du chef-lieu, aussi son cousin. Propriétaire, deux fois veuve, Louise décède le 12 octobre 1876 au Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Charles MÉRIAU son fils, journalier, de la Noue du Loup, et Jean MÉRIAU, son fils, laboureur, de la Grande Mermande, qui signe..

5a) Charles MÉRIAU, né le 31 juillet 1830 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le même jour par son père en présence de Charles MÉRIAU, laboureur, de la Noue au Loup, et François RENAUD, laboureur, de la Sortière, ses grands-pères ; domestique, assisté par sa mère, propriétaire, présente et consentante, il épouse à Apremont, le 23 novembre 1859, Jeanne LOGEAIS, née le 13 février 1838 à Aizenay, fille de Pierre LOGEAIS, cultivateur, et d’Adélaïde MICHAUD, d’Apremont ; témoins Charles BARREAU, cultivateur, d’Apremont, ami de l’époux, qui signe, Jean MERIEAU, cultivateur, de Saint Christophe, son oncle maternel, Charles GUILBAUD, cultivateur, d’Apremont, ami et voisin de l’épouse, François PAJOT, cultivateur, d’Apremont, son ami. Charles décède le 21 juin 1904 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron. Date de décès à trouver pour Jeanne.

6a) Pierre Charles MERIAU, né le 6 août 1861 aux Fruches, Apremont, déclaration par Pierre LOGEAIS, son oncle, cultivateur, de la Fruche, en présence de Pierre LOGEAIS, grand-père maternel, cultivateur, de la Fruche, et Jean NAULEAU, cultivateur, de la Cour, ami, qui signe ; apparemment, il épouse à Commequiers le 18 janvier 1888 Marie Louise BRISSON. Dates de décès à trouver pour Pierre et Marie Louise.

6b) Marie Rose MÉRIAU, née le 13 juin 1864 aux Fruches, Apremont, déclaration par son père en présence de Pierre LOGEAIS, grand-père, et Charles GUILBAUD, voisin, tous deux cultivateurs, de la Fruche ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 9 juin 1886, Louis GROSSIN, fils mineur de Louis GROSSIN et de défunte Aimée BOUGIS. Dates de décès à trouver pour Marie et Louis.

6c) Marie Aimée MÉRIAU, née le 15 mai 1866 aux Fruches, Apremont, déclaration par son père en présence de Charles GUILBAUD, propriétaire, des Fruches, son voisin, et Pierre RABILLER, cultivateur, son voisin ; elle épouse le 23 juillet 1889 à Saint-Christophe-du-Ligneron Augustin VIOLLEAU, fils de Jean VIOLLEAU et de Marie Rose MIGNÉ, de Commequiers. Dates de décès à trouver pour Augustin et Marie. 

6d) Louise Olive Désirée MÉRIAU, née le 21 mars 1868 aux Fruches, Apremont, déclara-tion par son père en présence de Joseph BLAY, tisserand, son ami, et Aimé COUSIN, instituteur, son ami aussi, qui signent ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 1er septembre 1890, Charles CROCHET, cultivateur, fils de Léonard CROCHET et Marie Victorine RABALLAND. Dates de décès à trouver pour Louise et Charles.

6e) Marie Joséphine MÉRIAU, née le 1er mai 1871 au Marchais, Commequiers, déclaration le même jour par son père en présence de Pierre AUGISEAU, journalier, du Marchais, ami du père, et Louis VOISIN, de la Roussière, Saint-Christophe-du-Ligneron, voisin et ami du père, baptisée le même jour à Saint-Christophe-du-Ligneron. Date de décès à trouver.

6f) Jean Aimé MÉRIAU, né le 2 septembre 1874 au Marchais de la Roussière, Commequiers, déclaration le 3 par son père, journalier, en présence de Jean Louis VOISIN, laboureur, de la Roussière en Saint-Christophe, voisin et ami du père de l’enfant, et François GUILBAUD, laboureur, de la Roussière en Commequiers, aussi ami du père. Date de décès à trouver.

6g) Marie Victorine Mélanie MÉRIAU, née le 7 août 1877 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jean MÉRIAU, cultivateur, de la Noue du Loup, grand oncle de l’enfant, et Jean Louis DANIAUD, meunier, de la Noue du Loup, ami du père ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 7 janvier 1903, Joseph TESSIER, fils d’Etienne TESSIER, décédé, et de Victoire BOUHIER. Date de décès à trouver pour Marie et Joseph.

5b) Rose Louise MERIAU, connue adulte sous le prénom de Rose, née le 1er octobre 1832 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Charles MERIAU, grand-père de l’enfant, et Jean MERIAU, oncle de l’enfant, tous laboureurs, de la Noue au Loup ; domestique (maire), servante (curé) à la Grande Grostière, Saint-Christophe, elle épouse le 26 mai 1857 à Saint-Christophe-du-Ligneron, Jean FOUQUET, né le 18 octobre 1827 à Falleron, laboureur à la Grande Grostière, fils de feu Pierre FOUQUET, laboureur, et de Hélène BOUHIER, cultivatrice à la Grande Grossetière ; témoins François COUGNAUD, laboureur, beau-frère de l’époux, de Saint-Christophe, Jacques CORNEVIN, meunier, ami de l’époux, de Saint-Christophe, Charles MÉRIAU, frère de l’épouse, domestique, d’Apremont, Joseph MÉRIAU, frère de l’épouse, domestique, de Saint-Christophe. Rose décède le 3 juin 1871 à la Grande Grossetière, Saint-Christophe-du-Ligneron, cultivatrice, déclaration par son beau-frère François FORTIN, cultivateur, de la Grande Grostière, et son voisin François JARNY, cultivateur. Date de décès à trouver pour Jean.

5c) Joseph MÉRIAU, né le 10 octobre 1834 à la Noue au Loup Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jean MÉRIAU, laboureur, même domicile, et Pierre CHARRIER, laboureur, de la Bernerie, commune de Froidfond ; cultivateur, de Saint-Christophe, il épouse à Falleron, le 3 février 1863, Rosalie BESSONNET, née le 16 février 1837 à Falleron, fille de défunt Jacques BESSONNET et de Rose MORISSET, cultivatrice de Falleron ; témoins Jean MERIAU, laboureur, de Saint Christophe, oncle de l’époux, Charles MERIAU, cultivateur, d’Apremont, son frère, Joseph BESSONNET, laboureur, de Falleron, frère de la mariée, Germain BESSONNET, laboureur, de la Brégeonnée, Grand’Landes, son cousin. Joseph décède le 25 juin 1871, cultivateur à la Cantrie, Falleron, déclaration par Pierre et Joseph BESSONNET, cultivateurs, de la Cantrie, ses beaux-frères. Veuve, Rosalie épouse à Falleron, le 18 janvier 1876, Jean Baptiste FOUQUET, connu adulte sous le prénom de Jean, né le 7 mars 1834 à Touvois, cultivateur, de la Haute Folie, Falleron, veuf de Joséphine GUILBAUD, fils de Jean FOUQUET, cultivateur, décédé à Touvois, et de Louise MARTIN, cultivatrice, décédée à Touvois ; témoins François FOUQUET, frère de l’époux, journalier, de Falleron, Jean Louis GUILBAUD, beau-frère de l’époux, cultivateur, de Falleron, Joseph BESSONNET, cultivateur, frère de l’épouse, de Falleron, Jean MÉRIEAU, cultivateur, beau-frère de l’épouse, de Saint-Christophe-du-Ligneron, qui signe avec le marié. Dates de décès à trouver pour Rosalie et Jean.

6a) Rose Victorine MERIAU, née le 14 novembre 1863 à la Cantrie, Falleron, déclaration par son père en présence de Joseph DUGUÉ, journalier, du bourg de Falleron, non parent de l’enfant, et Jean PICARD, mêmes qualités et adresse ; couturière, elle épouse sans contrat à Falleron, le 4 mai 1893, Jean Marie GAUVRIT, né le 4 septembre 1868 à Challans, domestique à Falleron, fils de Louis GAUVRIT, journalier à Challans, et de feue Philomène GROUSSIN, de son vivant journalière à Challans ; témoins Jean JAUNÂTRE, cultivateur, ami de l’époux, de Falleron, Louis GAUVRIT, domestique, frère de l’époux, de Challans, Jean Baptiste FOUQUET, cultivateur, beau-frère de l’épouse, de Falleron, et Jean MÉRIEAU, cultivateur, oncle de l’épouse, de Saint-Christophe-du-Ligneron, qui signent les deux avec la mariée. Couturière, du bourg de Falleron, Rosalie décède le 23 octobre 1893, déclaration par Louis FOUQUET, cultivateur, de Falleron, son beau-père, et Joseph PLUMET, journalier, de Falleron, son ami et voisin.

6b) Marie Aimée MERIAU, née le 23 mars 1868 à la Cantrie, Falleron, déclaration par son père en présence de Joseph et Pierre BESSONNET, cultivateurs, de la Cantrie, oncles de l’enfant ; couturière, elle épouse à Froidfond, le 22 novembre 1887, René François JOLY, né le 12 juillet 1857 à Froidfond, cultivateur, fils de feu François JOLY, de son vivant cultivateur à Froidfond, et de Marie Louise MÉRIEAU, en fait Marie Julie, l’unique fille de Charles (voir 4h ci-après), cultivatrice à Logerie ; témoins Charles BATUAUD, ami de l’époux, propriétaire, de Challans, Pierre JOLY, frère de l’époux, de Froidfond, cultivateur, Jean MÉRIEAU, oncle de l’épouse, de Saint-Christophe, cultivateur, et Jean FOUQUET, beau-père de l’épouse (second mari de sa mère) de Falleron, cultivateur. L’époux, l’épouse et les quatre témoins signent. Dates de décès à trouver pour René et Marie Aimée.

5d) Aimée Victoire Adélaïde MÉRIAU, née le 17 novembre 1836 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de. Jean MÉRIAU, laboureur, de la Noue au Loup (son oncle), et Charles MÉRIAU, laboureur, de la Petite Brosse, aïeul de l’enfant. Date de décès à trouver, après 1841.

5e) Marie Aimée MÉRIEAU, née le 5 février 1839 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 6 par son père en présence de Jean MÉRIEAU, laboureur, de la Noue du Loup, son oncle, et Charles MÉRIEAU, laboureur, de la Petite Brosse, son grand-père ; décédée le 2 juin 1839 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 3 par les deux mêmes témoins que précédemment.

5f) Jean Pierre MÉRIEAU, connu adulte sous le prénom de Jean, né le 12 octobre 1840 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Charles MÉRIEAU, laboureur, grand-père de l’enfant, de la Petite Brosse, et Jean MÉRIEAU, laboureur, de la Noue du Loup, oncle de l’enfant ; domestique, des Peauderies, Saint-Christophe, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 16 juin 1863, Marie Magdeleine COUTOUIS, née le 17 octobre 1842 à la Petite Mermande, Saint-Christophe-du-Ligneron, fille de François COUTOUIS, cultivateur, et de Marie CHAILLOU, cultivatrice, des Pilletières, Saint-Christophe-du-Ligneron ; témoins Charles MÉRIEAU, laboureur, frère de l’époux, d’Apremont, Jacques CORNEVIN, meunier, beau-père de l’époux (second mari de sa mère), de Saint-Christophe, François CHAILLOU, laboureur, oncle de l’épouse, de Saint-Christophe, Pierre Aimé CHAILLOU, laboureur, cousin de l’épouse, de Saint-Christophe. Les époux signent. Jean décède le 3 janvier 1918 à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron. Marie décède en 1924 à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron.

6a) Jean Louis François MÉRIEAU, né le 20 mars 1864 aux Pilletières, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de François COUTOUIS, laboureur, des Piltières, son grand père, et François CHAILLOU, laboureur, des Piltières, son oncle maternel ; Jean Louis épouse à Challans le 25 novembre 1891 Marie Aimée QUAIREAU. D’où postérité. Jean Louis décède en 1909 à Saint-Christophe-du-Ligneron. Aimée décède en 1950 à Saint-Christophe-du-Ligneron.

6b) Olivier François MÉRIEAU, né le 2 septembre 1867 aux Pilletières, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Louis et Louis RABILLER (père et fils), tisserands, du chef lieu, amis du père ; Olivier épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 1er juin 1892, Marie MICHAUD, fille de Ludovic MICHAUD et de Céleste FERRÉ. Sans postérité. Dates de décès à trouver pour Olivier et Marie.

6c) Marie Victoire Ursule MÉRIAU, née le 28 août 1870 aux Pilletières, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de François COUTHOUIS, laboureur, des Pilletières, son grand père, François CHAILLOU, laboureur, même domicile, son grand oncle ; Marie épouse le 1er juin 1892 à Saint-Christophe-du-Ligneron, Auguste GROIZELEAU, fils de Jean GROIZELEAU et d’Adélaïde POTEREAU. Sans postérité. Marie décède le 6 août 1899 à La-Roche-sur-Yon.

6d) Alfred Aimé Pierre MÉRIAU, né le 24 décembre 1872 à la Grande Mermande, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de François COUTHOUIS, laboureur, même domicile, son grand-père, et Aimé GUILBAUD, laboureur, même domicile, son oncle ; Alfred épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 17 mai 1899, Marie Clémentine ANGIBAUD. D’où postérité. Alfred décède le 2 juin 1936. Date de décès à trouver pour Marie.

6e) Jean Marie Aimé MÉRIAU, né le 28 septembre 1875 à la Grande Mermande, Saint-Christophe-du-Ligneron déclaration par son père en présence d’Aimé CHAILLOU, laboureur, des Pilletières, son cousin, et Louis RABILLER, tisserand, du chef lieu, ami du père ; Jean épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 17 mai 1899, Marie Félicité Camille BARRETEAU. D’où postérité. Marie décède à Saint-Christophe-du-Ligneron le 7 décembre 1945. Jean décède à la Grande Vergne, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 7 octobre 1956.

6f) Georges Louis Henri Olivier MÉRIAU, né le 24 août 1879 à la Grande Mermande, Saint-Christophe, déclaration par son père en présence d’Aimé GUILBAUD, son oncle, cultivateur, de la Grande Mermande, et François CHAILLOU, son grand-oncle, cultivateur, des Pilletières ; décédé le 29 août 1881 à la Thibaudière, Saint-Christophe, déclaration par Aimé GUILBAUD, laboureur, de la Thibaudière, oncle du défunt, et Théophile FORT, instituteur, du chef lieu, ami du défunt, qui signe.

6g) Victor Louis Olivier MÉRIAU, né le 1er février 1883 à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence d’Aimé GUILBAUD, laboureur, de la Thibaudière, oncle de l’enfant, et Charles MÉRIAU, journalier, de la Noue du Loup, oncle de l’enfant ; Victor épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 16 juin 1908, Olive Aimée Alexandrine CHARRON, connue adulte sous le prénom d’Alexandrine. Victor décède le 8 août 1962 à la Gandillonnerie, Luçon, Alexandrine décède le 13 avril 1967 chez son fils Victor, rue du Carmel, Luçon ; dont, entre autres :

7a) Albert Victor Alfred Jean MÉRIAU, qui épousa Marie-Josèphe Augustine Geneviève JOUIN.

8a) Lionel Albert Joseph Paul MÉRIAU, qui épousa Christine DARDILLAT, fille de Christian Guy Jacques DARDILLAT (descendant de Mathurin CHARPENTREAU et de Marguerite FRAPPIER - Souche A d’Aubigny Nesmy), et de Marie-Claude Raymonde BABU.

4b) Jean MERIAU, né le 28 décembre 1809 au Bourg, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Charles MERIAU, laboureur, grand-père de l’enfant, du chef-lieu, et Etienne VOISIN, de Lezardière, laboureur ; laboureur, Jean épouse le 3 novembre 1830 à Saint-Christophe-du-Ligneron, Angélique RENAUD, cultivatrice, de la Sortière, Saint-Christophe, née le 30 juillet 1812 à Saint-Etienne-du-Bois, fille de François RENAUD, laboureur, de la Sortière, et de feue Françoise BAILLEAU, décédée à Saint-Christophe-du-Ligneron le 1er juin 1826. Elle est la sœur de Louise RENAUD, épouse de Charles, son frère aîné, et la demi-sœur de Magdeleine RENAUD, troisième épouse de Charles, son père. A cette même fratrie appartient encore, entre autres, un petit frère, François RENAUD, dit Breton, réfractaire de la classe de 1830, qui sera arrêté lors d’une battue en 1832, passera en jugement pour meurtre, sera condamné à la réclusion criminelle à perpétuité et mourra au bagne de Rochefort l’année suivante. Témoins au mariage de Jean et d’Angélique, Charles MERIAU, laboureur, de la Noue au Loup, frère du marié, René MIGNÉ, laboureur, de la Beltière, voisin de l’époux, qui signe, Pierre RENAUD, laboureur, de la Sortière, frère de l’épouse, Jean RENAUD, tisserand, du chef-lieu, Saint-Christophe, frère de l’épouse. Laboureur, Jean décède le 22 novembre 1882 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Pierre MÉRIAU, journalier, de la Roirie, frère du défunt, et Charles MÉRIAU, journalier, de la Noue du Loup, neveu du défunt. Angélique décède le 12 avril 1885 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le même jour par Alexandre GROSSIN, laboureur, de la Noue du Loup, son petit-fils, qui signe, et Charles MERIAU, journalier, du même endroit, son neveu.

5a) Marie Magdeleine MERIAU, née le 3 septembre 1831 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Charles MERIAU, laboureur, de la Noue au Loup, grand-père de l’enfant, Charles MERIAU, laboureur, de la Noue au Loup, oncle de l’enfant ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 16 juin 1857, Pierre GROSSIN, domestique à la Mérandoire, la Garnache, né le 20 mars 1823, fils de Germain GROSSIN et de Marie JOLY, journaliers, de l’Equaizierre, la Garnache ; témoins Jean GROSSIN, domestique, frère de l’époux, de la Garnache, André ALLAIRE, laboureur, ami de l’époux, de la Garnache, Auguste Pierre MÉRIAU, laboureur, oncle de l’épouse, de Saint-Christophe, Auguste MÉRIAU, oncle de l’épouse, de Saint- Christophe. Pierre décède à la Noue du Loup, Saint-Christophe, le 23 juillet 1869, déclaration le 24 par Jean GROSSIN, journalier, de la Garnache, frère du défunt, et Pierre MÉRIAU, cultivateur, de la Noue du Loup, beau-frère du défunt. Marie Magdeleine décède à la Noue du Loup Saint-Christophe-du-Ligneron, le 7 mai 1899, déclaration le même jour par Alexandre GROSSIN, cultivateur, de la Noue du Loup, fils de la défunte, et Jean PAJOT, marchand, du Bourg, gendre de la défunte.

5b) Jean Charles MÉRIAU, né le 17 novembre 1833 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de son grand-père Charles MÉRIAU, et de son oncle Charles MÉRIAU, tous deux laboureurs, de Noue au Loup ; décédé le 16 décembre 1835 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 17 par Charles MÉRIAU, aïeul de l’enfant, et Charles MÉRIAU, son oncle, tous deux de la Noue au Loup.

5c) Pierre Jean François MÉRIAU, né le 4 septembre 1836 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Charles MÉRIAU, aïeul de l’enfant, de la Petite Brosse, et Charles MÉRIAU, oncle de l’enfant, de la Noue au Loup ; décédé le 9 janvier 1840 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 10 par Charles MERIAU, grand père du défunt, de la Petite Brosse, Charles MERIAU, oncle du défunt, de la Noue du Loup.

5d) Pierre MÉRIEAU, né le 18 février 1839 à la Noue du Loup, Saint-Christophe, déclaration par son père en présence de Charles MÉRIEAU, laboureur, de la Petite Brosse, grand-père de l’enfant, Pierre RENAUD, laboureur, de la Garangeoire, oncle de l’enfant ; laboureur, Pierre épouse le 3 février 1864 à Saint-Christophe-du-Ligneron, Marie Rose RABILLER, cultivatrice, née le 12 juin 1841 à la Noue, Saint-Christophe-du-Ligneron, fille de Louis RABILLER, laboureur, de la Noue, et de Marie Madeleine PONTHEREAU ; témoins Charles MÉRIEAU, cousin de l’époux, laboureur, d’Apremont, Charles Aimé MÉRIEAU, frère de l’époux, laboureur, de Saint-Christophe, Pierre RABILLER, laboureur, frère de l’épouse, de Saint-Christophe, qui signe, Jean Louis RABILLER, laboureur, frère de l’épouse, de Saint-Christophe. Pierre décède le 10 avril 1876 d’un accident survenu aux Lucs-sur-Boulogne, au village de la Sauzaie, déclaration par Pierre RABILLER, cultivateur, de Saint-Christophe-du-Ligneron, beau-frère du défunt, et Pierre GRELAUD, marchand, des Lucs, ami du défunt . Date de décès à trouver pour Marie Rose. 

6a) Marie Victoire Aimée MÉRIEAU, née le 11 juillet 1865 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Pierre GROSSIN, laboureur, de la Noue du Loup, oncle paternel de l’enfant, Jean MÉRIEAU, laboureur, de la Noue du Loup, grand père paternel de l’enfant ; servante, Marie épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 13 juin 1888, Louis Henri CROCHET, fils de Léonard CROCHET et Marie Victorine RABALLAND. Dates de décès à trouver pour Marie et Louis.

6b) Pierre Jean Aimé MÉRIAU, né le 26 juillet 1866 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Charles Aimé MÉRIAU, laboureur, de la Noue du Loup, oncle paternel de l’enfant, et Pierre GROSSIN, laboureur, de la Noue du Loup, oncle par alliance de l’enfant ; il épouse le 31 mai 1892, à Saint-Christophe-du-Ligneron, Mélanie Sophie RABILLER, née le 1er janvier 1870, fille de François RABILLER et de Sophie CLAUTOUR, de Saint-Christophe-du-Ligneron. Dates de décès à trouver pour Pierre. Mélanie décède le 20 mai 1950.

7a) Marie Angèle Olive MERIAU, née le 20 juin 1895 à Saint-Christophe-du-Ligneron ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 5 juillet 1922, Louis FRUCHARD, né le 25 novembre 1898. Louis décède le 16 juillet 1973 à Saint-Paul-Mont-Penit. Marie décède le 31 octobre 1983 à Saint-Paul-Mont-Penit.

7b) Mélanie Marie Emerantine MERIAU, née le 16 août 1896 à Saint-Christophe-du-Ligneron, décédée le 7 juin 1898 au Bourg, Saint-Christophe-du-Ligneron.

7c) Valentine Célestine Célina MERIAU, née le 1er septembre 1897 à Saint-Christophe ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 5 juillet 1922, Florentin SEIGNEURET. Valentine décède le 22 juillet 1967 à Montboyer (16).

6c) Marie Clarisse Olive MÉRIAU, née le 16 décembre 1868 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jean Louis RABILLER, laboureur, de la Noue, oncle maternel, et Pierre GROSSIN, laboureur, de la Noue du Loup, oncle allié ; décédée le 21 mars 1878 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Jean MÉRIAU, laboureur, de la Noue du Loup, grand père de la défunte, et Charles MÉRIAU, domestique, de la Noue du Loup, cousin de la défunte.

6d) Jean Louis MÉRIAU, né le 4 août 1870 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jean MÉRIAU, laboureur, de la Noue du Loup, grand père de l’enfant, Anselme CANTIN, sabotier, du chef lieu, ami du père ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 10 mai 1896, Marie Rosalie RABILLER. Dates de décès à trouver pour Jean Louis et Marie.

7a) Marie Rosalie Bernadette MERIAU, née le 14 février 1897, Saint-Christophe-du-Ligneron, date de décès à trouver.

7b) Jean Maurice François MERIAU, né le 12 octobre 1898, Saint-Christophe-du-Ligneron, date de décès à trouver.

7c) Emilienne Angèle Alexandrine MERIAU, née le 30 juillet 1901, Saint-Christophe-du-Ligneron, date de décès à trouver.

7d) Emerantine Mathilde Sylvanie MERIAU, né le 27 décembre 1903, Saint-Christophe-du-Ligneron, date de décès à trouver.

6e) Louis Pierre Lucien MERIAU, né le 29 septembre 1872 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père, qui signe, en présence de Pierre RABILLER, laboureur, de la Noue, oncle de l’enfant, Jean Louis RABILLER, laboureur, de la Noue, oncle de l’enfant. Date de décès à trouver.

6f) Angèle Angélique MÉRIAU, née le 15 octobre 1874 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Pierre RABILLER, cultivateur, de la Noue du Loup, oncle de l’enfant, Jean Louis RABILLER, laboureur, même domicile, oncle de l’enfant,; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 28 juin 1904, Olivier RABILLER, son cousin germain, fils de François RABILLER et de Sophie CLAUTOUR. Dates de décès à trouver pour Angèle et Olivier. 

5e) Charles Aimé MÉRIEAU, né le 2 septembre 1841 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Charles MÉRIEAU, laboureur, de la Petite Brosse, grand père de l’enfant, et Charles MÉRIEAU, laboureur, de la Noue du Loup, oncle de l’enfant. Date de décès à trouver.

5f) Marie Anne Aimée MÉRIEAU, née le 15 mars 1844 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Charles MÉRIEAU, laboureur, de la Petite Brosse, grand père de l’enfant, et Henry DINAUD, instituteur, du chef lieu, ami du déclarant, qui signe, baptisée le même jour (parrain son oncle Auguste MÉRIEAU, marraine sa tante Marie MÉRIEAU) ; décédée le 6 novembre 1845 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son grand-père Charles MÉRIEAU, et son oncle Jacques MÉRIEAU, tous deux laboureurs, de la Noue du Loup.

5g) Marie Anne Aimée MÉRIEAU, née le 21 décembre 1845 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Charles MÉRIEAU, laboureur, de la Noue du Loup, grand-père de l’enfant, Jacques MÉRIEAU, même lieu et profession, oncle de l’enfant, baptisée le même jour (parrain Louis MÉRIEAU, marraine Marie MÉRIEAU) ; cultivatrice, Marie Anne épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 22 février 1865, André LAIDIN, cultivateur, né à la Bourie, Challans, le 1er janvier 1838, fils d’André LAIDIN et de Marguerite Victoire JOLY, cultivateurs à la Bourie de Challans ; témoins Pierre JOLLY, laboureur, oncle maternel de l’époux, de Challans, Jacques Louis LAIDIN, laboureur, frère de l’époux, de Challans, Pierre GROSSIN, laboureur, beau-frère de l’épouse, de Saint-Christophe-du-Ligneron, Pierre MÉRIEAU, laboureur, frère de l’épouse, de Saint-Christophe-du-Ligneron. Dates de décès à trouver pour Marie Anne et André.

5h) Rosalie Victoire MÉRIEAU, née le 6 avril 1847 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jacques MÉRIEAU, laboureur, de la Noue du Loup, son oncle, et Charles MÉRIEAU, même profession et domicile, son grand-père, et baptisée le même jour (parrain son oncle Auguste MÉRIEAU, marraine sa tante Victoire MÉRIEAU) ; décédée le 8 avril 1847 à la Noue du Loup, Saint-Christophe, déclaration par Charles MÉRIEAU, son grand-père, et Jacques MÉRIEAU, son oncle, tous deux laboureurs, de la Noue du Loup.

5i) Jean François MÉRIEAU, né le 21 mars 1849 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Charles MÉRIEAU, laboureur, de la Noue du Loup, son grand père, et Jacques MÉRIEAU, laboureur, de la Noue du Loup, son oncle ; décédé le 2 juillet 1850 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par ses oncles Jacques et Pierre MÉRIEAU, laboureurs, de la Noue du Loup.

4c) Louis MERIAU, né le 30 novembre 1811 (la table porte « Louise » par erreur) à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le même jour par son père en présence d’Auguste GUILBAUD, journalier, de la Roirie, son oncle, et Jean GENAUDEAU, maçon, du même lieu, ami, et baptisé le même jour (parrain Auguste GUILBAUD, marraine Jeanne CAFFIN). Laboureur, Louis décède le 29 décembre 1826 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Pierre MERIAU, laboureur, du Pré Neuf, oncle du défunt, et Jacques BOURON, journalier, de la Taillée, oncle du défunt.

4d) Pierre MERIAU, né le 15 décembre 1814 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 16 par son père en présence de Pierre GUILLOT et Pierre Auguste CHAUVIN, les deux sabotiers, amis, du Chef Lieu, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le même jour (parrain Pierre MERIAU, marraine Marie MERIAU) ; décédé le 18 mai 1820 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 19 par Charles MERIAU son père et Charles MERIAU son grand père. Inhumé le 19 en présence de son grand père et de Charles CANTIN.

4e) Jacques MÉRIAU, né le 9 novembre 1817 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de René TOUGERON, maçon, du chef-lieu, Saint-Christophe, et de Jacques CORMIER, jardinier, même domicile, baptisé le même jour (parrain Pierre MÉRIAU, marraine Marie MÉRIAU) ; laboureur, de la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, il épouse à Falleron le 9 mai 1852, Marie BESSONNET, cultivatrice, née le 12 août 1824 aux Noues Noires, Falleron, fille de Mathurin BESSONNET, laboureur aux Noues Noires, présent et consentant, et de feue Marie PELLETIER, décédée le 20 octobre 1848 ; témoins Jean MERIAU, cultivateur, et Pierre MERIAU, cultivateur, tous deux frères de l’époux et demeurant à la Noue du Loup, Mathurin BESSONNET, laboureur aux Noues Noires, cousin de la mariée, et Germain BESSONNET, laboureur, demeurant aux Noues Noires, aussi cousin de la mariée. Cultivateur, Jacques décède le 21 novembre 1854 aux Noues Noires, Falleron, déclaration par Pierre BESSONNET, cultivateur, des Noues Noires, oncle par alliance du décédé, et Pierre DURANTEAU, cultivateur, de Falleron, ami du décédé. Marie épouse en second mariage à Falleron, le 20 juillet 1857, Jean LEDUC, né le 17 août 1819 à Touvois, veuf, fils de feu Pierre LEDUC, de son vivant cultivateur à Saint-Etienne-de-Mer-Morte et de défunte Marie DUGAST, de son vivant cultivatrice ; témoins Pierre ORDONNEAU, laboureur, beau-frère de l’époux, de Touvois, Louis LEDUC, frère de l’époux, de Touvois, Germain BESSONNET, laboureur, cousin de l’épouse, de Falleron, et Jean MÉRIAU, laboureur, beau-frère de l’épouse, de Saint-Christophe-du-Ligneron. En prévision de ce mariage, en conseil de famille réuni le 27 juin 1857 sous la présidence d’Aimé Alexandre Prosper GIBOTTEAU, juge de paix du canton de Palluau, Marie avait fait nommer subrogé tuteur pour sa fille Marie Honorine son oncle paternel Jean MERIAU, s’était fait confirmer la tutelle pour elle-même et fait attribuer la co-tutelle à Jean LEDUC son futur mari. Marie décède à Falleron le 2 juin 1865, déclaration le 3 par Jacques BRECHET, laboureur, de la Corêtière, Falleron, ami de la défunte, et Jean MOLLÉ, laboureur, de la Corêtière, Falleron, également ami de la défunte (et l’acte omet d’indiquer qu’elle est veuve en premier mariage de Jacques MERIAU !)

5a) Marie Aimée MÉRIEAU, née le 14 février 1853 aux Noues Noires, Falleron, déclaration par son père en présence de Pierre BESSONNET, son grand-oncle, et Germain BESSONNET, son cousin issu de germain, tous deux des Noues Noires ; décédée le 15 février 1853 aux Noues Noires, Falleron, déclaration par les témoins à sa naissance.

5b) Marie Honorine MÉRIEAU, née le 9 avril 1854 aux Noues Noires, Falleron, déclaration par son père en présence de Pierre BESSONNET, laboureur, son oncle maternel, et Mathurin BESSONNET, laboureur, son cousin, tous deux des Noues Noires ; servante, de la Brosse, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 19 janvier 1875, Germain PÉROCHEAU, laboureur, né à la Grande Grossetière, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 7 mars 1848, fils de Joseph PÉROCHEAU, laboureur, et de Rose JARNY, cultivatrice, de la Villeneuve ; témoins Jean Marie GUILBAUD, laboureur, beau frère de l’époux, de la Villeneuve, Aimé PÉROCHEAU, laboureur, oncle de l’époux, de la Gibertière du Bois, Pierre MÉRIEAU, laboureur, cousin de l’épouse, de la Noue du Loup, et Jacques FERRÉ, laboureur, ami de l’épouse, de la Brosse. Dates de décès à trouver pour Marie et Germain.

4f) Joseph Christophe MÉRIAU, né le 13 mars 1820 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Clovis CANTIN, sacristain, du Chef lieu, Saint-Christophe, et Jacques FAVREAU, sabotier, même domicile, et baptisé le même jour (parrain Christophe DAVIAU, marraine Marie MERIAU sa tante) ; décédé le 12 décembre 1823 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père Charles MERIAU, laboureur, de la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, et par Pierre MERIAU, journalier, du Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, son cousin issu de germain de l’enfant.

4g) Pierre MERIAU, né le 1er mars 1822 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Charles MERIAU, laboureur, de la Noue au loup, grand-père de l’enfant, et Pierre MERIAU, cousin issu de germain, du Pré Neuf ; décédé le 1er mars 1822 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, après quatre heures de vie, déclaration par les mêmes.

4h) Marie Julie MERIAU, née du second lit le 1er juillet 1825 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 2 par son père en présence de Jacques CORMIER, jardinier domestique, du bourg, Saint-Christophe, et René TOUZEAU, cultivateur, de la Pouillère, Saint-Christophe ; cultivatrice, de la Noue au Loup, Saint-Christophe, elle épouse à Froidfond le 15 novembre 1853, sans contrat, François JOLY, né le 22 février 1822, laboureur à Logerie, fils majeur de feu René JOLY, cultivateur, décédé à Touvois (Loire-Inférieure, aujourd’hui Loire-Atlantique.) le 22 avril 1839, et de Rose JOLY, cultivatrice, de Logerie ; témoins René JOLY et Pierre JOLY, frères de l’époux, cultivateurs, de Logerie, Jean MÉRIEAU et Pierre MÉRIAU, laboureurs au village de la Noue du Loup, frères de l’épouse. Conseiller municipal, fermier, de Logerie, François décède le 26 février 1880, déclaration le même jour par Auguste GUILLOT, instituteur, de Froidfond, ami du défunt, et Jacques GRELIER, cultivateur, de la Jousselandière, Froidond. Marie Julie décède le 11 février 1893 à Logerie, Froidfond, déclaration par Pierre JOLY, fermier, de Logerie, fils de la décédée, et Germain MORNET, fermier, de Froidfond, gendre de la décédée.

4i) Pierre Auguste MERIAU, connu adulte sous le prénom de Pierre, né le 12 mai 1827 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence d’Etienne LAPITEAU, garde champêtre, du chef lieu, qui signe, et Jacques BOURSIER, marchand, du chef lieu ; laboureur, de Noue du Loup, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 26 janvier 1853, Rosalie POTÉREAU, née le 3 novembre 1834 à la Vergne, Saint-Christophe-du-Ligneron, cultivatrice, fille de Jean POTÉREAU, cultivateur, de la Vergne présente et consentant, et de Marie PAJOT, décédée à la Vergne le 19 février 1841 ; les époux sont cousins issus de germains : Jean POTÉREAU est le fils de Rose MERIAU (voir 2g ci-après) ; témoins Jean et Jean Louis MÉRIAU, laboureurs, de la Noue du Loup, frères de l’époux, Jacques PONTOREAU, laboureur, de la Vergne, beau-frère de l’épouse, et Jacques POTÉREAU, journalier, de la Noues du Loup, oncle de l’épouse. Journalier, Pierre décède le 25 mars 1900 à la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le même jour par Jean Louis BARREAU, charpentier, de la Roirie, ami et voisin du défunt, et Auguste MÉRIAU, journalier, de la Roirie, fils du défunt. Date de décès à trouver pour Rosalie.

5a) Rosalie Marie MÉRIAU, née le 6 mars 1858 à la Villeneuve, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 7 par son père en présence de Jean POTÉREAU, laboureur, de la Vergne, Saint-Christophe, grand père de l’enfant, et de Jean Louis MÉRIAU, laboureur, de la Villeneuve, oncle paternel de l’enfant ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 17 janvier 1882, Aimé RABILLER, fils majeur de Jean Louis RABILLER et de Victoire PONTEREAU. Dates de décès à trouver pour Rosalie et Aimé. 

5b) Aimée Magdeleine MÉRIAU, née le 2 mai 1860 à la Villeneuve, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence d’Auguste et Louis MÉRIAU, cultivateurs, de la Villeneuve, ses oncles ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 16 janvier 1888, Jean Joseph BONNET, fils de Joseph BONNET et de Clémentine SORIN, de Challans. Dates de décès à trouver pour Aimée et Jean.

5c) Joséphine Philomène MÉRIEAU, née le 18 mars 1862 à la Villeneuve, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence d’Auguste et Louis MÉRIEAU, laboureurs, de la Petite Villeneuve, oncles paternels de l’enfant. Date de décès à trouver.

5d) Auguste Pierre Ferdinand MÉRIEAU, né le 15 octobre 1864 aux Peauderies, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence d’Auguste et Louis MÉRIEAU, laboureurs, des Peauderies, oncles paternels de l’enfant ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 13 janvier 1900, Alexandrine GUYARD, fille de Pierre GUYARD et d’Alexandrine CANTIN, de Saint-Christophe-du-Ligneron. Dates de décès à trouver pour Auguste et Alexandrine. 

6a) Alexandrine Armandine Augustine MERIAU, née le 17 mai 1901 à la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron ; elle épouse le 11 mars 1939 à Vitry-le-François (Marne), Raoul ROCHEFORT. Dates de décès à trouver pour Alexandrine et Raoul.

5e) Jean Louis MÉRIAU, né le 1er avril 1867 aux Peauderies, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de ses oncles paternels Jean Louis et Auguste MÉRIAU, laboureurs, des Peauderies ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 17 juin 1896, Marie SORIN, fille de feu Joseph SORIN et de Pauline PERDRIAU, de Saint-Christophe-du-Ligneron. Dates de décès à trouver pour Jean Louis et Marie.

6a) Jean Louis Auguste Maximin MERIAU, né le 17 juillet 1897 à Saint-Christophe-du-Ligneron ; date de décès à trouver.

6b) Marie Louise Angelina Marceline MERIAU, née le 4 janvier 1902 à Saint-Christophe-du-Ligneron ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 10 novembre 1919, Jean Louis BROCHET. Dates de décès à trouver pour Marie Louise et Jean Louis. 

5f) Joséphine Clarisse MÉRIAU, née le 17 août 1871 aux Peauderies, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Louis RABILLER, tisserand, du chef lieu, ami du père, qui signe, et Jean POIRON, marchand, du chef lieu, ami du père, qui signe ; décédée le 13 novembre 1872 à la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Jean MÉRIAU, laboureur, de la Noue du Loup, oncle de la défunte, et Louis RABILLER, tisserand, du chef lieu, ami de la défunte.

4j) Jean Louis MÉRIAU, né du troisième lit le 26 juillet 1830 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 27 par son père en présence de Charles MÉRIAU, laboureur, de la Noue au Loup, frère de l’enfant, et François RENAUD, laboureur, de la Sortière, grand-père de l’enfant ; laboureur, de la Noue du Loup, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 27 janvier 1857, Marie Victoire PRAUD, connue adulte sous le prénom de Marie, née le 8 juin 1835 à la Cantinière, Saint-Christophe-du-Ligneron, fille de feu Louis PRAUD, cultivateur, et feue Marie Anne PERROCHEAU cultivatrice, de Saint-Christophe-du-Ligneron ; témoins Jean et Auguste MÉRIAU, frères de l’époux, laboureurs, de Saint-Christophe-du-Ligneron, Joseph PRAUD, oncle de l’épouse, laboureur, de Saint-Christophe, Jean Baptiste GAUTIER, oncle de l’épouse, laboureur, de Saint-Christophe (déjà présent en témoin au mariage de Marie Joséphine Chauvin en 1854). Cultivatrice, Marie décède le 11 juillet 1865 aux Peauderies, Saint-Christophe, déclaration par Joseph PRAUD, laboureur, de la Cantinière, oncle paternel de la défunte, et Jean GAUTIER, domestique, de Maché, oncle par alliance de la défunte. Cultivateur, des Peauderies, Jean Louis épouse en second mariage, le 15 février 1870 à Saint-Christophe-du-Ligneron, Marie Françoise CHAUVIN, née le 14 août 1837 aux Gros, Saint-Christophe-du-Ligneron, journalière au Bignon, fille de Pierre CHAUVIN et de Françoise AUBRON, journaliers, du Bignon ; témoins Pierre et Auguste MÉRIAU, laboureurs, frères de l’époux, des Peauderies, Eugène et Pierre CHAUVIN, frères de l’épouse, de Saint-Christophe. Le père de l’épouse signe. Jean-Louis décède le 19 juillet 1871 aux Peauderies, Saint-Christophe-du-Ligneron en même temps que son frère Auguste (accident, contagion ?), déclaration le 20 par Eugène CHAUVIN, journalier, du Bignon, beau frère du décédé, et Pierre CHAILLOT, maçon, de la Brosse, ami du décédé, qui signe. Journalière, du Bignon, Marie Françoise se remarie à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 28 août 1878, avec Jean BAUDRY, né le 29 décembre 1823 à la Boulinière de Coudrie, Challans, des Maisons Rouges, journalier, veuf de Marie Rose TRAINEAU, fils de feu Jean BAUDRY, journalier, et de feue Rose TESSIER, journalière ; témoins Jean Louis BAUDRY, domestique, neveu de l’époux, de la Chalonnière, Aimé BARREAU, domestique, neveu de l’époux, de Froidfond, Jean Marie GUIOCHET, tisserand, beau-frère de l’épouse, de Froidfond, qui signe, et Aimé RABILLER, meunier, ami de l’épouse, des Maisons Rouges, qui signe. Date de décès à trouver pour Marie Françoise.

5a) Marie Augustine MÉRIAU, née le 1er novembre 1858 à la Petite Villeneuve, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Pierre MÉRIAU, laboureur, de la Petite Villeneuve, oncle paternel de l’enfant, et Auguste MÉRIAU, laboureur, de la Petite Villeneuve, aussi oncle de l’enfant. Servante, Marie Augustine décède le 18 avril 1882 à la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Pierre MÉRIAU, journalier, de la Roirie, oncle de la défunte, et Jean PONTHOREAU, charpentier, de la Roirie, ami de la défunte, qui signe.

5b) Marguerite Philomène MÉRIAU, née le 15 octobre 1859 à la Petite Villeneuve, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Pierre et Auguste MÉRIAU, ses oncles, cultivateurs, de la Villeneuve. Date de décès à trouver.

5c) Marie Philomène MÉRIAU, née le 28 décembre 1860 à la Petite Villeneuve, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence d’Auguste et Pierre MÉRIAU, ses oncles, cultivateurs, de la Villeneuve ; décédée le lendemain, déclaration par les témoins de la veille.

5d) Jean Louis MÉRIEAU, né le 9 avril 1862 à la Petite Villeneuve, Saint-Christophe-du-Ligneron, décla-ration par son père en présence d’Auguste et de Pierre MÉRIEAU, laboureurs, de la Petite Villeneuve, ses oncles ; décédé deux mois après sa mère, le 8 septembre 1865 aux Peauderies, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par les témoins de sa naissance.

5e) Marie Augustine Ursule MÉRIAU, née du second lit le 11 mars 1871 aux Peauderies, Saint-Christophe, déclaration par son père en présence d’Auguste et Pierre MÉRIAU, laboureurs, des Peauderies, oncles de l’enfant ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 24 janvier 1897, Jean Louis PEROCHEAU, fils de Jean PEROCHEAU et de Marie CHIRON. Dates de décès à trouver pour Marie et pour Jean Louis. 

4k) Jacques Auguste MERIAU, connu adulte sous le prénom d’Auguste, né le 13 mars 1832 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jean MERIAU et Charles MERIAU, ses frères, tous deux laboureurs, de la Noue au Loup ; laboureur (maire), ou métayer (curé), de la Petite Villeneuve, Saint-Christophe, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 3 juin 1862, Marie Angèle FERRÉ, connue adulte sous le prénom de Marie, née le 24 juin 1841 à Saint-Christophe-du-Ligneron, fille de Louis FERRÉ et de Rosalie VOISIN, journaliers, de la Croix Rouge, Saint-Christophe ; témoins Pierre Auguste MÉRIAU, laboureur, frère de l’époux, de la Petite Villeneuve, Jean Louis MÉRIAU, laboureur, frère de l’époux, de la Petite Villeneuve, Gabriel CHARTEAU, journalier, ami de l’épouse, de Saint-Christophe, qui signe, et Pierre GUÉRINEAU, laboureur, oncle de l’épouse, des Ardières, Saint-Christophe. Cultivateur, Auguste décède le 20 juillet 1871 aux Peauderies, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par François et François CHAILLOU (père et fils), cultivateurs, des Piltières, amis du décédé ; il meurt en même temps que son frère Jean-Louis : accident, contagion ? En réalité, selon le registre civil, Jean Louis meurt le 19 et lui le 20, mais, selon le registre religieux, ils meurent tous les deux le 19. Journalière, de la Croix Rouge, Marie se remarie à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 26 juillet 1876, avec Jean Louis GUYARD, né le 4 janvier 1842 à Froidfond, domestique à la Piétière de Challans, fils de Louis GUYARD, journalier, décédé à Falleron, et d’Adélaïde FRADET, journalière, décédée à Froidfond ; témoins Louis GUYARD, laboureur, frère de l’époux, de Falleron, Jean Marie GUYARD, domestique, frère de l’époux, de Froidfond, Jean Marie FERRÉ, laboureur, frère de l’épouse, de la Piétière, Challans, Pierre Aimé RAFFIN, domestique, ami de l’épouse, du Petit-Filau en Mermande, Saint-Christophe. Journalière, Marie décède le 6 février 1894 au bourg, Saint-Christophe, déclaration le 7 par Jean Marie FERRÉ, journalier, des Noues, Saint-Christophe, son frère, et Pierre VOYNEAU, journalier, du bourg, Saint-Christophe, son beau-frère.

5a) Victoire Joséphine MÉRIEAU, née le 25 avril 1863 aux Peauderies, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Louis FERRÉ, journalier, de la Croix Rouge, grand père de l’enfant, et Augustin POIREAU, tisserand, du bourg, ami du père ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 18 juin 1884, Jean Marie DOUX, fils de feu Jean DOUX et de Marie QUEREAU. Dates de décès à trouver pour Victoire et Jean Marie.

5b) Marie Rosalie MERIEAU, née le 27 décembre 1864 aux Peauderies, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 28 par son père en présence de Pierre et Louis MÉRIEAU, laboureurs, des Peauderies, ses oncles paternels ; servante, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 26 septembre 1887, Aimé Pierre SAUZEAU, cultivateur, fils de Joseph SAUZEAU et d’Aimée DOUX, de Saint-Paul-Mont-Penit. Dates de décès à trouver pour Marie et Aimé.

5c) Marie Mélanie MÉRIAU, née le 15 octobre 1866 aux Peauderies, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Louis FERRÉ, journalier, de la Croix Rouge, son grand père, et Pierre MÉRIAU, laboureur, des Peauderies, son oncle paternel. Date de décès à trouver.

5d) N. MÉRIAU, fille mort-née le 22 novembre 1868 aux Peauderies, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jean Louis MÉRIAU, laboureur, des Peauderies, oncle paternel.

5e) Marie Augustine MÉRIAU, née posthume le 16 février 1872 au domicile de sa mère, aux Peauderies, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son grand-père Louis FERRÉ, journalier, des Inchères, Saint-Christophe, en présence de Jean-Marie FERRÉ, oncle de l’enfant, domestique, du Pouilly, et Charles AUBRON, sabotier, du chef-lieu, Saint-Christophe, ami de la mère ; décédée le 6 août 1872 aux Peauderies, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Louis FERRÉ, journalier, des Enchères, son grand-père, et Pierre MÉRIAU, cultivateur, des Peauderies, son oncle.

4l) François Charles MÉRIAU, né le 13 juin 1834 à Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jean MÉRIAU, de la Noue au Loup, demi-frère de l’enfant, et de François RENAUD, de la Garangeoire, son grand-père ; décédé le 19 mars 1838 à la Petite Brosse, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 20 par son demi-frère Jacques MÉRIEAU, laboureur, de la Petite Brosse, et son ami Louis RABILLER, journalier, de la Grande Brosse.

3c) Louise MERIEAU, né le 21 mars 1785 à Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le même jour (parrain Jacques DODIN, marraine Louise DODIN) ; inhumée le 27 mars 1785 à Saint-Christophe-du-Ligneron, présents sa mère et autres.

3d) Augustin Aimé MERIEAU, né à la Brosse, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 13 octobre 1786 (parrain François LOUÉ, qui signe, marraine Jeanne Aimée FUMÉ, qui signe) ; date de décès inconnue (entre 1792 et 1796 ?). Postérité inconnue.

3e) Rose MERIAU, baptisée le 5 février 1790 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain Jean POTEREAU, marraine Rose MERIAU) ; date de décès inconnue (entre 1792 et 1796 ?). Postérité inconnue.

3f) Marie MERIAU, née le 12 fructidor an V (29 août 1797) à Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père, journalier, du chef lieu, Saint-Christophe, assisté de Pierre BLANCHARD, journalier, de la Morlière, Coudrie, et Augustin CORNEVIN, du chef lieu, Saint-Christophe ; décédée le 19 décembre 1826 à la Noue au Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, célibataire, déclaration par Pierre MERIAU, laboureur, du Pré Neuf, et Jacques BOURON, journalier, de la Tenaillère.

2b) René MERIAU, baptisé le 1er janvier 1757 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain René MERIAU, marraine Louise RABILLÉ) ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 12 janvier 1785, Anne GUILBAUD, née le 29 octobre 1748 à Saint-Paul-Mont-Penit, fille de Mathurin GUILBAUD et de défunte Françoise SEIGNEURET ; témoins Jean TRICHET et Charles BARREAU, cousins du proparlé, Mathurin GUILBAUD, père de la proparlée et Jean GUILBAUD son frère. René décède à la Vergne, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumé le 28 juillet 1788, sa femme et ses frères présents. Date de décès inconnue pour Anne (entre 1792 et 1796 ?).

3a) Louis Germain MERIAU, né le 17 décembre 1785 à la Vergne, Saint-Christophe-du-Ligneron, et baptisé le même jour (parrain Louis Germain MERIAU, marraine Rose MERIAU) ; laboureur, il épouse à Saint-Paul-Mont-Penit, le 1er février 1809, Françoise TOUZEAU, née le 2 octobre 1787 à Maché, fille de Jean TOUZEAU, laboureur, et de Françoise CAILLONNEAU, de la Petitière, Saint-Paul ; témoins Jean GUILBAUD, laboureur, cousin germain de l’époux, qui signe, et Jean POTEREAU, laboureur, oncle d’alliance du marié, tous deux de Saint-Christophe, Jean TOUZEAU, laboureur, de la Petitière, Saint-Paul, père de la mariée, et Jacques GENDRE, laboureur, de Maché, son cousin germain. Laboureur, Louis Germain décède le 1er octobre 1835 à la Petitière, Saint-Paul-Mont-Penit, déclaration le 2 par Louis MERIAU, laboureur, de la Petitière, son fils, qui signe, et Pierre CLAUTOUR, de la Cantinière, son gendre. Cultivatrice, veuve, Françoise décède le 16 novembre 1860 à la Petitière, Saint-Paul-Mont-Penit, déclaration par Jacques JARNY, cultivateur, de l’Ymonnière, son gendre, et Jean PRAUD, tisserand, de Saint-Paul, ami de la famille.

4a) Marie MERIAU, née le 26 novembre 1809 à la Petitière, Saint-Paul-Mont-Penit, déclaration par son père en présence de Jean TOUZEAU, grand-père maternel, et Mathurin JARNY, domestique, du bourg ; décédée le 6 mai 1818 à la Petitière, Saint-Paul-Mont-Penit, déclaration par son père et par Jean Gourmaud, sacristain.

4b) Jeanne MERIAU, née le 11 décembre 1811 à la Petitière, Saint-Paul-Mont-Penit, déclaration le 12 par son père en présence de Jean TOUZEAU, grand-père maternel, cultivateur, de Saint-Paul, et René REDAIS, domestique, de Saint-Paul ; cultivatrice, elle épouse à Saint-Paul-Mont-Penit, le 3 février 1835, Pierre CLAUTOUR, de la Cantinière, né à Saint-Paul-Mont-Penit le 22 février 1809, laboureur, fils de feu Jean CLAUTOUR, laboureur, décédé le 27 octobre 1825, et de Françoise MARTINEAU, cultivatrice, de la Cantinière, présente et consentante ; témoins Jean CLAUTOUR, laboureur, de la Cantinière, frère du marié, François ANGIBAUD, charpentier, cousin germain du marié, Pierre François JOLLY, laboureur, cousin germain de la mariée, et François CAILLONNEAU, propriétaire. Jeanne décède le 29 mars 1865 à la Cantinière, Saint-Paul-Mont-Penit, déclaration par Louis MERIAU, frère de la défunte, cultivateur, de la Petitière, qui signe, et Jean CLAUTOUR, son beau-frère, cultivateur, de la Chapelle-Palluau. Pierre décède le 23 janvier 1886 à la Cantinière, Saint-Paul, déclaration le 24 par Jean Louis ROBIN, cultivateur, de la Boulinière, Saint-Paul, et Baptiste NÉAU, cultivateur, de la Cantinière, Saint-Paul, tous deux gendres du défunt.

4c) Louis MERIAU, né le 26 décembre 1814 à la Petitère, Saint-Paul-Mont-Penit, déclaration par son père, qui signe, en présence de Jean RORTHAIS, cultivateur, du chef-lieu, Saint-Paul, et Jean GOURMAUD, tisserand, aussi du chef-lieu ; cultivateur, de la Petitière, Saint-Paul, il épouse à Saint-Paul-Mont-Penit, le 11 janvier 1842, Thérèse PRAUD, domestique la Chapelle-Palluau, née le 22 septembre 1819 à Saint-Etienne-du-Bois, fille de Jean PRAUD, journalier à Saint-Etienne-du-Bois, et de feue Catherine PENAUD, décédée le 10 avril 1824 à Saint-Etienne-du-Bois ; témoins Pierre CLAUTOUR, laboureur, beau-frère par alliance de l’époux, de Saint-Paul, qui signe, Jacques PAJOT, propriétaire, de Saint-Paul, qui signe, Pierre PENAUD, propriétaire, oncle de la mariée, et Jean PRAUD, laboureur, frère de la mariée, tous deux aussi de Saint-Paul. Signe aussi un Jacques MÉRIAU non nommé à l’acte. Thérèse décède le 17 décembre 1851 à la Petitière, Saint-Paul-Mont-Penit, déclaration par Pierre CLAUTOUR, laboureur, de la Cantinière, son beau-frère, et Louis PRAUD, laboureur, de la Cosnière, Beaulieu-sous-Bourbon, son frère. Louis décède le 20 janvier 1872 au Vivier, Grand’Landes, déclaration par Louis MERIAU son fils, cultivateur, du Vivier, et Pierre CLAUTOUR son neveu, cultivateur, de Saint-Paul-Mont-Penit, qui signent tous deux.

5a) Louis MÉRIEAU, né le 12 avril 1843 à la Petitière, Saint-Paul-Mont-Penit, déclaration par son père, qui signe, en présence de Jean PRAUD, laboureur, grand-père maternel de l’enfant, de Saint-Etienne-du-Bois, et Jacques JARNY, laboureur, oncle de l’enfant par alliance, de la Limonière, Saint-Paul. Date de décès à trouver.

5b) Euphrosine Flavie MÉRIEAU, née le 17 janvier 1847 à la Petitière, Saint-Paul-Mont-Penit, déclaration par son père, qui signe, en présence de Pierre PENAUD, propriétaire, grand-oncle maternel de l’enfant, de la Chapelle-Palluau, et de Louis PRAUD, laboureur, de Beaulieu-sous-Bourbon, oncle maternel de l’enfant ; elle épouse à Grand’Landes, le 13 mai 1873, Jean Louis BULTEAU, de Saint-Etienne-du-Bois, cultivateur, né le 2 janvier 1841 à Grand’Landes, fils des défunts Alexis BULTEAU et Jeanne ROBIN, les deux décédés à Saint-Etienne-du-Bois ; témoins Pierre BULTEAU, cultivateur, de Saint-Etienne, frère de l’époux, Jean PENAUD, cantonnier-chef, beau-frère de l’époux, de Saint-Etienne, Jean CHEVOLLEAU, cultivateur, de la Chapelle-Palluau, beau-frère de l’épouse, et Baptiste NÉAU, cultivateur, de Saint-Paul-Mont-Penit, cousin de l’épouse et tous signent sauf Pierre BULTEAU. Date de décès à trouver pour Jean Louis et Euphrosine.

5c) Marie Mélanie MÉRIEAU, née le 14 décembre 1849 à la Petitière, Saint-Paul-Mont-Penit, date de décès à trouver ; cultivatrice, de Grand’Landes, elle épouse le 26 novembre 1872 à la Chapelle-Palluau, Jean Pierre CHEVOLLEAU, né le 13 avril 1846 à la Chapelle-Palluau, fils de François CHEVOLLEAU, cultivateur, et de Rose BARRÉ, cultivatrice ; témoins Henri CHEVOLLEAU, cultivateur, cousin de l’époux, de la Chapelle-Palluau, Louis BARRÉ, cultivateur, cousin de l’époux, de la Chapelle-Palluau, Louis MÉRIEAU, cultivateur, frère de l’épouse, de Grand’Landes, et Baptiste NÉAU, cultivateur, cousin de l’épouse, de Saint-Paul-Mont-Penit. Tous les témoins signent. Dates de décès à trouver pour Marie et pour Jean.

4d) Louise MERIAU, née le 12 décembre 1817 à la Petitière, Saint-Paul-Mont-Penit, déclaration par son père, qui signe, en présence de Jean GOURMAUD, sacristain, du chef-lieu, et Jean PRERAUDEAU, domestique, aussi du chef-lieu de la commune de Saint-Paul ; cultivatrice, elle épouse à Saint-Paul-Mont-Penit, le 18 janvier 1842, Jacques JARNY, de la Limonière, laboureur, né le 13 octobre 1818, fils mineur de François JARNY, laboureur, et de Rose LHERITEAU ; témoins Jacques Joseph GUITARD, tourneur, oncle du marié du côté maternel, de Challans, qui signe, Pierre ROUSSEAU, cabaretier, ami du marié, du chef-lieu, Saint-Paul, Louis MERIAU, laboureur, frère de la mariée, de la Petitière, et Joseph COUTAUD, laboureur, ami de l’épouse, de Maché. Les époux signent aussi. Cultivatrice, Louise décède le 3 avril 1895 à l’Ymonnière, Saint-Paul, déclaration par Jean Louis et Jacques JARNY, cultivateurs, de l’Ymonnière, ses fils. Cultivateur, Jacques décède le 26 août 1900 à l’Ymonnière, Saint-Paul, déclaration le 27 pas Jean Louis et Jacques JARNY, ses fils, cultivateurs, de l’Ymonnière.

4e) Rosalie MERIAU, née le 5 décembre 1833 à la Petitière, Saint-Paul-Mont-Penit, déclaration par son père, qui signe, en présence de Pierre PERROCHEAU, sacristain, du chef-lieu, Saint-Paul, qui signe, et Jean Chrisostome ROUSSEAU, cabaretier, aussi du chef-lieu ; cultivatrice, elle épouse à Saint-Paul-Mont-Penit, le 16 juin 1856 (et à cette occasion il lui est indiqué par erreur pour date de naissance le 5 novembre 1833), Pierre MICHINEAU, né le 6 octobre 1828 à Saint-Paul-Mont-Penit, cultivateur, de la Brosse, fils de feu Jean MICHINEAU, décédé le 30 janvier 1828 à la Liborgère, et de Marie RABILLER, de la Brosse, présente et consentante ; témoins Jacques AMERAUD, propriétaire, du Plessis-Ravard, Maché, ami du marié, qui signe, Jacques AMERAUD, propriétaire, du Plessis-Ravard-en-Maché, ami du marié, Louis MERIAU, cultivateur, de la Petitière, frère de la mariée, qui signe, et Jacques JARNY, cultivateur, de l’Ymonnière, beau-frère de la mariée. Cultivatrice, veuve, Rosalie décède le 24 juin 1879 à la Charouffière, Palluau, déclaration par Louis MICHINEAU, cultivateur, de la Charoussière, fils de la défunte, et Louis DOUILLARD, cultivateur, de la Charoussière, ami et voisin de la défunte. Date de décès à trouver pour Pierre, avant 1879.

2c) Louis MERIAUD, né et baptisé le 16 mars 1758 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain Louis RABILLÉ, marraine Gabrielle MERIAUD), décédé à la Vergne, Saint-Christophe-du-Ligneron, inhumé le 11 novembre 1772, sa mère présente.

2d) Louis Germain MERIAU, baptisé le 11 janvier 1760 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain René MOUILLAU, marraine Magdeleine RABILLÉ) ; il épouse le 30 janvier 1788 à Saint-Christophe-du-Ligneron, le jour où Louise MERIAU, sa cousine épouse Louis PERROCHEAU, Jeanne RABILLÉ, née le 6 mars 1759 à Saint-Christophe-du-Ligneron, veuve de Pierre ERIAU, fille des défunts Mathurin RABILLÉ et Magdeleine GRASSINEAU ; témoins Charles MERIAU, frère du proparlé, et Louis PERROCHEAU son cousin, Mathurin RABILLÉ, frère de la proparlée et François NICOLLEAU son beau frère. Louis Germain est cité par CHASSIN, avec son beau-frère Mathurin RABILLÉ, de la Thibaudière, parmi les émeutiers du 1er mai 1791 à Saint-Christophe-du-Ligneron, lors des premiers troubles sanglants qui annoncent la guerre de Vendée. Il figure sous le n° 85 sur la liste électorale de Saint-Christophe, datée apparemment de l’an V (ADV), avec son beau-frère Mathurin RABILLER qui y occupe la 84e place. Laboureur, Louis Germain décède le 22 mars 1825 à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son frère Pierre MERIAU, journalier, du chef lieu, et Mathurin RABILLER, laboureur, de la Thibaudière, son neveu par alliance. Indigente, Jeanne décède le 21 octobre 1840 au Petit Bois, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Charles MERIAU, laboureur, de la Petite Brosse, et Jean PORTEAU, cantonnier, du chef lieu, tous deux amis de la défunte.

3a) Jean MERIAU, baptisé le 8 février 1789 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain Jean RABILLÉ, marraine Gillette DENIOT) ; date de décès inconnue (entre 1792 et 1796 ?). Postérité inconnue.

3b) Marie Anne MERIAU, née à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 19 février 1791 (parrain Mathurin RABILLÉ, son oncle, marraine Catherine BOUTEILLER, sa tante – mais non mari et femme) ; date de décès inconnue (entre 1792 et 1796 ?). Postérité inconnue.

3c) N. MERIAU, jumeau de la précédente, garçon mort-né le 19 février 1791 à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, inhumé le 20 en présence de Louis Germain MERIAUD son père et de plusieurs autres.

3d) Louise MERIAU, née vers 1795 ; prénommé Jeanne sur l’acte de mariage civil mais Louise sur l’acte religieux, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 22 mai 1811, son cousin Jean MERIAU, laboureur, de la Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, procédant sous l’autorité de Louis PERROCHAU, son oncle, fils des défunts Mathurin MERIAU et Jeanne PERROCHEAU ; témoins Louis PERROCHAUD, laboureur, de la Grande Grossetière, oncle de l’époux, Alexandre DENIOT, laboureur, de la Grande Grossetière, ami de l’époux, Louis Germain MERIAU, laboureur, de la Thibaudière, père de l’épouse, Nicolas GRASSINEAU, propriétaire, de la Flachauzière, Maché, cousin germain de l’épouse. D’où postérité. Jean décède le 13 juin 1838 à la Petite Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 14 par son cousin Charles MÉRIEAU, laboureur, de la Noue du Loup, et son ami Jacques CHARTAUD, même profession, du chef lieu. Indigente, veuve, Louise décède le 10 juillet 1838 à la Petite Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 11 par Nicolas PLUMET, journalier, de la Pouillère, Froidfond, beau frère de la défunte, et Louis PÉROCHEAU, laboureur, de la Grande Grostière, son cousin germain.

3e) Magdeleine MÉRIAU, née le 7 nivôse an VII, (27 décembre 1798) à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 8 par son père, pour lors prénommé Louis François, assisté de Mathurin RABILLER et Louis LEGATS, laboureurs demeurant séparément à la Thibaudiere ; elle épouse le 25 septembre 1837 à Saint-Christophe-du-Ligneron, son père décédé de nouveau prénommé Louis François sur l’acte civil mais Germain sur l’acte religieux, sa mère présente et consentante, Jean Louis PRAUD, domestique à la Thibaudière, né le 18 floréal an V (7 mai 1797) à la Rigaude, Commequiers, fils de Jean PRAUD, laboureur, décédé aux Plantes, Challans, le 1er mai 1832, et de Louise CHARRIER, présente au mariage, de la Cornélie de Challans ; témoins Mathurin JARNY, laboureur, de la Thibaudière, ami de l’époux, Mathurin RABILLER, de la Thibaudière, cousin germain par alliance de l’époux, Hyacinthe POIRON, sarger, du chef lieu, ami de l’épouse, Charles CLAVET, sabotier, du chef lieu, ami de l’épouse. D’où postérité. Jean Louis, journalier, de la Roirie, Saint-Christophe, décède le 7 juin 1857, déclaration le 8 par Mathurin RABILLER, de Falleron, journalier, cousin du défunt, et Louis COUTURIER, de la Roirie, carrier. Veuve, journalière, Magdeleine décède le 18 décembre 1868 au chef lieu, Saint-Christophe, déclaration par Pierre MÉRIAU, journalier, de la Division, neveu de la défunte, et Louis PLUMET, laboureur, de la Gilbretière, neveu de la défunte.

3f) Marie Anne MÉRIAU, née le 10 mai 1804 à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, et baptisée le même jour, selon le registre religieux (parrain Mathurin RABILLIER, marraine Jeanne ERIAUD), mais née le 22 floréal an XII (12 mai 1804) selon le registre civil, mention sans doute erronée car la date en marge indique le 20 floréal, donc le 10 mai, et c’est bien la date du 20 floréal qui est reprise dans son acte de mariage, déclaration par son père assisté de Mathurin RABILLER, laboureur, de la Thibaudière, et René MOIZAU, laboureur, de la Garanne ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 6 novembre 1822, Nicolas PLUMET, domestique à la Thibaudière, né à la Plumetière, Falleron, mais baptisé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 26 avril 1782, fils de Louis PLUMET, décédé à Froidfond le 8 juillet 1791, et de Marie POITEVIN, décédée au village du Fief Sorin, Froidfond, le 22 avril 1814, veuf en premier mariage de Marie AMELINEAU et en second de Jeanne SAVARIAU, décédée le 4 mai 1818. Nicolas est ainsi un frère de Marguerite PLUMET qu’épouse en second mariage à Froidfond, en 1828, Jacques BOURON, le veuf de Catherine MERIAU (voir plus loin, fille de Pierre 1e). Témoins Jean GROUSSEAU, laboureur, de la Thibaudière, ami de l’époux, Mathurin RABILIER, laboureur, de la Thibaudière, ami de l’époux, Louis Germain MÉRIAU, laboureur, de la Thibaudière, père de l’épouse, et Jean MÉRIAU, laboureur, de la Thibaudière, beau-frère de l’épouse. D’où postérité. En mai 1832, lors d’une attaque de militaires par des réfractaires, l’un de ces derniers, GAUVRIT, est tué. Arrivant sur les lieux quelques instants plus tard, Nicolas est arrêté par les soldats commis à la garde du corps et qui, le voyant passer, le prennent pour un de leurs assaillants du matin. Il sera relâché quelques semaines plus tard, faute de preuve. Indigent, Nicolas décède à la Petite Taillée, Saint-Christophe, le 19 février 1844, déclaré le 20 par Jacques BOURON, laboureur, de la Billette, Froidfond, beau frère du défunt, et René COUGNAUD, journalier, de la Bernerie, Froidfond, son cousin germain. Journalière, veuve, Marie Anne décède le 21 juin 1873 à Falleron, déclaration par ses fils Joseph PLUMET, journalier, de Falleron, et Louis Plumet, cultivateur, de Saint-Christophe. Trois mois après son mariage, Marie Anne avait mis au monde un fils dont Nicolas ne s’est pas reconnu le père et qui porte donc le nom de sa mère (est-ce ce qui justifie qu’on ait pu imposer pour mari à une jeune fille de dix-huit ans un homme déjà deux fois veuf ?) :

4a) Pierre MERIAU, né le 13 février 1823 à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son grand-père, Germain MERIAU, laboureur, de la Thibaudière, et Pierre GUYOCHET, de la Taillée ; domestique à la Plumetière, il épouse à Falleron, le 14 novembre 1854, Marie REDOIS, de la Plumetière, journalière, née le 27 avril 1828 à la Morlière, Froidfond, veuve de Jean ORDONNEAU, laboureur, décédé à la Plumetière le 12 avril 1852, fille naturelle de Marie REDOIS, journalière, de la Morlière, Froidfond, présente et consentante ; en présence de Marie MERIAU, mère de l’époux, journalière à la Naullière, commune de Froidfond, présente et consentante, et des témoins François MERIAU, domestique à Maché, frère du marié, Pierre PLUMET, journalier à Froidfond, frère du marié, Joseph ORDONNEAU, laboureur, de la Plumetière, beau-frère de la mariée, et Germain HERBERT, propriétaire, de Froidfond, beau-frère de la mariée. Journalier cultivateur, Pierre décède le 29 mars 1890 à la Cornulière, Falleron,  déclaration par Jean Marie MÉRIEAU, cultivateur, de la Ferronnière, Froidfond, son fils, et Jean ROBIN, maçon, de la Cornulière, Falleron, son gendre. Date de décès à trouver pour Marie.

5a) Marie MERIAU, née le 30 juillet 1855 à la Coretière, Falleron, déclaration par son père en présence de François MERIAU, oncle de l’enfant, domestique à Maché, et Jacques BRECHET, cultivateur à la Coretière, ami du père de l’enfant ; décédée le 7 septembre 1857 à la Gibretière du Bois, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Louis et Joseph PÉROCHAUD, laboureurs, de la Gibretière du Bois, ses voisins.

5b) Joséphine MERIAU, née le 28 février 1857 à la Gibretière du Bois, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Joseph PÉROCHAUD, et Pierre GROSSEAU, tous deux laboureurs à la Gibretière du Bois ; domestique, elle épouse à Falleron, le 19 juin 1882, Jean ROBIN, domestique, né à Falleron le 16 mai 1857, fils de feu Charles ROBIN, cultivateur, décédé à Falleron, et de Rose JARNIE, cultivatrice à Falleron ; témoins Victor ORDONNEAU, domestique, de Falleron, ami de l’époux, Louis LEGAST, cultivateur, de Falleron, ami du marié, Louis PLUMET, cultivateur, de Saint-Christophe, oncle de l’épouse, Louis EVEILLARD, cultivateur, de Falleron, ami de la mariée, qui signe. Dates de décès à trouver pour Joséphine et pour Jean.

5c) Jean Marie MÉRIAU, né le 26 novembre 1858 à la Gibretière du Bois, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 27 par son père en présence de Louis et Joseph PÉROCHAUD, laboureurs, de la Gibretière du Bois, voisins du père ; domestique, il épouse à Froidfond, le 26 octobre 1886, Marie Marguerite MORNET, née le 11 octobre 1864 à la Ferronnière, Froidfond, cultivatrice, fille de Louis MORNET et de Angelina GABORIT, cultivateurs, de la Ferronnière de Froidfond ; témoins Louis PLUMET, cultivateur, oncle de l’époux, de Saint-Christophe, Pierre JOLY, cultivateur, ami de l’époux, de Froidfond, qui signe, Louis MORNET, cultivateur, frère de l’épouse, de Saint-Etienne, qui signe, Mathurin MORNET, cultivateur, frère de l’épouse, de Froidfond, qui signe, ainsi que l’épouse. Dates de décès à trouver pour Jean Marie et Marie Marguerite.

6a) Jean Marie Athanase Etienne Alexis MÉRIAU, né le 2 août 1887 à la Ferronnière, Froidfond, déclaration le 3 par son père en présence de Jean-Marie MORNET, domestique, de la Ferronnière, cousin de l’enfant, Jean-Marie SEIGNEURET, cordonnier, du chef-lieu, ami des parents de l’enfant. En marge : marié à Froidfond le 17 mai 1911 (le même jour que Marguerite sa sœur) avec Eugénie Victorine BURGAUD ; décédé à Challans le 17 novembre 1968.

6b) Marguerite Marie Alphonsine MÉRIEAU, née le 13 juillet 1889 à la Ferronnière, Froidfond, déclaration le 14 par son père en présence de Jean-Marie SEIGNEURET, cordonnier, et Armand BROCHARD, maçon, tous deux de Froidfond, amis de l’enfant. Les deux témoins signent, mais pas le père. En marge : mariée à Froidfond le 17 mai 1911 (le même jour que son frère Jean Marie), avec Jean-Baptiste Auguste PONTOREAU ; décédée à Froidfond le 4 novembre 1963.

6c) Ursule Mathilde Marie MÉRIEAU, née le 5 septembre 1891 à la Maison Neuve, Froidfond, déclaration par son père en présence de Jean-Marie MORNET, oncle de l’enfant, cultivateur, et Jean-Marie SEIGNEURET ami de l’enfant, cordonnier, tous deux de Froidfond. Pas de mention en marge ; de fait, elle décède le 19 septembre 1891 à la Maison Neuve, Froidfond, déclaration par Armand BROCHARD, maçon, et Bénamé BONNET, maréchal-ferrant, tous deux de Froidfond, ami de la décédée 

6d) Jean Marie Clément MÉRIEAU, né le 21 juillet 1892 à la Maison Neuve, Froidfond, déclaration par son père en présence de Jean-Marie SIRE, charpentier, de Froidfond, ami de l’enfant, et Armand BROCHARD, maçon, de Froidfond, ami de l’enfant. En marge : marié à Froidfond le 29 janvier 1919 avec Aurélie Marie FLAIRE ; décédé à Froidfond le 5 octobre 1980.

6e) Elie Auguste Célestin MÉRIEAU, né le 18 novembre 1893 à la Maison Neuve, Froidfond, déclaration par son père en présence de Jean-Marie SEIGNEURET, cordonnier, de Froidfond, cousin et ami de l’enfant, et Bénamé BONNET, maréchal-ferrant, de Froidfond, ami de l’enfant. Pas de mention en marge ; de fait, il doit mourir à la guerre de 14-18, si c’est bien lui qu’il faut reconnaître sous le E. MERIEAU gravé sur le monument du cimetière.

6f) Mathilde Marguerite Henriette MÉRIEAU, née le 5 mai 1894 à la Maison Neuve, Froidfond, déclaration par son père en présence de Louis CHAGNEAU, menuisier, de Froidfond, non parent de l’enfant, et Arthur BROCHARD, maçon, de Froidfond, non parent de l’enfant. En marge : décédée à Saint-Philbert-de-Bouaine le 22 décembre 1989.

6g) Marie Armandine MÉRIEAU, née le 20 juin 1898 à la Maison Neuve, Froidfond, déclaration par son père en présence de Pierre PADIOLLEAU, cultivateur, de la Maison Neuve, voisin du père de l’enfant, et Germain MORNET, cultivateur, de la Ferronnière, cousin de l’enfant. En marge : mariée à Froidfond le 11 mai 1921 avec Auguste Pierre Elie FERRÉ. Décédée à Montsoreau (Maine-et-Loire) le 25 février 1986.

5d) Marie Adèle MÉRIEAU, née le 1er mai 1861 à la Coretière, Falleron, déclaration par son père en présence de Jacques BRECHET, cultivateur, de Falleron, ami du père de l’enfant, et Jean GABORIT, cultivateur, de Falleron, non parent de l’enfant ; domestique, elle épouse sans contrat à Falleron, le 15 janvier 1884, Jean Marie CHARRIER, domestique, né le 5 février 1858 à Falleron, veuf de Mélanie GAUTIER, fils des défunts Jean CHARRIER et Marie MICHAUD, de leur vivant propriétaires à Falleron ; témoins Baptiste VIOLLEAU, domestique, ami de l’époux, de Falleron, Louis DAVIAU, journalier, beau-frère de l’époux, de Falleron, qui signe avec l’adjoint au maire, Joseph PLUMET, journalier, oncle de l’épouse, de Touvois, et Jean Marie MÉRIEAU, domestique, frère de l’épouse, de Falleron. Date de décès à trouver pour Marie Adèle et Jean Marie.

5e) Marie MÉRIEAU, née le 23 mars 1863 à la Coretière, Falleron, déclaration par son père en présence de Jean MOLLÉ, laboureur, de la Coretière, non parent de l’enfant, et Jacques BRECHET, laboureur, de la Coretière, aussi non parent. Date de décès à trouver.

5f) Marguerite Marie MÉRIEAU, née le 2 mai 1865 à la Coretière, Falleron, déclaration le 3 par son père en présence de Pierre BRECHET, laboureur, de la Coretière, non parent de l’enfant, et Mathurin RABILLER, cultivateur, de la Coretière, famille de l’enfant ; domestique, elle épouse sans contrat à Falleron, le 9 mai 1887, Albert Henri BRECHET, charpentier, né le 23 avril 1864 à Touvois (Loire-Inférieure), fils de feu Joseph BRECHET, de son vivant journalier à Touvois, et de Anne GOBIN, journalière à Touvois ; témoins François EVEILLARD, journalier, beau-frère de l’époux, de Touvois, Jean CAILLAUX, cantonnier, oncle de l’époux, de Touvois, Jean Louis GAUTIER, marchand, ami de l’épouse, de Falleron, Jean Marie MÉRIEAU, cultivateur, frère de l’épouse, de Froidfond. Date de décès à trouver pour Marguerite et Albert.

5g) Angèle MÉRIAU, née le 16 octobre 1867 à la Division, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Baptiste GUYOCHET, laboureur, du Petit Charron, ami du père, et Christophe TOUGERON, sabotier, du bourg, ami du père ; date de décès à trouver.

5h) Pierre Henri Constant MÉRIAU, né le 18 juin 1870 à la Division, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Charles AUBRON, sabotier, et André GUILLOT, rentier, tous deux du chef lieu, amis du père ; décédé le 16 août 1871 à la Division, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Charles AUBRON, sabotier, et André GUILLOT, rentier, tous deux du chef lieu.

5i) Victorine Marie MÉRIEAU, née le 29 juillet 1873 à la Cornulière, Falleron, déclaration par son père en présence de Jean TOUZEAU, métayer, de la Cornulière, parent éloigné de l’enfant, et Auguste HERBERT, meunier, de la Cornulière, voisin et ami ; domestique, elle épouse à Froidfond, le 26 juin 1895, sans contrat, Auguste Louis SIRE, né le 14 novembre 1869 à Froidfond, sabotier, fils de feu Pierre Auguste SIRE, cultivateur, et de Marie Angèle Pélagie AUBRON, cultivatrice ; témoins Stanislas SIRE, cultivateur, oncle de l’époux, de Froidfond, Louis JOLY, charpentier, beau-frère de l’époux, de Froidfond, Jean Marie MÉRIEAU, cultivateur, frère de l’épouse, de Froidfond, et Pierre JOLY, cultivateur, non parent de l’épouse, de Froidfond. Les époux signent avec le dernier témoin. Date de décès à trouver pour Victorine et pour Auguste. 

2e) Marie Anne MERIAU, baptisée le 24 mars 1762 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain François MORNET, marraine Louise MORNET) ; mineure, elle épouse à Apremont, le 7 juin 1785, sous l’autorité de sa mère, sa tutrice naturelle, Louis LOGEAIS, placé sous l’autorité de Pierre RABAUD, son curateur, fils mineur de défunt Jean LOGEAIS et de Louise BROSSARD ; témoins Pierre RABAUD, curateur de l’époux, et Jean BLIER son oncle par alliance, Marie Anne RABILLÉ mère de l’épouse, et Louis Germain MERIAUD (son frère). Prénommée Louise, elle décède le 19 janvier 1832 à la Penardière, Apremont, déclaration par ses fils Louis et Jean LOGEAIS, laboureurs, de la Penardière.

2f) Jeanne MERIAU, née à la Neuville, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 11 décembre 1763 (parrain Pierre MERIAU, marraine Catherine MORNET), décédée le 6 août 1829 à la Grande Vergne, Saint-Christophe-du-Ligneron, célibataire, déclaration par Pierre MERIAU, journalier, demeurant au chef-lieu de Saint-Christophe, et Charles MERIAU, laboureur, de la Noue au Loup (son frère et son neveu).

2g) Rose MERIAU, née à la Neuville, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 22 août 1766 (parrain Charles MERIAU, marraine Marie Anne MORNET) ; procédant sous l’autorité de Charles MERIAU, son curateur ad hoc, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 23 janvier 1788, Jean POTEREAU, fils de défunt Louis POTEREAU et de Marie QUAIREAU ; témoins André et Jacques QUAIREAU, oncles du proparlé, Charles et Pierre MERIAU, frères de la proparlée. D’où postérité. Jean décède à Saint-Christophe-du-Ligneron le 20 décembre 1818 ; Rose décède le 3 novembre 1853 à la Grande Vergne, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Pierre POTEREAU, laboureur, de la Grande Vergne, et Jean POTEREAU, laboureur, de la Petite Vergne, tous deux fils de la défunte.

2h) Pierre MERIAU, né à la Neuville, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 22 septembre 1768 (parrain Pierre MOUILLAUD, marraine Marie ARCHAMBAUD) ; laboureur, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 28 messidor an V (16 juillet 1797), Catherine BRECHET, née le 5 janvier 1773 à la Fouctière, Challans, fille de feu Jean BRECHET et de Catherine PONTHOREAU, de la Fouctière, Challans ; témoins Claude HEDELIN, qui signe, André PINSON, parent au quatre de la future, qui signe, Jean Christophe PEROCHEAU, et Jacques BOUTEILLER, qui signe. Le 12 juin 1816, Pierre est cité à comparaître devant Gaspard BOURDIN, juge de paix de Palluau, avec son demi-frère Jacques BOURON et Hélène BRECHET, veuve FERRÉ, sa belle-sœur, par Maître Jacques Alexandre ROUVIERE, notaire royal à Apremont, qui veut obtenir le remboursement d’avances qu’il leur a consenties lorsqu’ils exploitaient sa métairie de la Grande Grossetière, ancienne propriété des GUINEBAULD de la Grossetière saisie par la Nation comme bien d’émigrés. Journalier, Pierre décède le 5 mai 1835 au chef-lieu, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 6 par François MERIAU, journalier, de la Gaudetière, Falleron, et Pierre MERIAU, meunier, du Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, ses fils. Catherine décède indigente le 16 janvier 1851, au chef-lieu, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Jean MÉRIEAU, tisserand, du chef lieu, son fils, et Henry DINAUD, instituteur, du chef-lieu, son voisin et ami, qui signe.

3a) François MÉRIAU, né le 9 pluviôse an V (28 janvier 1797) à la Grande Vergne, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père assisté de Pierre MURAIL, cultivateur, et de Jacques BARREAU, cultivateur. François naît donc six mois avant le mariage civil de ses parents : le mariage religieux des parents et le baptême de l’enfant sont-ils célébrés par un prêtre réfractaire, quelque part dans le bocage ? Voir à ce propos le baptême de Pierre (4b ci-après). Domestique, de la Rogerie, Falleron, il épouse à Falleron, le 6 février 1827, Marie Victoire MERCERON, connue adulte sous le prénom de Victoire, laboureur, née le 12 messidor an XI (1er juillet 1802) à Falleron, de l’Epinas, fille de feu Pierre MERCERON, laboureur, décédé à Falleron le 13 mai 1821, et de Marie PINSON, de l’Epinas ; Présents et consentant au mariage Pierre MERIAU, journalier, et Catherine BRECHET, père et mère de l’époux, et Marie PINSON, mère de l’épouse ; témoins Jean MERCERON, laboureur, du village de l’Epinas, Jacques MERCERON, laboureur, même demeure, David GABORIT, cultivateur, de la Cornulière, et François RIAN, meunier et même demeure. Cultivatrice, Victoire décède à peine quatre semaines après son sixième accouchement, le 31 décembre 1839, à la Gaudetière, Falleron, déclaration le même jour par Jean MERCERON, cultivateur, et Jacques MERCERON, les deux demeurant séparément à l’Epinas, Falleron, ses frères. Veuf, journalier, François décède le 21 janvier 1863 à la Gaudetière, Falleron, déclaration par Jean MERIAU, journalier, de Saint-Christophe, son frère, et Jean MERCERON, laboureur, de Falleron, son beau-frère.

4a) Marie MÉRIEAU, née le 1er décembre 1827 à l’Epinas, Falleron, déclaration par son père en présence de Jean MERCERON et Pierre PINSON, tous deux laboureurs, de l’Epinas, décédée le 10 novembre 1831 à l’Epinas, Falleron, déclaration par Jean MERCERON, laboureur, de l’Epinas, ami de la décédée, et Louis DUPONT, laboureur, de l’Epinas, voisin de la décédée.

4b) Jean MÉRIEAU, né le 19 mars 1830 à l’Epinas, Falleron, déclaration par son père en présence de Jean MERIAU, domestique au château du Verger, Saint-Christophe, et de Jean MERCERON, de l’Epinas. Voltigeur n° 4116 au 91e régiment, 2e bataillon, pendant la guerre de Crimée, Jean entre le 17 novembre 1855 à l’hôpital militaire de Constantinople (terrain de manœuvres) et y décède le 26 par suite de diarrhée chronique, inscription sur le registre des décès dudit hôpital le 26 novembre 1855, reporté sur le registre de Falleron le 26 avril 1856.

4c) Marie Victoire MÉRIEAU, née le 6 septembre 1832 à l’Epinas, Falleron, déclaration par son père en présence de Pierre MERIAU, laboureur, du Pré Neuf, Saint Christophe, oncle de l’enfant, et Jean MERCERON, laboureur, de l’Epinas, Falleron, oncle de l’enfant. Date de décès à trouver.

4d) Marie Aimée MÉRIEAU, née le 23 janvier 1835 à la Gaudetière, Falleron, déclaration par son père en présence de Jean MERCERON, laboureur, de l’Epinas, oncle de l’enfant, et Louis MERIEAU, de Saint Christophe, oncle de l’enfant. Date de décès à trouver.

4e) François Pierre MÉRIEAU, né le 24 mars 1837 à la Gaudetière, Falleron, déclaration par son père en présence de Philippe COUGNAUD et de Jean GROUSSEAU, tous deux cultivateurs, amis et voisins de l’enfant, de la Gaudetière. Date de décès à trouver.

4f) Joséphine Clarisse MÉRIEAU, née le 4 décembre 1839 à la Gaudetière, Falleron, déclaration par son père en présence de Jacques BRECHET, journalier, de la Gaudetière, et Jean GROUSSEAU, cultivateur, de la Gaudetière ; décédée le 18 décembre 1839 à la Gaudetière, Falleron, deux semaines avant sa mère, déclaration par les mêmes témoins qu’à sa naissance.

3b) Pierre MÉRIAU, né le 5 ventôse an VII (23 février 1799) à la Grande Vergne, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 6 par son père en présence de Jacques BOURON, frère consanguin du déclarant, aussi laboureur au même lieu, et Jean PERROCHEAU, sabotier, du chef lieu de la commune, baptême le 14 juin de la même année par HERVOUET, prêtre réfractaire de la Garnache (parrain Jacques TRAINEAU, marraine Jeanne BRECHET, tante de l’enfant) ; le même jour, Pierre et Catherine servent de parrain et marraine à Françoise MURAIL, la fille de la cousine Françoise MERIAU ; domestique, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 28 novembre 1821, Catherine FOUCAUD, laboureur, née le 4 août 1782 au Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, veuve de François BRENON, meunier, décédé le 9 août 1817 au Pré Neuf, fille de Jean FOUCAUD, laboureur, décédé à Challans en 1793 durant la Guerre de la Vendée, ce qu’affirment par serment devant le maire les quatre témoins à l’acte, et de Marie Charlotte MORNET, vivante, présente et consentante ; témoins Pierre MÉRIAU, journalier, du chef lieu de la commune, père de l’époux, Jacques TOUGERON, sabotier, du chef lieu, ami de époux, Charles MÉRIAU, laboureur, de la Noue au Loup, ami de l’épouse et oncle paternel de l’époux, Charles MÉRIAU, même profession et domicile, ami de l’épouse et cousin germain de l’époux. En prévision de ce mariage, le 17 novembre 1821, Catherine a fait réunir le conseil de famille de ses cinq enfants mineurs sous la présidence de Gaspard BOURDIN, juge de paix de Palluau, pour se voir confirmer la tutelle de ses enfants et faire nommer subrogé tuteur Jean DOUX, leur oncle paternel. Il faut sans doute reconnaître Pierre dans ce Pierre MÉRIEAU que cite la « notice sur Froidefont » de l’Abbé L. TEILLET parue en 1892 dans la Revue du Bas Poitou, parmi les « receleurs de réfractaires » arrêtés par le Préfet De JUSSIEU sur les dénonciations de CAILLONNEAU. Meunier, Pierre décède le 26 novembre 1848 au Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Jean MÉRIEAU son frère, tisserand, et Louis MÉRIEAU son frère, journalier. Catherine décède le 30 novembre 1848 au Pré Neuf (à quatre jours d’écart, contagion ?), Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son beau-frère Louis MÉRIEAU, journalier, de la Noue du Loup, et René MIGNÉ, journalier, du Pré Neuf.

4a) Marie Catherine MÉRIAU, née le 22 novembre 1822 au Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 23 par son père en présence de François MÉRIAU, domestique au Ligneron, Saint-Christophe-du-Ligneron, oncle paternel, et Jean FOUCAUD, meunier, du Pré Neuf, oncle maternel ; propriétaire, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 1er juillet 1840, Louis RABILLARD, farinier, né aux Habites le 27 février 1815, fils de François RABILLARD, farinier, et de Magdeleine GUILBAUD, de la Croix Chiron, Commequiers ; témoins Jean RABILLARD, farinier, de la Croix Chiron, frère de l’époux, François RABILLARD, farinier, du château de Commequiers, frère de l’époux, Louis MÉRIEAU, journalier, du Pré Neuf, oncle de l’épouse, et Jean MÉRIEAU, tisserand, du chef lieu, oncle de l’épouse. Ce mari décède au Pré Neuf le 8 octobre 1843, déclaration le 9 par Pierre MÉRIEAU, farinier, du Pré Neuf, beau père du défunt, et Henry Dinaud, instituteur, du chef lieu, Saint-Christophe-du-Ligneron, ami du défunt. Cultivatrice, du Pré Neuf, Marie Catherine épouse ensuite à Froidfond, le 10 janvier 1849, Louis LOISY, né le 20 avril 1808 au Fief Sorin, Froidfond, charpentier, fils des feux Pierre LOISY, laboureur, et Magdeleine BURGAUD, sans profession, décédée le 31 décembre 1830 à Saint-Christophe-du-Ligneron ; témoins Pierre LOISY, laboureur, des Mazureau, frère de l’époux, et Pierre MIGNÉ, laboureur, de la Redoisière, Saint-Christophe-du-Ligneron, son beau-frère, François MÉRIEAU, journalier, de la Gaudetière, Falleron, oncle de l’épouse, Augustin GUIOCHET, laboureur, des Ardières, Saint-Christophe-du-Ligneron, son beau-frère. D’où postérité. Marie Catherine décède le 6 avril 1854 au Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Jean MÉRIAU, tisserand, et Augustin GUYOCHET, cultivateur, tous deux du chef lieu, Saint-Christophe-du-Ligneron. Charpentier, du Pré Neuf, Louis épouse en second mariage, à Saint-Christophe, le 19 mai 1856, Victoire Marie BURGAUD, née le 28 mai 1814 à la Garnache, domestique, du Pré Neuf, Saint-Christophe, veuve de Pierre SEIGNEURET, fille de défunt Jacques BURGAUD, meunier, de la Garnache, et de Marie Anne TOUZEAU, propriétaire, du Pontreau, la Garnache ; témoins Pierre LOISY, laboureur, frère de l’époux, de Falleron, et Pierre MIGNÉ, laboureur, son beau-frère, de Saint-Christophe, Louis BURGAUD, laboureur, de la Garnache, frère de l’épouse, et Jean DUPONT, laboureur, de la Garnache, son beau-frère. En prévision de ce mariage, Louis fait réunir le 26 avril 1856 le conseil de famille de ses deux filles, sous la présidence d’Aimé Alexandre Prosper GIBOTTEAU, juge de paix de Palluau, pour leur faire nommer Auguste GUYOCHET, leur oncle maternel, comme subrogé tuteur. Propriétaire, Louis décède le 30 décembre 1882 au Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 31 par Joseph PÉROCHEAU, commerçant, du chef lieu, gendre du défunt, et Victor SIMONNEAU, sabotier, aussi du chef lieu, aussi gendre du défunt..

4b) Victoire MÉRIAU, née le 20 août 1824 au Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le même jour par son père en présence de Jean FOUCAUD, meunier, du Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, oncle maternel de l’enfant, et Paul CORNEVIN, même profession et domicile ; décédée le 10 octobre 1826 au Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 11 par Jacques FERRÉ, domestique farinier chez Pierre MÉRIAU, au Pré Neuf, et Pierre FOUCAUD, farinier, du Pré Neuf.

4c) Louise MÉRIAU, née le 31 mars 1826 au Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, décédée le 1er avril 1826 au Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 1er avril par son père en présence de Pierre MÉRIAU, grand-père de l’enfant, journalier, du chef lieu, Saint-Christophe-du-Ligneron, et François MÉRIAU, domestique, des Tessinières, Froidfond. Le registre civil ne lui donne pas de prénom, seulement le registre de baptême

4d) Marguerite Félicité MÉRIAU, jumelle de Louise, née le 1er avril 1826 au Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, décédée le 1er avril 1826 au Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron. Mêmes témoins que la précédente, même observation sur le prénom.

3c) Marie MÉRIAU, née le 10 prairial an IX (30 mai 1801) à la Grande Vergne, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de CHEIX, de la commune de Soullans, et de Pierre BARAUX. Journalière et célibataire, Marie décède le 13 octobre 1862 à Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le même jour par ses frères Jean MÉRIAU, journalier, de Saint-Christophe, et François MÉRIAU, journalier, de Falleron. Elle avait donné le jour à une fille naturelle :

4a) Marie MÉRIAU, née le 25 décembre 1819 au Bourg, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 26 par Pierre MÉRIAU, journalier, du chef lieu de la commune, en présence de Georges LAPRÉ, boulanger, du chef lieu de la commune, et de René CHARTAUD, aubergiste, même domicile ; baptisée aussi le 26 (parrain Pierre MERIAU son grand-père, marraine Hélène BRECHET sa tante) ; tailleuse, célibataire, Marie décède le 20 octobre 1843 au chef lieu (maire), au bourg (curé), Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Jean MÉRIEAU, du chef lieu, tisserand, et Louis MÉRIEAU, de la Noue du Loup, journalier (ses oncles).

3d) Jean MÉRIAU, né le 3 ventôse an XII (23 février 1804) à la Grande Vergne, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jean BRECHET, laboureur, de la Benetière, Challans, et Jacques BOURRON, aussi laboureur, de Saint-Christophe, baptisé le 23 février 1804 (parrain Pierre BRECHET, marraine Hélène BRECHET, son oncle et sa tante) ; journalier et célibataire, Jean décède le 13 décembre 1879 au chef-lieu, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Joseph PÉROCHEAU, cabaretier, qui signe, et Victor SIMONNEAU, sabotier, tous deux petits-neveux du défunt, du chef-lieu (chacun a épousé une fille de Louis LOISY et Marie Catherine MERIAU).

3e) Louis MÉRIAU, né le 12 août 1806 à la Grande Grossetière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Louis PEROCHEAU, laboureur, de la Grande Grossetière, et Jacques BOURON, laboureur, de la Grande Grossetière ; domestique, du Ligneron, Saint-Christophe-du-Ligneron, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, en présence de sa mère consentante, le 21 juin 1837, Marie Rose QUAIREAU, servante, du Ligneron, née le 11 juin 1806 au Châtelier, Saint-Christophe-du-Ligneron, fille d’André QUAIREAU, journalier, décédé le 13 septembre 1817 à la Grande Brosse, Saint-Christophe-du-Ligneron, et d’Aimée Véronique TOUGERON, de la Grande Brosse, présente et consentante ; témoins François MÉRIAU, journalier, de la Gaudetière, Falleron, frère de l’époux, Pierre MÉRIAU, farinier, du Pré Neuf, frère de l’époux, André QUAIREAU, laboureur, de la Fourogerie, frère de l’épouse, et Jean QUAIREAU, laboureur, de la Belletière, frère de l’épouse. Marie Rose décède le 20 octobre 1857 à la Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par ses frères André QUÉREAU, journalier, de la Tenaillère, Saint Christophe-du-Ligneron, et Jean QUÉREAU, laboureur, de la Gérie, Challans. Journalier, Louis décède le 11 avril 1858 à la Grande Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 12 par Jean MÉRIAU, journalier de Saint-Christophe-du-Ligneron, et François MÉRIAU, journalier, de Falleron, ses frères.

4a) Marie Rose MÉRIEAU, née le 29 février 1838 (selon ce qu’affirme l’acte, alors que 1838 n’est pas bissextile !) au Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Pierre MÉRIEAU, farinier, du Pré Neuf, Saint-Christophe, oncle de l’enfant, et André QUEREAU, laboureur, de la Fourogerie, Saint-Christophe, oncle de l’enfant ; décédée le 22 août 1862 à l’Asile des aliénés, Napoléon (auj. la Roche-sur-Yon), déclaration par Pierre BEAU, concierge, et Benjamin ROUILLON, agent de Police, domiciliés à Napoléon.

4b) Joséphine MÉRIEAU née le 19 février 1840 au Pré Neuf, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jean QUAIREAU, laboureur, de la Beltière, Saint-Christophe, oncle de l’enfant, et Pierre POTÉREAU, laboureur, de la Beltière, ami du déclarant. Date de décès à trouver.

4c) Victoire Constance MÉRIEAU, née le 5 décembre 1842 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jean QUAIREAU, journalier, de la Grande Brosse, Saint-Christophe, Jean MÉRIEAU, tisserand, du chef-lieu, Saint-Christophe, tous deux oncles de l’enfant ; décédée le 17 octobre 1845 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron., déclaration par ses oncles Jean MÉRIEAU, tisserand, du chef-lieu, Saint-Christophe, et Pierre MÉRIEAU, meunier, du Pré Neuf, Saint-Christophe.

4d) Aimé Pierre MÉRIEAU, né le 28 mai 1849 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence d’Augustin Pierre MÉRIEAU, laboureur, de la Noue du Loup, Saint-Christophe, cousin de l’enfant, Jean MÉRIEAU, tisserand, du chef-lieu, Saint-Christophe, oncle de l’enfant ; décédé le 12 septembre 1850 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Louis QUAIREAU, journalier, du village de la Noue du Loup, oncle du défunt, Jean QUAIREAU, journalier, du village de la Noue du Loup, oncle du défunt.

4e) Jean Louis MÉRIEAU, jumeau du précédent, né le 28 mai 1849 à la Noue du Loup, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence d’Augustin Pierre MÉRIEAU, laboureur, de la Noue du Loup, Saint-Christophe, cousin de l’enfant, et Jean MÉRIEAU, tisserand, du chef-lieu, Saint-Christophe, oncle de l’enfant. Date de décès à trouver.

3f) Jean MÉRIAU, né le 2 novembre 1808 à la Grande Grossetière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 3 par son père en présence de Jean BRECHET, laboureur, de la Benetière, Challans, son oncle, et Charles PEROCHEAU, homme de confiance, du chef-lieu, son ami. Date de décès à trouver.

3g) Rosalie MERIAU, née le 11 septembre 1811 à Beauchêne, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Jacques Fidèle RABILLER, propriétaire, du chef lieu, et Joseph TOUGERON, tisserand, du chef lieu, baptisée le 12 (parrain François MERIAU, marraine Rose POTEREAU), décédée le 13 octobre 1821 au bourg, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 14 par Pierre MÉRIAU, journalier, domicilié au chef-lieu, père de la défunte, et François MÉRIAU, domestique au Ligneron, frère de la défunte.

2i) Julien MERIAU, né à la Neuville, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 20 octobre 1770 (parrain Julien CORNEVIN, marraine Louise CORNEVIN). Décédé à la Vergne, Saint-Christophe-du-Ligneron, inhumé le 4 février 1772, sa mère et ses frères présents.

1e) Pierre MERIAU, né vers 1724 ; il épouse à Coudrie, alors prénommé René fils de René par le curé de Coudrie, le 28 janvier 1756, Catherine MORNET, née vers 1733 sans doute à Coudrie, fille de défunt Jacques MORNET et de Marie Magdeleine PINSON ; témoins Pierre TRICHET, Jean MORNET, Mathurin MERIAU, Louis PRAINEAU, et Pierre TRICHET. Pierre décède à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumé le 20 novembre 1778, ses enfants présents. Catherine décède à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumée le 27 novembre 1778, ses enfants et autres parents et amis présents.

2a) N. MERIAU, garçon ondoyé le 2 janvier 1757 à Saint-Christophe-du-Ligneron, inhumé le même jour.

2b) Louise MERIAU, baptisée le 11 décembre 1757, Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain Jean MORNET, marraine Louise MERIAU), date de décès inconnue (entre 1792 et 1796 ?). Postérité inconnue.

2c) Pierre Thomas MERIAU, connu adulte sous le prénom de Pierre, baptisé le 21 décembre 1758 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain Pierre MERIAU, marraine Marie Anne RABILLÉ) ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 9 février 1790, le même jour où son frère Jacques épouse Anne CLAUTOUR et où sa sœur Catherine épouse Jacques BOURON, Marie CLAUTOUR, la sœur d’Anne, née le 17 juin 1766 à Falleron, fille des défunts Jacques CLAUTOUR et Marie GUYARD, de Falleron, procédant sous l’autorité de Jacques BOURON, son curateur ad hoc ; témoins Jacques MERIAU, frère du proparlé et Jean MERIAU son cousin, Jacques BOURON, curateur ad hoc de la proparlée et François RABILLÉ son cousin. Pierre décède à une date inconnue, sans doute entre 1792 et 1796 car on ne lui connaît que Louise pour enfant. Domicilié à la Forêt, Saint-Christophe, Marie épouse en seconde union,  à la Chapelle-Palluau, le 4 thermidor an XI, Jean AMERAUD, de la Brosse, Saint-Paul-Mont-Penit, né à la Giletière, Saint-Paul-Mont-Penit, le 10 janvier 1761, fils majeur de Jacques AMERAUD et de feue Jeanne THIBAUDEAU, en présence de quatre « amis » tous domiciliés à la Chapelle-Palluau, non parents, apparemment pris sur place pour des raisons pratiques. En fait, les promesses de mariage sont publiées à Saint-Christophe, et le mariage aurait dû être célébré à Saint-Paul. Mais, pour les ans IX à XII, Saint-Paul est réuni à la Chapelle-Palluau, d’où ces complications. Jean décède à la Rivière, Saint-Paul-Mont-Penit, le 8 février 1806, déclaration le 9 par Jacques BOURMAUD, laboureur, de la Rivière, et Joseph GENAUDEAU, laboureur, de la Marsillière, Saint-Christophe-du-Ligneron, beau frère du décédé. Marie vit encore en 1812, deux fois veuve ; date de décès à trouver.

3a) Louise MERIAU, née le 26 novembre 1790 à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron ; fille de confiance, de la Taillée, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 17 juin 1812, sa mère étant présente et consentante, Louis LAMBERT, de la Grande Grossetière, fils de Louis LAMBERT et de Marie NICOLLEAU, présents et consentants, et donc frère de Pierre LAMBERT qui épousera la cousine germaine de Louise, Marie Anne MERIAU (voir 3b ci-après) en 1815 ; témoins Louis LAMBERT, laboureur, de la Grossetière, père de l’époux, Louis PERROCHAUD, laboureur, du même lieu, ami de l’époux, Jacques BOURRON, laboureur, de la Plumetière, Falleron, oncle maternel de l’épouse, Jean DENIOT, laboureur, de la Taillée, ami de l’épouse ; mariage religieux le 22 juin, mêmes témoins. D’où postérité. Cultivatrice, Louise décède le 3 avril 1852 à la Grande Grossetière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Jean BARRETEAU et Jean Louis BARRETEAU, tous les deux gendres de la défunte, laboureurs, de la Grande Grostière. Laboureur, Louis décède le 25 août 1853 à la Grande Grostière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 26 par Pierre LAMBERT, laboureur, des Petites Ralières, Challans, et Jacques LAMBERT, même profession, de la Gaudinière, Challans, tous deux frères du défunt.

2d) Jacques MERIAU, baptisé le 31 mars 1760 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain Jacques MERIAU, marraine Andrée MERIAU) ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 9 février 1790, le même jour où son frère Pierre épouse Marie CLAUTOUR et où sa sœur Catherine épouse Jacques BOURON, Anne CLAUTOUR, la sœur de Marie, née le 2 juin 1768 à Falleron, fille des défunts Jacques CLAUTOUR et Marie GUYARD, de Falleron, procédant sous l’autorité de Jacques BOURON, son curateur ad hoc ; témoins Pierre MERIAU, frère du proparlé et Jean MERIAU son cousin, Jacques BOURON, curateur ad hoc de la proparlée et François RABILLÉ son cousin. Jacques figure sous le n° 72 sur la liste électorale de Saint-Christophe, datée apparemment de l’an V (ADV). Laboureur, il décède le 27 germinal an X (17 avril 1802) à la Garanne, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 28 par Laurent MERIAU, laboureur, cousin du défunt et Louis PEROCHEAU, laboureur, beau-frère du défunt. Anne épouse en seconde union à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 20 floréal an XI (10 mai 1803), René MIGNÉ, fils de feu Jean MIGNÉ et de feue Marie GAILLARD, et veuf de Catherine JOLY. Ce second mari décède à la Brissonnière, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 6 juillet 1808, déclaration le même jour par Louis JOLY, boucher, du chef lieu, et Jean ANGIBAUD, journalier, de la Forêt, ses amis. Deux fois veuve comme sa sœur Marie, Anne décède le 27 janvier 1816 au bourg, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 28 par Jacques BOURON, de Falleron, laboureur, son beau-frère, et Louis LAMBERT, de Saint-Christophe, laboureur, son ami (le père de son gendre) ; elle est inhumée le 28.

3a) Jacques MERIAU, né le 11 décembre 1790 à la Garanne, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le même jour (parrain Pierre MERIAU, marraine Marie CLAUTOUR, ses oncle et tante) ; décédé le 2 juin 1791 à Saint-Christophe-du-Ligneron, et inhumé le 3 en présence de son père et de Pierre MERIAU son oncle.

3b) Marie Anne MERIAU, née vers 1794 à Saint-Christophe-du-Ligneron ; domestique, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 15 décembre 1815, Pierre LAMBERT, laboureur, né le 15 février 1796 à Saint-Christophe-du-Ligneron, fils de Louis LAMBERT et de Marie NICOLLEAU, et donc frère de Louis LAMBERT qui a épousé la cousine germaine de Marie Anne, Louise MERIAU en 1812 ; témoins Louis et Louis LAMBERT, laboureurs, père et frère de l’époux, Jean GUIOCHET, laboureur, ami de l’épouse, et Jacques BOURON, laboureur, oncle de l’épouse. Marie Anne décède le 1er août 1839 aux Petites Raillères, Challans, cultivateur, déclaration le 2 par Pierre GAUTIER et Jacques LAMBERT, tous deux journaliers, des Petites Raillères, le premier ami et le second beau-frère de la décédée. Cultivateur, des Petites Raillères, Pierre épouse en secondes noces à Challans, le 12 février 1840, Marie MORNET, journalière, aussi des Petites Raillères, veuve de Jacques FOUQUET, décédé le 16 février 1828, fille des feux Jean MORNET et Magdeleine SAMPOIL ; témoins Jacques LAMBERT, frère de l’époux, et Jacques LAMBERT, neveu de l’époux, tous deux cultivateurs, de Challans, Alexis MORNET frère de l’épouse, et Louis MIGNÉ, beau-frère de l’épouse, tous deux journaliers, de Challans. Pierre décède aux Petites Raillères, Challans, le 21 juin 1854, déclaration le 22 par Louis MIGNÉ, son beau-frère, cantonnier, du quartier de la Bellonnière, et Jacques LAMBERT, son frère, cultivateur, de la Métairie de la Gaudinière.

3c) Jean MERIAU, né à Saint-Christophe-du-Ligneron le 25 février 1799, suivant l’acte de notoriété dressé par le juge de paix du canton de Challans le 11 février 1824 ; journalier, de Pontabert, Sallertaine, il épouse à Sallertaine, le 17 novembre 1824, Marie PAINSON / PINSON, de Pontabert, Sallertaine, née même commune le 5 nivôse an IX, fille de Jean PAINSON, charpentier, de Pontabert, présent et consentant, et de feue Jeanne GRONDIN,  décédée à Sallertaine le 12 juin 1824, en présence de Pierre LAMBERT, laboureur, de la Cantinière, Saint-Christophe-du-Ligneron, beau-frère par alliance du côté maternel du contractant (!), de Jacques LAMBERT de la Cantiniere, Saint-Christophe, ami du contractant, Louis GRONDIN, laboureur, de Pontabert, oncle par alliance de la contractante du côté maternel, et Jean MILCENDEAU, laboureur, de Pontabert, qui signe, ami de la contractante. Charon, Pierre décède à Pontabert, Sallertaine, le 15 mai 1836, déclaration le 16 par Pierre LAMBERT, laboureur, des Petites Ralières, Challans, beau frère du défunt, et François GRONDIN, laboureur, de Pontabert, Sallertaine, cousin germain du défunt.

4a) Jean Marie Louis MERIAU, né à Pont Abert, Sallertaine, le 8 août 1825, déclaration le même jour par son père, journalier, en présence de Louis PAINSON, charron, de Pont Abert, et de Jean PAINSON, charron, de Pont Abert (oncle et grand-père de l’enfant).

4b) Marie Adélaïde MERIEAU, née à Pont Abert, Sallertaine, le 6 août 1828, déclaration le lendemain 7 par son père, charpentier charron, en présence de Jean PINSON, charpentier charron, 72 ans, demeurant avec sa fille à Pontabert, grand-père de l’enfant, et Jacques GRONDIN, journalier, de Pontabert.

4c) Rose Victorine MERIAU, née à Pontabert, Sallertaine, le 26 décembre 1830, déclaration le même jour par son père, charron, en présence de Jacques GRONDIN, journalier, de Pontabert, voisin du père, et de Jean MILCENDEAU, propriétaire, de Pontabert, ami du père.

4d) Jean MERIAU, né à Pontabert, Sallertaine, le 13 juin 1833, déclaration le 14 par son père, charron, en présence de Jacques GRONDIN, journalier, et Jacques BESSEAU, cabaretier, tous deux de Pontabert.

4e) Henri Louis MERIAU, né à Pontabert, Sallertaine, le 10 novembre 1834, déclaration le même jour par son père, charron, en présence de Louis PINSON, charron, oncle de l’enfant, et Jacques GRONDIN, journalier, tous deux de Pontabert.

3d) Victoire MERIAU, née le 20 messidor an IX (9 juillet 1801) à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père en présence de Louis PEROCHAUD, laboureur, et Jacques MECHIN, sabotier ; domestique, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 7 février 1825, Pierre NAULEAU, laboureur, né le 29 juin 1796 à Grand’Landes, fils de Louis NAULEAU, laboureur, et de Jeanne CHAUVET, de la Garangeoire, Saint-Christophe ; témoins Louis NAULEAU, laboureur, de la Garangeoire, père de l’époux, Louis NAULEAU, laboureur, de la Garangeoire, frère de l’époux, Pierre LAMBERT, laboureur, de la Cantinière, beau-frère de l’épouse, Jacques LAMBERT, laboureur, de la Cantinière, ami de l’épouse. D’où postérité. Journalière, Victoire décède le 6 juillet 1860 au bourg, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Hyacinthe POIRON, sergier, du bourg, et Jacques TESSON, propriétaire, du bourg, tous deux amis de la défunte. Maçon, Pierre décède au bourg, Saint-Christophe, le 30 octobre 1869, déclaration le 31 par Auguste POIREAU, chantre, et Jean GUILBAUD, marchand, tous deux du bourg, ses voisins.

2e) Anne Gabrielle MERIAU, connu adulte sous le prénom d’Anne, née à la Neuville, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 14 mai 1762 (parrain Charles MERIAU, marraine Anne MORNET) ; procédant sous l’autorité de Jacques MORNET, son curateur, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 19 février 1783, Louis PERROCHEAU, fils majeur de feu Jacques PERROCHEAU et de défunte Jeanne PERROCHEAU ; témoins Jacques PERROCHEAU, frère du proparlé et Jacques DENIOT son cousin, Jacques MORNET, curateur de la proparlée et Jacques MERIAU son frère. Anne décède le 2e jour complémentaire de l’an X (19 septembre 1802) à Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 3e jour complémentaire par Louis PEROCHEAU, son époux, et Laurent MERIAU, laboureur, son cousin.

2f) Catherine Agnès MERIAU, connue adulte sous le prénom de Catherine, née à la Neuville, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 3 octobre 1763 (parrain François MORNET, marraine Marguerite MORNET),; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 9 février 1790, le même jour où ses frères Pierre et Jacques épousent les sœurs CLAUTOUR, Jacques BOURON, né à Falleron le 13 août 1765, fils de Jacques BOURON et de Jeanne GUYARD, de Falleron ; témoins Jacques BOURON, père du proparlé, Pierre GUYARD son cousin, Pierre et Jacques MERIAU frères de la proparlée. D’où postérité. Catherine décède le 4 mai 1826 à la Plumetière, Falleron, déclaration le 5 par Jacques BOURON, laboureur, du village de la Plumetière, et Pierre BOURON, même demeure. Laboureur, de la Plumetière, Falleron, Jacques se remarie le 11 août 1828 à Froidfond, avec Marguerite PLUMET, journalière, née commune de la Garnache le 22 décembre 1785, et domiciliée au village du Fief Sorin, Froidfond, fille de feu Louis PLUMET, laboureur, décédé à Froidfond le 23 août 1792, et de feue Marie POIDEVIN, décédée à Froidfond le 22 avril 1814. Marguerite est ainsi une sœur de Nicolas PLUMET qui épouse en 1822 Marie Anne MERIAU, fille de Louis Germain. Le remariage de Jacques BOURON fournit l’occasion au maire de rappeler aussi la filiation de ce dernier : fils de feu Jacques BOURON, décédé à Falleron le 13 janvier 1794, et de feue Jeanne GUYARD, décédé le 17 décembre 1807, aussi à Falleron (Où le maire recueille-t-il les dates de 1792 et 1794 ? Aucun registre n’existe pour cette période !) ; témoins Pierre et Jacques BOURON, laboureurs, tous deux fils de l’époux, demeurant séparément au village de la Plumetière, Falleron, Jacques GAUVARD et Jacques CORNU, laboureurs, amis à l’épouse, de la Plumetière, Falleron. Par les confidences faites par Nicolas PLUMET au juge d’instruction des Sables-d’Olonne, on sait que Jacques BOURON aura maille à partir avec les réfractaires dans les années 1830-1831. Cultivateur, Jacques décède le 21 août 1849 à la Biette, Froidfond, déclaration par son fils Jacques BOURON, cultivateur au hameau de la Bernerie, Froidond, et son gendre Pierre NAULEAU, laboureur, de Saint-Christophe-du-Ligneron.

2g) Marie Magdeleine MERIAU, née à la Neuville, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 23 mars 1765 (parrain Pierre MORNET, marraine Louise MORNET), décédée à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, inhumée le 27 février 1788, ses frères présents.

2h) Jean MERIAU, né à la Neuville, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 10 mars 1767 (parrain Jacques MORNET, marraine Magdeleine MORNET), décédé le 21 décembre 1782 à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, inhumé le 22, ses frères présents.

2i) François MERIAU, né à la Neuville, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 21 mai 1768 (parrain Charles MERIAU, marraine Marie Anne GILET), décédé à la Neuville, Saint-Christophe-du-Ligneron, inhumé le 1er novembre 1770, son père présent.

2j) Mathurin MERIAU, né à la Neuville, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 12 septembre 1769 (parrain Mathurin MERIAU, marraine Catherine MERIAU), décédé à la Cosnière, Saint-Christophe-du-Ligneron, inhumé le 20 février 1771.

1f) Louise MERIAU, née vers 1732 ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 21 février 1753, Jean MORNET, charpentier, fils mineur de feu Pierre MORNET et de Marie BOUGY ; témoins Marie BOUGY mère du proparlé, François MORNET son frère, et Jacques MORNET son cousin, René MERIAU père de la proparlée, Charles MERIAU son frère, et Pierre TRICHET son beau-frère. D’où postérité. Louise décède au bourg, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumée le 9 février 1780, son mari présent. Jean décède le 27 septembre 1811 au chef lieu, Saint-Christophe, déclaration le 28, faite sous le prénom de Jacques (!), par Jean MORNET, charpentier, du chef lieu, son fils, et René CHARTAUD, cabaretier, du chef lieu, son gendre. Il est inhumé le même jour, 28 septembre, cette fois sous le prénom de Jean, en présence de René CHARTAUD, Jean MORNET, Pierre MORNET et François MORNET.

1g) Andrée Gabrielle MERIAU, née vers 1733 ; elle épouse à Froidfond, le 30 juillet 1783, Etienne GUESDON, né le 26 décembre 1753 à Froidfond, fils des défunts Pierre GUESDON et Catherine VRIGNAUD ; témoins Louis GUESDON, frère de l’époux, Jean Louis BOISLEVE qui signe, Julien SIMONEAU, Pierre BRIANCEAU, et Louis BLANCHARD, qui signe. Andrée décède le 29 novembre 1786 à Froidfond et est inhumée le 30 en présence d’Estienne GUESDON son mari et de Jean GAUVARD. Sans postérité. Etienne épouse en seconde noce, le 30 messidor an IX, à Froidfond, Marianne RABILLÉ, de Saint-Christophe-du-Ligneron, fille de Pierre RABILLÉ et de Catherine GAIDON. Il décède au bourg de Froidfond, propriétaire, le 24 février 1815, déclaration le même jour par Marianne RABILLÉ épouse du décédé et par Pierre et Louis DURANTEAU ses neveux.

2°) Mathurin MERIAU, né vers 1690 - des indices concordants en font le frère de René (1), époux de Louise RABILLÉ ; il épouse à une date perdue (pas de registre avant 1737) Jeanne POTEREAU, née vers 1690. Mathurin est inhumé le 23 janvier 1753 à Saint-Christophe-du-Ligneron, sa femme présente. Jeanne décède à la Chambaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumée le 30 septembre 1769, ses enfants présents.

1a) Louise MERIAU, née vers 1722 ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 28 janvier 1761, Jacques REDOIS, né vers 1734, fils de René REDOIS et de défunte Louise BARREAU, témoins René REDOIS, père du proparlé, et Anthoine REDOIS son frère, Mathurin et Jean MERIAU, frères de la proparlée. D’où postérité. Jacques décède à la Chambaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumé le 6 novembre 1769, son père présent. Louise décède à la Chambaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumée le 15 novembre 1771, son frère présent.

1b) Mathurin MERIAU, né vers 1727 ; il épouse aux Habites, le 13 février 1747, Françoise RICHARD, née vers 1719, fille de feu Antoine RICHARD et de Catherine REMAUD ; témoins Mathurin MERIEAU père, René MERIEAU, Jacques MERIEAU cousins du proparlé, Louis RICHARD, Antoine RICHARD, Jean RICHARD, frères de la proparlée, et Pierre TRICHET, qui signe. Mathurin décède à la Chambaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron et est inhumé le 15 mars 1773, ses enfants présents. Françoise décède à la Tisonnière, Saint-Christophe-du-Ligneron et est inhumée le 21 février 1779, ses enfants présents.

2a) Marie MERIAU, baptisée le 28 mai 1749 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain Pierre MERIAU, marraine Louise MERIAU), inhumée le 30 novembre 1759 à Saint-Christophe-du-Ligneron, ses parents présents.

2b) Louise Françoise MERIAU, baptisée à Saint-Christophe-du-Ligneron le 9 novembre 1750 (parrain Louis RICHARD, marraine Louise MERIAU), inhumée le 28 avril 1753 à Saint-Christophe-du-Ligneron, ses parents présents.

2c) Jeanne Catherine MERIAU, connue adulte sous le prénom de Catherine, baptisée le 22 janvier 1754 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain Jean MERIAU, marraine Catherine MORINEAU) ; elle épouse le 16 janvier 1771, à Saint-Christophe-du-Ligneron, Pierre ARCHAMBAUD, fils mineur de feu François ARCHAMBAUD et de Louise FERRÉ, de Challans ; témoins Jacques HERTUS, beau-père du proparlé et Pierre PERROCHERAU son ami, Mathurin MERIAU, père de la proparlée et Pierre MERIAU, son cousin germain. Catherine disparaît entre 1792 et 1796 « par les causes de la guerre civile ». Pierre vit assez vieux pour enterrer ses propres fils ; indigent, il décède à la Grande Grostière, Saint-Christophe, le 28 mars 1832, déclaration le 29 par Louis BROCHEAU, laboureur, de la Grande Grostière, et Louis LAMBERT, même profession et domicile, amis du défunt, qui lui donnent pour parents Pierre ARCHAMBAUD et Marie HERTU. Ce n’est pas si mal pour de simples voisins qui connaissent peu le défunt. On trouve pire…

2d) Marie Anne MERIAU, baptisée le 4 mai 1755 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain Jean LOGEAIS, marraine Marie RICHARD), inhumée le 29 novembre 1759 à Saint-Christophe-du-Ligneron, ses parents présents.

2e) Marie Françoise MERIAU, connue adulte sous le prénom de Françoise, baptisée le 3 décembre 1758 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain Jean CAFFIN, marraine Marie Marguerite RICHARD) ; elle épouse le 10 janvier 1776, à Saint-Christophe-du-Ligneron, Pierre MEURAIL, fils de Pierre MEURAIL et de feue Perrine FORTIN ; témoins Pierre MEURAIL, père du proparlé et Jacques RICHARD, son cousin germain, Jean RICHARD, cousin germain de la proparlée, Françoise RICHARD, sa mère tutrice, Jean CAFFIN, son cousin germain. Selon divers témoignages ultérieurs, Pierre, journalier, décède en septembre 1803 à Saint-Christophe-du-Ligneron, mais non inscrit sur les registres. Françoise décède le 27 septembre 1838 à la Boulinière, Challans, déclaration le 28 par François MURAILLE, journalier, de Saint-Christophe, et Jacques MURAILLE, cultivateur, de la Boulinière, Challans, ses fils. La défunte n’a pas su, apparemment, leur transmettre toute son histoire : elle est dite par eux fille d’Alexandre MERIAU et de Françoise PERAUDEAU, noms de fantaisie donnés par ignorance ou confusion de souvenirs.

1c) Jean MERIAU, né vers 1734 ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 16 février 1757, Magdeleine TRICHET, née vers 1735, fille de Pierre TRICHET et de défunte Magdeleine GUILBAUD, en présence et du consentement de Jeanne POTEREAU, mère tutrice du proparlé, de Mathurin MERIAU son frère et de René MERIAU son oncle, de Pierre TRICHET, père de la proparlée, qui signe, de Mathurin DUPONT son beau frère et de Jean TRICHET son cousin germain. Magdeleine est inhumée le 20 décembre 1759, son mari et son père présents, quelques jours après ses deux filles ; contagion ? Le jour où sa sœur aînée Louise épouse Jacques REDOIS, le 28 janvier 1761, Jean se remarie à Saint-Christophe-du-Ligneron avec Catherine MORINEAU, née le 23 août 1738 à la Martinière, Saint-Christophe-du-Ligneron, fille de Germain MORINEAU et de Marguerite DUFIEF ; témoins Mathurin MERIAU, frère de l’époux, Charles et Pierre MERIAU ses cousins germains, Germain MORINEAU, père de la proparlée et Jacques RICHARD son beau-frère. Catherine décède à la Mansoire, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumée le 7 février 1768, son mari présent. Jean décède aussi à la Mansoire ; il est inhumé le 6 juin 1769.

2a) Marie Magdeleine MERIAU, née du premier lit le 18 mars 1758 à la Chambaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le même jour (parrain Pierre TRICHET, qui signe, marraine Marie TRICHET), inhumée le 2 décembre 1759 à Saint-Christophe-du-Ligneron, son père présent.

2b) Marie Anne MERIAU, baptisée le 7 décembre 1759 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain Mathurin MERIAU, marraine Françoise RICHARD), et inhumée le lendemain 8 à Saint-Christophe-du-Ligneron, ses parents présents.

2c) Mathurin MERIAU, né du second lit, baptisé le 6 novembre 1761 à Saint-Christophe-du-Ligneron (parrain Germain MORINEAU, marraine Marguerite CHARON) ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 27 novembre 1782, sous l’autorité de Jacques RICHARD, son curateur, Jeanne PERROCHEAU, fille de Louis PERROCHEAU et de défunte Marie RABILLÉ ; témoins Jacques RICHARD, curateur du proparlé, et René MERIAU son cousin germain, Loüis PERROCHEAU, père de la proparlée, et Jean BILLET son beau-frère. Jeanne décède à une date inconnue (entre 1792 et 1796), « décédée par les causes de la guerre civile » précise l’acte de mariage de son fils Jean en 1811. Laboureur, Mathurin épouse en seconde noce à Saint-Christophe-du-Ligneron le 5 thermidor an V (23 juillet 1797), Marguerite MORNET, née le 7 avril 1761 à Coudrie, veuve de Jean DENIAUD, disparu « par les causes de la guerre civile », qu’elle avait épousé à Coudrie le 23 novembre 1785, fille de défunt Jacques MORNET et de défunte Anne GUILLAUD, tous deux décédés à Coudrie, et donc nièce de Catherine MORNET, la femme de Pierre MERIAU ; témoins Léon LEGATS, laboureur, et Louis LEGATS, laboureur, Jean MORISSON, laboureur, et Louis BOUVIER, les quatre domiciliés de cette commune. Mathurin figure sous le n° 42 sur la liste électorale de Saint-Christophe, datée apparemment de l’an V (ADV), et son beau-frère Louis PEROCHEAU le suit sous le n° 43. Laboureur, Mathurin décède le 28 août 1810 à la Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par Pierre ARCHAMBAUD, journalier, de la Grande Grossetière, cousin du défunt, et Jacques RICHARD, laboureur, de la Cantinière, oncle du défunt ; il est inhumé le 30 août en présence d’Alexandre DENIOT (dont le père, jugé pour rébellion, a été guillotiné aux Sables-d’Olonne en mai 1793), Jean MERIAU, Joseph GENAUDEAU et Louis PERROCHEAU. Date de décès à trouver pour Marguerite.

3a) N. MERIAU, né du premier lit, garçon mort sitôt né, ondoyé le 24 septembre 1783 à la Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, et inhumé ses parents et amis présents.

3b) Marie Anne MERIAU, née le 21 novembre 1784 à la Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le même jour (parrain Louis PEROCHEAU, marraine René MORINEAU) ; date de décès inconnue (entre 1792 et 1796 ?). Postérité inconnue.

3c) Jeanne Aimée MERIAU, née le 1er mars 1787 à la Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le même jour (parrain Louis PEROCHEAU, marraine Françoise PERROCHEAU) ; date de décès inconnue (entre 1792 et 1796 ?). Postérité inconnue.

3d) N. MERIAU, garçon mort sitôt né, ondoyé le 7 octobre 1789 à la Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, et inhumé son père présent.

3e) Jean MERIAU, né vers 1792 à Saint-Christophe-du-Ligneron ; laboureur, de la Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, procédant sous l’autorité de Louis PERROCHAU, son oncle, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 22 mai 1811, sa cousine Louise MERIAU (voir précédemment, fille de Louis Germain 1d), de la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, née vers 1795 à Saint-Christophe-du-Ligneron, prénommée Jeanne sur l’acte de son mariage civil mais Louise sur l’acte religieux, fille de Louis Germain MERIAU et de Jeanne RABILLER, présents et consentants ; témoins Louis PERROCHAUD, oncle de l’époux, et Alexandre DENIOT, son ami, tous deux laboureurs, de la Grande Grossetière, Louis Germain MERIAU, laboureur, de la Thibaudière, père de l’épouse, et Nicolas GRASSINEAU, propriétaire, de la Flachauzière, Maché, son cousin germain, « lesquels ont attestés que les père et mère de l’époux étaient morts par les causes de la guerre civile », de sorte qu’ils n’en peuvent fournir les actes de décès (les témoins font une erreur par simplification. Si la mère du jeune homme semble effectivement disparaître pendant la guerre civile avec ses enfants en bas âge, Mathurin MERIAU, le père du marié, meurt en 1810, l’année précédant le mariage ! Il convient donc de ne pas prendre sans contrôle la formule « décédé par les causes de la guerre civile » si souvent rencontrée sur les actes de cette période). Préalablement à son mariage, Jean, mineur et orphelin, avait dû faire réunir son conseil de famille, le 13 mai 1811, sous la présidence de Gaspard BOURDIN, juge de paix de Palluau, pour en obtenir le consentement et se faire nommer pour curateur Louis PEROCHEAU, son oncle maternel. Le 16 juillet 1817, toujours devant le même juge de paix, Jean est nommé, par le conseil de famille, tuteur de Jeanne JARNY, sa nièce, fille des défunts Pierre JARNY et Jeanne ERIAU, cette dernière étant la demi-sœur de Louise, née du premier mariage de Jeanne RABILLER (voir la famille de Louis Germain). Jean décède le 13 juin 1838 à la Petite Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 14 par Charles MÉRIEAU, laboureur, de la Noue du Loup, son cousin, et Jacques CHARTAUD, même profession, du chef lieu, son ami. Veuve, indigente, Louise décède le 10 juillet 1838 à la Petite Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 11 par Nicolas PLUMET, journalier, de la Pouillère, Froidfond, beau frère de la défunte, et Louis PÉROCHEAU, laboureur, de la Grande Grostière, cousin germain de la défunte.

4a) Jean MERIAU, né le 19 octobre 1812 à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 20 par son père en présence de Jacques Fidèle RABILLER, sabotier, du chef lieu, et Charles CANTIN, tisserand, aussi du chef lieu, amis, et baptisé aussi le 20 (parrain Mathurin RABILLIER, marraine Magdeleine MERIAU) ; domestique, du Grand Logis des Habites, il épouse à Apremont, le 19 juillet 1843, Rosalie MIGNÉ, cultivatrice, née le 30 mai 1812 à Commequiers, fille d’Etienne MIGNÉ, cultivateur, et de Marie Jeanne BOUTIN, du Grand Logis des Habites ; témoins Jean VIOLLEAU, propriétaire, et Pierre MIGNÉ, cultivateur, tous deux du Grand Logis des Habites, amis du futur, Jean MIGNÉ, cultivateur, frère de la future, Charles MIGNÉ, frère de la future, aussi du Grand Logis des Habites. Journalier, Jean décède le 11 septembre 1850 à l’Hospice de Napoléon (auj. La Roche-sur-Yon), acte reporté sur le registre de Saint-Christophe le 7 octobre, déclaration par les sieurs Jacques BARON et François KERJOLY, infirmiers à l’hospice. Date de décès à trouver pour Rosalie.

5a) Marie Rose MÉRIEAU, née le 16 janvier 1845 à Mermande, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père, journalier, en présence d’Etienne MIGNÉ, laboureur, de Mermande, et Pierre MIGNÉ, même profession et domicile, son oncle, baptisée le même jour (parrain Etienne MIGNÉ son grand-père, marraine Marie Jeanne BOUTIN sa grand’mère) ; domestique, de la Bloire, Challans, elle épouse à Challans, le 1er juillet 1874, Jean Constant BROCHARD, cultivateur, des Rallières, Challans, né le 31 août 1842 à Challans, fils de Jean BROCHARD, garde particulier, et de Véronique GANDEMER, sans profession, des Rallières ; témoins Pierre BARREAU, cultivateur, ami de l’époux, de Challans, qui signe, François GOUËNE, meunier, beau-frère de l’époux, de Challans, Jean PONTOIZEAU, propriétaire, ami de l’épouse, qui signe, Jean MIGNÉ, meunier, oncle de l’épouse, de Froidfond. Le père de l’époux signe aussi. Dates de décès à trouver pour Marie Rose et Jean Constant.

5b) Angèle Aimée MÉRIEAU, née le 21 janvier 1847 à Bel Air, Maché, déclaration par son père, journalier, en présence de Jean SIRE, ami, cantonnier, de Belair, Maché, et Jean GUERINEAU, journalier, de Belair, Maché ; domestique, de la Bloire, elle épouse à Challans, le 22 juin 1870, Théophile Victor MUSSET, de la Bloire, domestique, né le 23 février 1837 à Challans, fils de feu Jacques MUSSET, journalier, et de feue Magdeleine PERROCHAUD, cultivatrice, les deux décédés à Challans ; témoins Jean MUSSET domestique, frère de l’époux, de Saint-Etienne-de-Mer-Morte, Simon THÉBAULT, négociant, ami de l’époux, de Challans, qui signe, Jean PONTOIZEAU, propriétaire, ami de l’épouse, de Challans, qui signe, et Charles MIGNÉ, marchand, oncle de l’épouse, de Commequiers. Dates de décès à trouver pour Angèle et pour Théophile.

4b) Jacques MERIAU, né le 19 août 1814 à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le même jour par son père en présence de Jacques Fidèle RABILLER, du chef lieu de la commune, sabotier, son ami, et Pierre ARCHAMBAUD, de la Grande Grossetière, journalier, son cousin germain, baptisé aussi le même jour (parrain Jacques BOURON, marraine Jeanne RABILLIER) ; décédé le 15 février 1819 à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 16 par son grand père Germain MÉRIAU, laboureur, de la Thibaudière, et Jean GROUSSEAU, même profession et domicile, inhumé le 17 en présence de Louis MERIAU, Jean MERIAU, Jean GROSSEAU et Mathurin RABILLIER.

4c) Louise MERIAU, née le 19 septembre 1816 à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le même jour par son père en présence de Louis SAVARIAU, laboureur, de la Flachausière, Maché, et Pierre GUILLOT, sabotier, domicilié au chef lieu de Saint-Christophe, et baptisée aussi le même jour (parrain Louis SAVARIAU, marraine Louise MERIAU). Date de décès à trouver.

4d) Louis François MERIAU, né le 12 avril 1819 à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le même jour par son père, laboureur, en présence de Louis Germain MÉRIAU, même profession et domicile, grand-père, et François MÉRIAU, domestique, de la Colinière, même commune, cousin maternel au 3e degré, baptisé aussi le même jour (parrain et marraine François et Marie MERIAU), décédé le 5 juin 1821 à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 6 par son père, laboureur, de la Thibaudière, et par Mathurin RABILIER, même profession et domicile, parent au 3e degré.

4e) Marie Anne MERIAU, née le 13 novembre 1821 à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 14 par son père en présence de Louis PEROCHEAU, laboureur, de la Grande Grossetière, cousin germain, et Clovis CANTIN, sacristain, qui signe ; cultivatrice, du Péau, elle épouse à la Garnache, le 14 juin 1846, Jean PADIOLLEAU, laboureur, du Péau, veuf en premier mariage de Marie Henriette MOLLÉ, décédée à la Garnache le 23 avril 1842, né le 4 novembre 1814 à la Garnache, fils de Joseph PADIOLLEAU, laboureur, décédé à la Garnache le 23 novembre 1843, et de Jeanne PRÉNEAU, décédée aussi à la Garnache le 19 novembre 1843 ; témoins François MOLLÉ, laboureur, beau-frère du marié, et Louis PADIOLLEAU, laboureur, oncle du marié, tous deux de l’Epinassière, Mathurin MASSONNEAU, laboureur, cousin germain de la future, des Brandes, qui signe, et Eugène PETIT, instituteur, ami des futurs, qui signe. La présence du cousin MASSONNEAU, et le mariage à la Garnache, font supposer que Marie Anne, après le décès précoce de ses parents, a été recueillie chez sa tante Marie Anne (voir 3f ci-après) qui vit aux Brandes, la Garnache. Ce premier mari décède à la Garnache le 21 décembre 1851. Journalière, de la Sorlière, la Garnache, Marie Anne épouse en seconde union, toujours à la Garnache, le 8 mai 1853, Joseph ORDONNEAU, né à Touvois le 31 août 1816, de la Plumetière, Falleron, cultivateur, veuf d’Olympe BRECHET qui est décédée à Froidfond le 10 septembre 1848, fils de Jean ORDONNEAU, décédé le 18 avril 1843, et de Jeanne MICHAUD, décédée le 26 janvier 1840, tous deux à Froidfond ; témoins Jacques ORDONNEAU, laboureur, du Fief Saurin, Froidfond, oncle de l’époux, Louis ORDONNEAU, laboureur, de la Plumetière, frère de l’époux, Mathurin MASSONNEAU, cultivateur, des Brandes, cousin de l’épouse, et Joseph PADIOLLEAU, cultivateur, de la Chenelière, cousin germain de l’épouse. Dates de décès à trouver pour Marianne et Joseph.

4f) Jean Louis MÉRIAU, né le 4 janvier 1824 à la Thibaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le même jour par son père en présence de René FERRÉ, journalier, de la Taillée, et Louis FERRÉ, laboureur, de la Grande Grossetière ; domestique à Coëx, il épouse à Apremont, le 30 juin 1852, Rosalie GUILLONNEAU, née à Apremont le 8 septembre 1831 de René GUILLONNEAU et de Marie ARCHAMBEAU, de la Faglinière, Apremont ; témoins François MERIEAU, frère de l’époux domestique, de Saint-Christophe, Jean GUILBAUD, ami de l’époux, fermier de Coëx, Jean et Jean GUILLONNEAU, l’un oncle paternel et l’autre frère de l’épouse, tous deux métayers. L’époux signe Merieau, avec le témoin GUILBAUD et l’un des deux Jean GUILLONNEAU. Date de décès à trouver pour Jean Louis et Rosalie.

5a) Louise Constance Rosalie MERIEAU, née le 7 août 1853 à la Faglinière, Apremont, déclaration le 8 par son père, qui signe, en présence de René GUILLONNEAU, grand père maternel de l’enfant, et Jean GUILLONNEAU, son oncle maternel, tous deux métayers ; elle épouse à Apremont, le 8 juin 1880, Chrisostome DURANTHEAU, né le 21 septembre 1853 à Commequiers, de la Faglinière, fils de Jacques DURANTHEAU et de Rose BOURON. Dates de décès à trouver pour Louise et Chrisostome.

5b) Jean Louis MERIEAU, né le 17 août 1855 à la Faglinière, Apremont, déclaration par son père, qui signe, en présence de René GUILLONNEAU, son grand père maternel, et Jean GUILLONNEAU, son grand oncle maternel ; cultivateur, il épouse à Apremont, le 15 juin 1881, Mélanie Rosalie RABILLER, née le 16 décembre 1858 à Apremont, cultivatrice, fille majeure d’Auguste RABILLER et de feue Flavie RABILLER, en présence de Chrysostome DURANTHEAU, cultivateur, beau-frère de l’époux, d’Apremont, de Jean Louis GUILBAUD, cultivateur, cousin de l’époux, d’Apremont, de Pierre RABILLER, cantonnier, oncle de l’épouse, de Commequiers, de Baptiste RABILLER, cultivateur, d’Apremont. La plupart signent. Dates de décès à trouver pour Jean Louis et Mélanie.

6a) Marie Alexandrine MERIEAU, née à la Faglinière, Apremont, le 11 décembre 1882, déclaration par son père en présence de Pierre BESSONNET et Joseph BLAY, qui signent tous deux avec le père.

5c) Jean Marie Pierre MERIEAU, né le 1er septembre 1857 à la Faglinière, Apremont, déclaration par son père en présence de Jean GUILLONNEAU, son grand oncle maternel, et Constant GUILLONNEAU, son oncle maternel, tous deux cultivateurs ; décédé le 30 septembre 1857 à la Faglinière, Apremont, déclaration le 1er octobre par Constant GUILLONNEAU son oncle maternel, et Jean GUILLONNEAU son grand oncle maternel, les deux de la Faglinière, Apremont.

5d) Marie Rose Victorine MERIEAU, née le 15 décembre 1858 à la Faglinière, Apremont, déclaration par son père en présence de son grand oncle maternel Jean GUILONNEAU, cultivateur, et son oncle maternel Constant GUILLONNEAU, cultivateur ; elle épouse à Apremont, le 16 janvier 1883, Jean François THIBAUDEAU, né le 30 janvier 1860 à Saint-Révérend, fils de Jean THIBAUDEAU et de Marie Louise CADOUX. Dates de décès à trouver pour Marie Rose et Jean François.

5e) Victorine Clémence MERIEAU, née le 11 septembre 1862 à la Faglinière, Apremont, déclaration le même jour par Constant GUILLONNEAU, cultivateur, de la Faglinière en présence de Jean GUILLONNEAU, son grand oncle maternel, et Jean GUILLONNEAU, son oncle maternel, tous deux cultivateurs, d’Apremont. Le père, pourtant, est présent et signe merieau ; décédée le 29 août 1864 à la Faglinière, Apremont, déclaration par son oncle Constant GUILLONNEAU cultivateur, et René GUILLONNEAU, aussi son oncle, cultivateur.

5f) Jean Marie Clément MERIAU, né le 1er janvier 1867 à la Faglinière, Apremont, déclaration par son père en présence de Joseph BLAY, tisserand, ami, et Aimé COUSIN, instituteur, d’Apremont, aussi ami. Le père et les témoins signent. En marge : il épouse le 26 octobre 1898 à Apremont Marie Julienne Philomène AUGIZEAU. Dates de décès à trouver pour les deux.

4g) Mathurin MERIAU, né le 13 avril 1826 au Rortais, Froidfond, déclaration le même jour sans le père, par les seuls Louis POTEREAU, domestique, du Rortais, parent de l’enfant, et Jean Louis GROUSSEAU, journalier, du Rortais, ami de l’enfant. Date de décès à trouver.

4h) François Charles MERIAU, né le 15 octobre 1827 au Rortais, Froidfond, déclaration le même jour sans le père, par les seuls François et Jean SEIGNEURET, propriétaires, amis de l’enfant, du Rortais.. Il semble que François se retrouve témoin à divers actes concernant Pierre, le fils de Marie Anne. Un des actes le donne même pour frère de Pierre… Comme sa sœur Marie Anne recueillie par les MASSONNEAU, il est possible que François ait été pris en charge par les PLUMET à la mort de ses parents, Nicolas étant un oncle maternel. Date de décès à trouver.

4i) Charles MERIAU, né le 8 février 1830 à la Corretière, Falleron, déclaré le 9 par son père en présence de Jean BOUCARD, laboureur, de la Corretière, et François MEUNIER, laboureur, aussi de la Corretière. Date de décès à trouver.

4j) Marie MERIAU, né le 9 mai 1831 à la Corretière, Falleron, déclaration le 11 par son père en présence de Jacques DOUCET, journalier, et François MEUNIER, laboureur, tous deux du village de la Coretière, amis au père de l’enfant. Date de décès à trouver.

4k) Marie Agathe MERIAU, né le 19 décembre 1834 à la Petite Brosse, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 20 par son père en présence de Clovis CANTIN, sacristain, du chef lieu de la commune, ami du déclarant, et Charles CHAUVET, sabotier, aussi du chef-lieu, aussi ami du déclarant ; décédée le 4 mai 1838 à la Petite Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 5 par Paul COULLAUX, qui signe, forgeron, du chef lieu, et Clovis CANTIN, sacristain, du même lieu, les deux amis de l’enfants.

4l). Etienne MERIAU, né le 13 juillet 1837 à la Petite Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 14 par son père en présence de Mathurin RABILLER, de la Thibaudière, cousin germain de l’enfant, et Mathurin JARNY, de la Thibaudière, ami du déclarant. Date de décès à trouver.

3f) Marianne MERIAU, née du second lit le 30 vendémiaire an VI (21 octobre 1797) à la Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, selon l’acte civil, déclaration par Louise MORNET, veuve CHARRON, et Renée MORINEAU, veuve PERROCHEAU (là aussi, rare cas de témoins féminins, encore sous la Révolution), ou dès le 15 octobre 1797 selon l’acte du baptême clandestin célébré le 8 juillet 1798 à la Garnache par le curé réfractaire HERVOUET (parrain Jean MORINEAU, marraine Renée MORINEAU) ; « laboureur », elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 10 février 1813, Mathurin MASSONNEAU, laboureur, âgé de vingt-quatre ans, de la Viglière, Challans, fils de feu Pierre MASSONNEAU et de Catherine BOQUILLARD, et placé sous l’autorité de Jean MASSONNEAU son oncle, présent et consentant ; témoins Louis MASSONNEAU, laboureur, de la Viglière, Challans, frère de l’époux, de Mathurin PONTOISEAU, tuilier, de la Bloire, Challans, beau frère de l’époux, Louis PEROCHAUD, laboureur, de la Grande Brosse, oncle paternel de l’épouse, et Pierre PONTOISEAU, tuilier, de la Bloire, Challans, ami de l’épouse. D’où postérité. Cultivateur, Mathurin décède aux Brandes, la Garnache, le 25 novembre 1851, déclaration le 27 par Jaques VRIGNAUD, son gendre, et Pierre VRIGNAUD, son ami ; cultivatrice, veuve, Marianne décède le 10 mai 1861 aux Brandes, la Garnache, déclaration par ses fils Mathurin MASSONNEAU, cultivateur, des Brandes, la Garnache, et Louis MASSONNEAU, cultivateur, de Hérisonne, Sallertaine.

2b) Louise MERIAU, née à la Mansoire, Saint-Christophe-du-Ligneron, et baptisée le 27 mai 1766 (parrain Jean MORINEAU, marraine Louise GIRAUDET) ; procédant sous l’autorité de Mathurin MERIAU son curateur ad hoc, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 30 janvier 1788, le même jour où son cousin Louis Germain MERIAU (144) épouse Jeanne RABILLÉ, Louis PERROCHEAU, né à Saint-Christophe-du-Ligneron le 17 juillet 1768, fils majeur de Louis PERROCHEAU et de feue Marie RABILLÉ ; témoins Louis PERROCHEAU, père du proparlé, Mathurin MERIAU son beau frère, Mathurin MERIAU, curateur ad hoc de la proparlée et Loüis PERROCHEAU son beau père (chacun des époux a pris les mêmes témoins que son conjoint !). D’où postérité. Louise décède à la Grostière, Saint-Christophe-du-Ligneron le 30 nivôse an XIII, déclaration le lendemain 1er pluviôse (21 janvier 1805) par Mathurin MERIAU, laboureur, de la Taillée, son frère, et Alexandre DENIOT, laboureur, de la Grostière, son cousin ; elle est inhumée ce même 21 janvier 1805 en présence de Louis PEROCHEAU, laboureur, son époux, et Mathurin MÉRIAU son frère. Louis prend pour seconde épouse, à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 4 juin 1806, Marie Anne RABILLÉ, née à Saint-Paul-Mont-Penit le 13 août 1776, veuve en première noce de Jean POTEREAU, et fille de feu Louis RABILLÉ et de Marie PEROCHEAU ; témoins Mathurin MÉRIAU, laboureur, de la Taillée, beau-frère de l’époux, Pierre MIGNÉ, journalier, de la Grostière, son ami, Louis RABILLER, laboureur, de la Liborgère, Saint-Paul, frère germain de l’épouse, Pierre MÉRIAU, laboureur, de la Grostière, ami de l’épouse. Louis décède à la Grostière, Saint-Christophe-du-Ligneron le 7 octobre 1816, déclaration le 8 par Jean MÉRIAU, laboureur, de la Tibaudière, son neveu côté maternel, et Louis Lambert, laboureur, de la Grostière.

2c) Jacques MERIAU, né à la Mansoire, Saint-Christophe-du-Ligneron et baptisé le 26 novembre 1767 (parrain Jacques RICHARD, marraine Marie Anne MEURAIL) ; date de décès inconnu (entre 1792 et 1796 ?). Sans postérité connue

3°) Marie MERIAU, née vers 1690 – quelques indices en font la sœur probable de René (1), l’époux de Louise RABILLÉ, et de Mathurin (2), l’époux de Jeanne POTEREAU ; elle épouse à une date perdue (pas de registre avant 1737), Mathurin TOUGERON, maçon. C’est peut-être ce Mathurin qui est inhumé à Saint-Christophe-du-Ligneron, âgé de quatre-vingt-cinq ans environ, le 10 juin 1753, ses enfants présents. Marie décède au Pouillet, Saint-Christophe-du-Ligneron et est inhumée le 22 novembre 1762, âgée d’environ soixante-douze ans selon l’acte, ses enfants présents. Dont au moins :

1a) Louis TOUGERON ; il épouse à Challans, le 30 juin 1746, Catherine PONTHOIZEAU, fille de Pierre PONTOISEAU et de Marie GIRAUDEAU

1b) Jeanne TAUGERON ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 12 janvier 1751, Jean FOUCAUD, fils de Gilles FOUCAUD et de feue Jacquette DOUX, en présence de Gilles FOUCAUD, père du proparlé, Jacques DOUX, son oncle, Mathurin TAUGERON, père de la proparlée, Louis et Nicolas TAUGERON, ses frères.

1c) Nicolas TAUGERON ; mineur, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 9 novembre 1751, Françoise BOUMAUD, fille mineure de Pierre BOURMAUD, laboureur et de Jeanne GUILLET, en présence de Mathurin TAUGERON, père du proparlé, René MERIAU, son oncle maternel, Pierre BOURMAUD, père de la proparlée, et Jean GUILLET, son  oncle maternel. Domicilié au village du Pouillet, Saint-Christophe, Nicolas épouse en seconde union, à Saint-Christophe, le 13 janvier 1762, Marie PAJOT, fille de Nicolas PAJOT vivant et de défunte Louise BROSSAUD, du village de la Martinière, en présence et du consentement de Louis TAUGERON, frère du proparlé, de Jacques GUILBAUD, son ami, de Nicolas PAJOT, père de la proparlée, et de Jacques et Honoré PAJOT, ses frères.


 

  

 

Seconde Branche de Saint-Christophe-du-Ligneron


Voir le préambule à la Première Branche de Saint-Christophe ; cette branche lui serait rattachée, et les deux pourraient être issues de la branche de Challans-Sallertaine.



1. André MERIAUD, né et décédé avant 1737, vivant en 1719 ; il épouse Marguerite GENAUDEAU, décédée avant 1719.

1°) André MERIAUD, né et décédé avant 1737 ; domicilié de Saint-Christophe-du-Ligneron, il épouse à Commequiers, le 25 janvier 1719, Jeanne LHOUÉ., fille de Maître Charles LHOUÉ et de défunte Marie HERBERT, de Commequiers, en présence des soussignés F. DORINEAU, sénéchal de Commequiers, Françoise LARDY, Marianne LA FOREST, A. FRADET, DORINEAU, André GUIBERT, M. FRADET, F. TOUBLAND, Jean GUITTONNEAU, Pierre DOUX, Mathurin LHOUÉ, et JD AYRAULT, curé de Commequiers.

1a) Jeanne MERIAUD, née et baptisée à Commequiers le 31 octobre 1719 (parrain Mathurin LHOUÉ, qui signe, marraine Marie LHOUÉ) ; c’est sans doute elle qui est inhumée à Commequiers le 19 juillet 1742, âgée de vingt-trois ans selon l’acte, sans parents ni témoins cités.

2°) René MERIAU, né et décédé avant 1737 ; il épouse Jeanne HERBERT, née vers 1681, inhumée à Saint-Christophe-du-Ligneron le 9 décembre 1753, ses enfants présents.

1a) Catherine MERIAU, née vers 1709 ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 1er février 1747, Jacques PRAUD, maître tailleur, né vers 1693, veuf de Marie BRETIN, en présence de René MERIAU, son frère, René HERBERT son oncle, Jean CANTIN, cousin du proparlé et Maître Louis GOUPILLEAU aussi son parent. Signent Benjamin Louis MAUCLERC chevalier Seigneur de Marconnay et de Saint-Christophe-du-Ligneron, et DANIAU de la Charie. Tailleur d’habits, Jacques est inhumé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 8 janvier 1781, ses parents et amis présents. Catherine décède à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron et est inhumée le 5 décembre 1787, ses neveux présents.

1b) René MERIAU, laboureur, né vers 1716 ; mineur, domicilié du village du Ligneron, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 8 février 1741, Marie AUBERT, fille mineure de Philippe AUBERT et de Jeanne AUBRON, du village de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, en présence de René MERIAU, oncle paternel et Jean et René HERBERT oncles maternels du proparlé, René MERIAU, Nicolas MERIAU cousin germain du proparlé, Philippe AUBERT, père de la proparlée, Jacques et Louis AUBERT ses oncles, et Louis POITEVIN, son cousin germain. Et signent Jean DANIOT, Jean PAJOT, Benjamin Louis MAUCLERC de Marconnay, Louis AUBERT et Robert GARAT, curé. Marie décède à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumée le 29 juin 1778, ses enfants présents. René décède au même lieu le 28 décembre 1786 et est inhumé le lendemain 29, en présence de ses enfants.

2a) Pierre MERIAU, baptisé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 8 février 1742 (parrain Philippe AUBERT, marraine Jeanne HERBERT) ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 5 février 1766, Magdeleine RABILLÉ, née même paroisse le 30 décembre 1745, fille de Jean RABILLÉ et de Jeanne CLAUTOUR, en présence de René MERIAU, père du proparlé et Louis AUBERT son oncle, Jean RABILLÉ, père de la proparlée et Mathurin RABILLÉ son oncle. Laboureur, Pierre décède à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 21 janvier 1788 et est inhumé le lendemain 22, en présence de son fils et autres parents. Magdeleine décède au même lieu le 8 avril 1807, déclaration par Georges LAPRÉE, boulanger, du chef-lieu de la commune, et Monsieur Louis BOUVIER fils, propriétaire, aussi du chef-lieu, qui signe, tous deux amis de la défunte.

3a) Jean René MERIAU, né à la Neuville, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 19 décembre 1766 (parrain Jean RABILLÉ, marraine Marie AUBERT) ; date de décès à trouver.

3b) Jacques MERIAU, né à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 26 septembre 1768 (parrain Jacques LOCTEAU, marraine Françoise RABILLÉ), décédé au même lieu, inhumé le 25 octobre 1775, son père et sa mère présents.

3c) René MERIAU, né à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 21 novembre 1770 (parrain René MERIAU, marraine Catherine MERIAU), décédé au même lieu, inhumé le 15 mai 1772, son père et autres présents.

3d) Marie Louise MERIAU, née à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 14 février 1773 (parrain Jean CLAUTOUR, marraine Louise MERIAU), décédée au même lieu, inhumée le 25 octobre 1775, le même jour que son frère Jacques (contagion ?), ses pères et mère présents.

3e) Marie Louise MERIAU, connue adulte sous le prénom de Louise, née à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 2 février 1776 (parrain Maître Pierre François GUIBERT, qui signe, marraine Marie Louise AUBERT) ; apparemment seul survivante de sa fratrie, elle épouse à Palluau, le 20 pluviôse an VII, Etienne NICOLLEAU, laboureur, fils majeur des feux Pierre NICOLLEAU, laboureur, et Jeanne MORISSET, sans témoins cités. Marie Louise décède à la Gérie, Challans, le 22 janvier 1838, déclaration le 24 par Joseph GRONDIN et Jean Louis CYRE, tous deux cultivateurs, amis de la décédée. Etienne décède à la Benétière, Challans le 11 septembre 1849, déclaration par Pierre QUEREAU, cultivateur, et Pierre PELLOQUIN, domestique, amis du décédé, à défaut de ses fils ; du fait de son grand âge, il les a vus décéder avant lui ; comme souvent lors du décès de gens très âgés, l’acte lui attribue une ascendance de fantaisie : fils de feu Etienne François NICOLLEAU, tisserand, et de Jeanne RICOLLEAU son épouse…

3f) Marie Anne MERIAU, née à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 16 avril 1778 (parrain Jean MERIAU, marraine Louise BARREAU), décédée au même lieu, inhumée le 7 mars 1781, son père présent.

3g) René MERIAU, né à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 16 août 1780 (parrain Joseph AUBRON, marraine Louise RABILLÉ), décédé au même lieu, inhumé le 7 mars 1781, le même jour que sa sœur Marie Anne (contagion ?), son père présent.

3h) Jeanne MERIAU, née à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 28 mars 1782 (parrain Jean MERIAU, marraine Jeanne LOCTEAU) ; date de décès inconnue (entre 1792 et 1796 ?) ; ni alliance ni postérité connues.

3i) Pierre MERIAU, né à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 1er avril 1785 (parrain Charles RABILLÉ, marraine Jeanne RABILLÉ), décédé au même lieu, inhumé le 15 novembre 1787, ses parents présents.

2b) René MERIAU, né et inhumé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 5 septembre 1743.

2c) Jeanne MERIAU, née à Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée aux Habites le 28 décembre 1744 (parrain René MERIAU, marraine Catherine MERIAU) ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 6 février 1765, Jacques LOCTEAU, fils majeur de feu Jacques LOCTEAU et de défunte Jeanne SAVARIAU, en présence de Pierre LOCTEAU, frère du proparlé, et Pierre LOISY son oncle, René MERIAU, père de la proparlée, et René HERBERT son oncle. D’où postérité. Jacques décède à la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 14 janvier 1791 et est inhumé le lendemain 15, en présence de Jean LOCTEAU son fils et Laurent MERIAUD son beau-frère. Jeanne disparaît entre 1792 et 1796, « par la Guerre vendéenne » selon les témoins que réunit son fils Jacques LOCTEAU pour son mariage à Saint-Christophe-du-Ligneron le 14 décembre 1819. Mais que penser de cette affirmation puisque les témoins l’étendent aussi au père du jeune homme, alors que celui-ci est décédé de façon certaine avant les troubles ?

2d) Louise MERIAU, baptisée à Saint-Christophe-du-Ligneron le 11 mars 1747 (parrain Mtre Jacques PRAUD, marraine Louise BARREAU) ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 27 juillet 1773, Alexandre DENIOT, né même paroisse le 4 avril 1751, fils mineur de feu Jean DENIOT et de Jeanne CHARRON, vivante, conjointe de Jean AUBERT, vitrix, avec dispense du 4e au 4e degré de consanguinité, en présence de Jean AUBERT, beau-père et vitrix du proparlé, et Jean DENIOT son frère, René MERIAU, père de la proparlée, et Pierre MERIAU son frère. D’où postérité. Louise décède au Bignon, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumée le 22 mars 1782, ses beaux-frères présents. Alexandre est guillotiné sur la grève des Sables-d’Olonne le 17 mai 1793 comme brigand de la Vendée.

2e) N. MERIAU, garçon né au Ligneron, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 26 mars 1749, ondoyé à la maison, inhumé le même jour.

2f) Laurent René MERIAU, baptisé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 22 février 1755 (parrain Mr Laurent RENAUD, marraine Jeanne AUBERT) ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 10 février 1777, Louise BARREAU, fille de Charles BARREAU et de Marie BOURMAUD, en présence de René MERIAU, père du proparlé et Pierre MERIAU son frère, Charles BARREAU, père de la proparlée et Jacques BARREAU son oncle. Laurent figure sous le n° 49 sur la liste électorale, de Saint-Christophe datée apparemment de l’an V (ADV). Au sortir de la Révolution, Laurent est veuf ; laboureur, il épouse en seconde union, à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 10 ventôse an X (1er mars 1802), Marie POTEREAU, majeure, célibataire, née même commune le 2 janvier 1748, fille d’Olivier POTEREAU et de Marie GANDEMER, en présence de Jean POTEREAU, ami du futur, laboureur, Charles DODIN, ami du futur, farinier, qui signe, Jean FORTINEAU, laboureur, ami des contractants, Aimé LAPITEAU, tisserand, ami des contractants, qui signe, tous de Saint-Christophe. Pas de postérité connue issue de ce second lit. Laurent décède à la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron le 14 octobre 1813, déclaration le 15 par Jean LEGAT, charpentier, son ami, et René MERIAU, laboureur, son fils, les deux de la Forêt. Date de décès à trouver pour Marie.

3a) Charles René MERIAU, né à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 20 février 1779 (parrain Charles BARREAU, marraine Marie BOURMAUD), décédé au même lieu, inhumé le 22 mai 1779, sa mère présente.

3b) Pierre Laurent MERIAU, né à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 3 février 1781 (parrain René MERIAU, marraine Jeanne MERIAU), décédé au même lieu, inhumé le 1er avril 1782, son père présent.

3c) Louise MERIAU, née à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 27 mars 1783 (parrain Pierre MERIAU, marraine Jeanne LOCTEAU), décédée au même lieu le 27 mars 1786, inhumée le 28, ses père et mère présents.

3d) René MERIAU, né à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisé le 4 septembre 1785 (parrain René MERIAU son grand-père, marraine Jeanne MERIAU sa tante) ; seul survivant de sa fratrie, laboureur, domicilié à la Forêt, René épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 15 janvier de l’an XIV ou 1806, Marie Jeanne BOUGIS, née vers 1788, domiciliée au Verger, fille de défunt Jacques BOUGIS, décédé le 7 pluviôse an XI (Ce Jacques BOUGIS, charpentier au Châtelier, fait partie des insurgés de mai 1791 ; en 1800, il entrera dans l’administration communale de Saint-Christophe), et de Rose BARRETEAU, en présence de Laurand MÉRIAU, laboureur, du village de la Forêt, père du futur époux, Jean LOCTEAU, laboureur, de la Liborgère, Saint-Paul-Mont-Penit, cousin germain du futur époux, Louis BOUGIS, laboureur, du chef-lieu, frère germain de la future épouse, Jacques PELTIER, maçon, des Boesses. Le marié signe. Marie Jeanne décède à la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 4 mars 1810, déclaration par Etienne NICOLLEAU, propriétaire, de la Forest, et Alexandre DENIOT, laboureur, de la Grande Grossetière, tous deux cousins germains de la défunte. Laboureur, René épouse en seconde union, à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 26 septembre 1810, Véronique DENIOT, née vers 1787 à la Taillée, Saint-Christophe-du-Ligneron, fille de feu Jean DENIOT et de Marguerite MORNET, et veuve de Jean TOUZEAU, tisserand, décédé le 27 septembre 1807, en présence de Laurent MERIAU, laboureur, de la Forest, père de l’époux, Jean LOCTEAU, laboureur, de la Liborgère, Saint-Paul-Mont-Penit, cousin germain de l’époux, Alexandre DENIOT, laboureur, de la Grande Grossetière, cousin de l’épouse, Jean POTEREAU, journalier, de la Taillée, cousin de l’épouse. Propriétaire, Véronique décède à la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 3 mars 1847, déclaration par René MÉRIEAU, son beau fils, meunier, du Moulin de la Roirie, et Jean DENIOT, corroyeur, du Bignon, son cousin. Propriétaire, René décède au Moulin de la Forêt, même commune, le 17 août 1847, déclaration par René MÉRIEAU, meunier, du Moulin de la Roirie, son fils, et Jacques BOUGIS, laboureur, de la Mérandoire.

4a) Louis François MERIAU, né du premier lit à la Cannière (on la cherchera vainement sur la carte ; elle est devenue Bel-Air), Saint-Christophe-du-Ligneron, le 12 octobre 1806, déclaration par son père en présence de Laurent MERIAU, de la Forêt Query, propriétaire, et Louis François BOUGIS, laboureur, du chef-lieu. Il décède le 16 mars 1810 à la Forêt, déclaration par son père en présence de Jean JOLY, laboureur, de la Forêt, et Louis JOLY, boucher, du chef-lieu, amis du défunt.

4b) René MERIAU, né à la Cannière, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 26 février 1808, déclaration le 27 par son père en présence de François PAPON, du chef-lieu, qui signe, et Jean LOCTEAU, laboureur, de la Liborgère, Saint-Paul-Mont-Penit. Le père signe. Farinier au Moulin de la Forêt, René épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 21 février 1832, Anne CHAILLOU, propriétaire, du chef-lieu, née le 31 octobre 1802, fille de feu Louis CHAILLOU, décédé à Saint-Christophe le 30 août 1831, et d’Anne GOUPIL, décédée à Saint-Christophe le 31 octobre 1828, en présence de Louis ARNAUD, sabotier, du Moulin de la Forêt, ami de l’époux, Alexandre DENIOT, charpentier, du Moulin de la Forêt, cousin de l’époux, Louis CHAILLOU, farinier, du chef-lieu de la commune, frère de l’épouse, Pierre POTÉREAU, aubergiste, du chef-lieu de la commune, beau-frère de l’épouse. Le marié signe René Meriau fils, avec le dernier témoin. Meunière, Anne décède au Moulin de la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 25 août 1868, déclaration le lendemain 26 par Pierre CANTIN, meunier, du Moulin de la Roirie, gendre de la défunte, et Joseph GIRAUDET, propriétaire, du Moulin de la Roirie, ami et voisin de la défunte. Meunier, René décède à la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 6 juillet 1869, déclaration par Pierre CANTIN, meunier, de la Roirie, et Pierre CLAUTOUR, laboureur, de la Commanderie, Apremont, ses gendres (les mêmes servent de témoins au mariage de son fils en janvier de la même année).

5a) Joséphine Clarisse MERIAU, née au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 5 avril 1833, déclaration le 6 par son père en présence de Jean MERIAU, farinier, de la Forêt, oncle de l’enfant, et René MERIAU, grand-père de l’enfant. Tailleuse, domiciliée à la Roirie, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 13 juin 1854, Pierre CLAUTOUR, cultivateur, de la Commanderie, Apremont, né au Petit Bourg, les Habites, le 3 février 1818, fils de François CLAUTOUR, décédé à Commequiers le 15 septembre 1822, et de Louise VIOLLEAU, décédée à la Commanderie, Apremont, le 20 août 1849, en présence de François CLAUTOUR, cultivateur, de la Commanderie, Apremont, frère de l’époux, qui signe, Joseph CLAUTOUR, cultivateur, de la Commanderie, Apremont, frère de l’époux, Pierre POTÉREAU, meunier, du Quartron, cousin de l’épouse, qui signe, Ferdinand BOUGIS, sabotier, du chef lieu, cousin de l’épouse, qui signe ; le père de l’épouse signe aussi. Cultivatrice, Joséphine décède à la Commanderie, Apremont, le 20 avril 1882, déclaration par Pierre CLAUTOUR, de la Commanderie, fils de la défunte, et Constant JOLLY, de l’étang, ami de la défunte. Date de décès à trouver pour Pierre.

5b) Marie Marguerite MÉRIAU, née au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 3 décembre 1835, déclaration par son père en présence de Jean DEBUREAU, domestique, du chef lieu de la commune, ami du déclarant, et François BOUGIS, laboureur, de la Sortière, oncle de l’enfant ; elle décède au même lieu le 7 février 1838, déclaration par Louis GROUSSEAU, meunier, et Louis CHAILLOU, laboureur, non parents de la défunte, domiciliés au village de la Forêt.

5c) Angèle Félicité MÉRIEAU, connue adulte sous le prénom d’Angèle, née au Moulin de la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 9 décembre 1838, déclaration par son père en présence de Joseph CANTIN, farinier, du moulin de la Roirie, ami du déclarant, et Louis CHAILLOU, journalier, du chef lieu, oncle de l’enfant. Le père signe l’acte. Tailleuse, domiciliée à la Roirie, Angèle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 6 juillet 1859, Pierre CANTIN, farinier, de la Gaillardière, né à Commequiers le 12 août 1831, fils de feu Jean CANTIN, farinier, et de feue Marie GUILLET, décédée aux Sables-d’Olonne, de son vivant demeurant à Commequiers, en présence de Jean CANTIN, meunier, frère de l’époux, du Moulin Neuf, Commequiers, Louis CANTIN, meunier, frère de l’époux, du Moulin d’Aveau, Commequiers, Pierre POTÉREAU, meunier, cousin germain de l’épouse, de Saint-Christophe, Pierre CLAUTOUR, cultivateur, beau-frère de l’épouse, de la Commanderie, Apremont. Dates de décès à trouver pour Angèle et pour Pierre.

5d) Philomène Rosalie MÉRIEAU, née au Moulin de la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 13 mars 1841, déclaration par son père, qui signe, en présence d’Auguste SIRE, farinier, du Moulin de la Roirie, et de Jean PORTEAU, cantonnier, du chef lieu. Elle décède au même lieu le 12 octobre 1851, déclaration par Jean RIGALLEAU, meunier, de la Roirie, voisin de la défunte, et Pierre PÉROCHAUD, aubergiste, de la Maison Blanche, ami de la défunte.

5e) René MÉRIEAU, né au Moulin de la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 30 août 1842, déclaration par son père, qui signe, en présence de Pierre POTÉREAU, meunier, du Moulin du Quartron, oncle de l’enfant, et Auguste SIRE, meunier, de la Roirie, ami du déclarant. Meunier, René épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 27 janvier 1869, Marie Victoire CHARRON, cultivatrice, née à la Chambaudière, Saint-Christophe-du-Ligneron le 1er octobre 1847, fille de Charles CHARRON et de Marie Voisin, cultivateurs, en présence de Pierre CANTIN, meunier, beau frère de l’époux, de Saint-Christophe, qui signe, Pierre CLAUTOUR, cultivateur, beau frère de l’époux, d’Apremont, Jacques CHARRON, cultivateur, cousin de l’épouse, de Saint-Christophe, qui signe, Jean CHARRON, cultivateur, oncle de l’épouse, de Saint-Christophe. Les époux signent. Meunier, René décède au Moulin de la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 7 mars 1875, déclaration par Jacques CHARRON, laboureur, de la Chambaudière, cousin du défunt, qui signe, et Jean CHARRON, laboureur, de la Chambaudière, oncle du défunt. Date de décès à trouver pour Marie.

6a) René Marie Charles MÉRIAU, né au Moulin de la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 21 octobre 1869, déclaration par son père, qui signe, en présence de Pierre CANTIN, meunier, du Moulin de la Roirie, oncle de l’enfant, qui signe, Charles CHARRON, laboureur, de la Chambaudière, grand-père de l’enfant (au registre paroissial : parrain son cousin Pierre CANTIN, marraine sa tante Angèle MERIAU) ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 9 novembre 1898, Stéphanie CORNEVIN, née vers 1880, fille de Victor CORNEVIN et de Marie POTEREAU. Dates de décès à trouver pour René et Stéphanie.

7a) René Pierre Antoine MERIAU, baptisé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 2 mai 1905 ; en marge de l’acte : il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 6 mai 1929, Lucienne CHAUVET, née le 16 juillet 1916. Dates de décès à trouver pour René et Lucienne.

7b) Stéphane Ernest Ferdinand Victor MERIAU, baptisé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 17 juin 1907 ; en marge de l’acte : il épousa à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 18 février 1928, Anne BULTEAU, de Falleron. Dates décès à trouver pour Stéphane et Anne.

6b) Olivier Joseph Alphonse MÉRIAU, née au Moulin de la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 21 juin 1871, déclaration par son père en présence de Pierre CANTIN, meunier, même domicile, oncle de l’enfant, Jacques CHARRON, cultivateur, de la Chambaudière, cousin de l’enfant ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 28 janvier 1904, Marie PETITGAS, née vers 1882, fille de Joseph PETITGAS et d’Angélique CANTIN. Dates de décès à trouver pour Olivier et Marie.

7a) Henri Olivier Joseph MERIAU, baptisé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 21 avril 1904, son père étant alors tailleur ; mention en marge : il épousera à la Chapelle-Palluau, le 29 novembre 1929, Marie FOUCAULT, née le 13 janvier 1903. Dates de décès à trouver pour Henri et Marie.

6c) Marie Victoire Angelina MÉRIAU, née à la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 2 décembre 1872, déclaration par son père en présence de Pierre CANTIN, de la Roirie, meunier, oncle de l’enfant, Jacques CHARRON, laboureur, de la Chambaudière, son cousin ; décédée le 18 avril 1893.

6d) Pierre Henri Pascal MÉRIAU, né à la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 5 octobre 1874, déclaration par son père en présence de Pierre CLAUTOUR, laboureur, d’Apremont, oncle de l’enfant, Germain DOUX, charpentier, de Froidfond, aussi son oncle. Date de décès à trouver.

5f) Pélagie Marie Louise MÉRIEAU, connue adulte sous le prénom de Marie, née au Moulin de la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 2 février 1845, déclaration par son père en présence de Clovis CANTIN, sacristain, et Pierre Victor TESSON, aubergiste, amis du déclarant. Tailleuse. Elle épouse à Froidfond, le 27 novembre 1866, Germain François DOUX, charpentier, de la Chauvière, né à Froidfond le 5 septembre 1833, fils de feu François DOUX, cultivateur, décédé à Froidfond le 3 avril 1864, et de Marie Anne DAVIEAU, propriétaire, de la Chauvière, en présence de Pierre DOUX, meunier, frère de l’époux, de la Chauvière, Pierre CANTIN, meunier, beau-frère de l’épouse, de Saint-Christophe, René MÉRIEAU meunier, frère de l’épouse, de Saint-Christophe, Jean-Baptiste GRELIER, charpentier, ami et voisin de l’époux, de la Chauvière. Les deux René MÉRIEAU père et frère, signent avec CANTIN et GRELIER. Sans profession, Marie décède à la Chauvière, Froidfond, le 10 janvier 1879, déclaration par Henri DUPONT, cultivateur, de la Chauvière, beau-frère de la défunte, et Jean-Marie GRELIER, meunier, de la Chauvière, voisin de la défunte. Date de décès à trouver pour Germain.

4c) Jean Baptiste MERIAU, né du second lit à la Forêt Quairie, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 25 juin 1811, déclaration par son père, qui signe, en présence de Louis JOLY, boucher, du chef-lieu, ami du père, et Etienne NICOLEAU, laboureur, de la Forest Query, baptisé le même jour (parrain Etienne NICOLEAU, marraine Louise NICOLEAU) ; farinier, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 25 septembre 1839, Rosalie SIRE, née au Marchais, Commequiers, le 4 octobre 1823, fille de Louis SIRE, laboureur, de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, et de feue Anne DOUX, décédé au Marchais le 10 septembre 1830, en présence de René MÉRIAU, farinier, de la Roirie, frère de l’époux, François GUIBERT, laboureur, de la Richardière, la Garnache, cousin germain de l’époux, Jean Louis BONNIN, laboureur, de la Forêt, beau-frère de l’épouse, Jacques SIRE, laboureur, du Marchais, Commequiers, cousin germain de l’épouse. Le marié signe ainsi que son frère. Propriétaire, Rosalie décède au Moulin de la Forêt le 14 mai 1856, déclaration par Louis et Auguste SIRE, laboureurs, de la Forêt, ses frères ; elle meurt un mois après son fils, deux mois après sa fille, contagion ? Farinier, de la Forêt, Jean Baptiste épouse en seconde union, à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 14 mai 1861, Louise Aimée BARRETEAU, journalière, née à la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 1er octobre 1831, fille de Jacques BARRETEAU, cultivateur, de Bellevue, et de feue Louise RAFFIN, et veuve de François Louis ROBIN, en présence de Louis SIRE, laboureur, beau-frère de l’époux, de la Forêt, Jean RIGALLEAU, farinier, ami de l’époux, de la Roirie, Louis BARRETEAU, cultivateur, frère de l’épouse, de Bellevue, Louis BARRETEAU, cultivateur, oncle de l’épouse, de Saint-Paul-Mont-Penit. Jean Baptiste décède au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 14 avril 1872, déclaration par Jean Baptiste et Pierre BARRETEAU, cultivateurs, de Belle-Vue, ses beaux-frères. Date de décès à trouver pour Louise.

5a) René MÉRIEAU, né du premier lit au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 30 juillet 1840, déclaration par son père en présence de Jean POTEREAU, sabotier, du chef lieu, Clovis CANTIN, sacristain, du chef lieu ; le père et les deux témoins signent. Meunier de quinze ans, René décède au même lieu le 19 avril 1856, déclaration par Louis SIRE, laboureur, du Moulin de la Forêt, son grand-père, et Louis SIRE, laboureur, même domicile, son oncle.

5b) Rose Joséphine MÉRIEAU, née au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 16 février 1842, déclaration par son père en présence de Louis SIRE, laboureur, de la Forêt, grand-père de l’enfant, et Louis GRAUSSEAU, meunier, du Moulin de la Forêt, ami du déclarant (au registre paroissial : parrain Louis SIRE son grand-père, marraine Véronique DENIOT sa grand-mère). Tailleuse, Rose Joséphine (pour le maire) ou Marie Rosalie Joséphine (pour le curé) épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 1er août 1864, Jacques Laurent GOUINEAU, né à Touvois (Loire-Inférieure) le 25 mai 1835, cantonnier, de Bel Air, Maché, fils de Jacques GOUINEAU, laboureur, et de Marie Anne RENAUD, cultivatrice, les deux décédés à Saint-Jean-de-Corcoué, en présence de Germain GOUPILLEAU, charpentier, ami de l’époux, de Saint-Christophe, qui signe, Louis SIRE, laboureur, oncle maternel de l’épouse, de Saint-Christophe, Jean Louis PORTEAU, cantonnier, ami de l’épouse, de Saint-Christophe, Jacques Pierre GOUINEAU, cantonnier-chef, frère de l’époux, de Challans, qui signe. Les époux signent également. Dates de décès à trouver pour Rosalie et Jacques.

5c) Clémentine Véronique MÉRIEAU, née au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 20 octobre 1844, déclaration par son père en présence de René MÉRIEAU, meunier, du Moulin de la Roirie, oncle de l’enfant, qui signe avec le père, et Jean MIGNÉ, maçon, du chef lieu, ami du déclarant (au registre paroissial : parrain René MÉRIEAU son oncle, marraine Véronique MÉRIEAU sa tante). Décédée au même lieu le 4 mars 1856, déclaration par Louis et Auguste SIRE, laboureurs, de la Forêt, oncles maternel de la défunte.

5d) Jean-Louis MÉRIEAU, né au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 15 octobre 1846, déclaration par son père en présence de René MÉRIEAU, propriétaire, grand-père de l’enfant, et René MÉRIEAU, meunier, oncle de l’enfant, tous deux du Moulin de la Forêt. Meunier, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 29 décembre 1874, Rosalie Marie Joséphine CHARTEAU, connue adulte sous le prénom de Joséphine, cultivatrice, née au Bourg, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 6 septembre 1851, fille de Jean Marie CHARTEAU, cultivateur, et de feue Rosalie GRASSINEAU, de la Grande Vergne, en présence de Jean Aimé MÉRIEAU, meunier, du Moulin de la Forêt, frère de l’époux, Laurent GOUINEAU, chef cantonnier, beau frère de l’époux, de la Garnache, François CHARTEAU, frère de l’épouse, de la Grande Vergne, Baptiste CHARTEAU, cultivateur. Les époux signent, le père de l’épouse et Baptiste CHARTEAU aussi. Joséphine décède au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 18 janvier 1876, déclaration par Gabriel CHARTAUD, journalier, du chef lieu de Saint-Christophe, oncle de la décédée, et Jean CHARTAUD, laboureur, de la Grande Vergne, frère de la décédée, qui signent tous deux. Apparemment pas de postérité de ce premier lit. Meunier, Jean Louis épouse en seconde union, à Maché, le 1er août 1877, Adeline RIGALLEAU, née le 17 septembre 1853 à Maché, tailleuse, domiciliée au Fougerais, même commune, veuve en premières noces de Chrisostome GAUDIN, fille majeure de Fortuné RIGALLEAU, charpentier, et de Rosalie MICHON, tous deux présents et consentants, en présence de Jean Aimé MÉRIEAU, meunier, frère de l’époux, de Saint-Christophe-du Ligneron, Léandre FRÉLON, marchand de volailles, cousin germain de l’époux, de Saint-Christophe-du-Ligneron, Prosper RIGALLEAU, charpentier, frère de l’épouse, de Maché, et Henri NICOLLEAU, charpentier, beau-frère de l’épouse, de Maché. Tous signent, y compris les mariés, sauf la mère de la mariée. Jean Louis décède à Saint-Christophe-du-Ligneron le 13 avril 1904. Date de décès à trouver pour Adeline.

6a) Adeline Bathilde Christine MÉRIAU, née du second lit au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 5 mai 1878, déclaration par son père en présence de Léon FRELON, marchand, de la Forêt, cousin de l’enfant, Aimé MÉRIAU, meunier, du Moulin de la Forêt, oncle de l’enfant ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 24 septembre 1901, Aristide RIGALLEAU, fils de Prosper RIGALLEAU et de Victorine RABILLARD. Dates de décès à trouver pour Adeline et Aristide.

6b) Henri François Aimé MÉRIAU, né au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 14 février 1880, déclaration par son père en présence de Henri SAVARIAU, cultivateur, de Saint-Paul-Mont-Penit, oncle de l’enfant, Jean MÉRIAU, meunier, du Moulin de la Forêt, oncle de l’enfant (au registre paroissial : parrain Henri SAVARIAU, marraine Olive MÉRIAU) ; il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 18 février 1905, Phanélie MIGNÉ. Dates de décès à trouver pour Henri et Phanélie.

6c) Emilienne Marcelline Emerantine MERIAU, née à la Cailletière, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 16 septembre 1883, son père alors meunier et sa mère cabaretière, déclaration par son père en présence d’Auguste RABILLER, cordonnier, et Louis RABILLER, tisserand, les deux du chef lieu, amis du père, les trois signent (au registre paroissial : marraine sa demi-sœur Christine GAUDIN). En marge : mariée à Saint-Christophe le 5 février 1902 avec Jean Louis Félix NORMAND, décédée à Saint-Etienne-de-Mont-Luc le 4 juin 1973. Date de décès à trouver pour Jean Louis.

6d) Paul Emmanuel Martial MERIAU, baptisé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 7 juillet 1891 (parrain Henri MERIAU, marraine Bathilde MERIAU) ; en marge : il épousera le 3 avril 1918 Aline GOUISSEAU, de Beauvoir-sur-Mer. Dates de décès à trouver pour Paul et Aline.

5e) Joséphine Victorine MÉRIEAU, née au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 6 décembre 1847, déclaration le 7 par son père en présence de René MÉRIEAU, meunier, oncle de l’enfant, et Isaac SIRE, laboureur, oncle de l’enfant ; domestique, elle épouse à Maché, le 13 janvier 1868, Jean Louis POTIER, né le 13 mars 1845 à Maché, maçon, de Malnoue, fils d’Amand Séraphin POTIER, maçon, de Malnoue, et de Rosalie AUGIZEAU, sans profession, présents et consentants, en présence de Pierre POTIER, maçon, oncle paternel de l’époux, du bourg, Maché, Charles LEFAGE dit Parisien, journalier, oncle par alliance de l’époux, de la Rollandière, Maché, Jean Baptiste MÉRIEAU, père de l’épouse, présent et consentant, meunier, Jacques VIOLEAU, laboureur, ami et voisin de l’épouse, de la Sigonnière, Maché, et Auguste SIRE, journalier, oncle maternel de l’épouse, de la Forêt, Saint Christophe. Signent le père de l’époux et le père de l’épouse, avec le maire, B(enjamin) ROBERT de Lézardière. Dates de décès à trouver pour Joséphine et Jean Louis.

5f) Marie Louise MÉRIEAU, née au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 20 octobre 1849, déclaration par son père en présence de Pierre Victor TESSON, aubergiste, du chef lieu, et Clovis CANTIN, sacristain, du chef lieu, tous deux amis du déclarant ; servante, de Petite Mermande, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 20 juin 1871, Louis Aimé RENAUDINEAU, de Bel Air, Maché, né aux Nouées, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 15 décembre 1843, journalier, fils de Jean RENAUDINEAU et de Marie FERRÉ, tous deux journaliers et décédés à Froidfond, en présence de Jean RENAUDINEAU, cultivateur, de Bel Air, Maché, frère de l’époux, Pierre PRAUD, de la Beltière, cultivateur, ami de l’époux, Louis SIRE, cultivateur, de la Forêt, oncle de l’épouse, Jean Louis POTIER, meunier, de la Malnoue, Maché, beau-frère de l’épouse, qui signe. Dates de décès à trouver pour Marie Louise et Louis Aimé.

5g) Jean Aimé MÉRIEAU, né au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 4 août 1851, déclaration par son père en présence de Louis SIRE, laboureur, du village de la Forêt, grand père de l’enfant, et Louis Sire, laboureur, du village de la Forêt, oncle de l’enfant ; meunier, il épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 22 janvier 1878, Marie Hortense RABILLER, née à Aizenay le 26 mars 1857, fille de François RABILLER, sabotier, et de Madeleine RABILLER, en présence de Jean Louis MÉRIEAU, meunier, frère de l’époux, de Saint-Christophe, Jean Louis POTIER, meunier, beau-frère de l’époux, de la Malnoue, Maché, Louis RABILLER, sabotier, frère de l’épouse, de Landeronde, François RABILLER, sabotier, frère de l’épouse, d’Aizenay. Les époux signent, ainsi que le père de l’épouse et les trois premiers témoins. Dates de décès à trouver pour Jean. Quant à Marie, elle décède à Saint-Christophe-du-Ligneron en 1928 selon sa pierre tombale au cimetière de Saint-Christophe-du-Ligneron.

6a) Marie Célestine Aimée MÉRIAU, née au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 25 octobre 1879, déclaration par son père en présence de Jean Louis MÉRIAU, meunier, du Moulin de la Forêt, son oncle, qui signe, et Léandre FRELON, marchand, de la Cailletière, cousin, qui signe ; décédée au même lieu le 14 janvier 1880, déclaration par Honoré BELLET, journalier, du Moulin de la Forêt, ami et voisin, et Jean Louis MÉRIAU, meunier, du Moulin de la Forêt, oncle de la défunte.

6b) Rosalie Marie Louise Bathilde MÉRIAU, née au Moulin de la Forêt le 15 décembre 1881, déclaration par son père en présence de Joseph VOISIN, journalier, du Moulin de la Forêt, ami du père, et Jean Louis MÉRIAU, meunier, de la Cailletière, oncle de l’enfant. Les deux témoins signent avec le père. Date de décès à trouver.

6c) Maximien MERIAU, né le 23 octobre 1883, décédé le 21 février 1955 selon sa pierre tombale au cimetière de Saint-Christophe-du-Ligneron. L’acte de naissance n’est pas à Saint-Christophe.

6d) Olivier Jean Marie MERIAU, baptisé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 3 janvier 1891 (parrain Maximien MERIAU, marraine Olive MERIAU) ; date de décès à trouver.

6e) Philomène Olive MERIAU, baptisée à Saint-Christophe-du-Ligneron le 23 février 1893 (parrain Maximien MERIAU, marraine Marie MERIAU), décédée en 1929 selon sa pierre tombale au cimetière de Saint-Christophe-du-Ligneron.

5h) Rosalie Magdeleine Cécile MÉRIAU, née au Moulin de la Forêt, le 21 février 1854, déclaration par son père en présence de Louis et Auguste SIRE, laboureurs, du Logis de la Forêt, tous deux oncles maternels de l’enfant ; le père signe. Domestique à Maché, elle épouse à Saint-Paul-Mont-Penit, le 15 septembre 1873, Pierre SAVARIAU, tisserand, né à Aizenay le 2 septembre 1845, de l’Orbrie, Saint-Paul-Mont-Penit, fils de Pierre SAVARIAU et de Rose GAUDIN, cultivateurs, présents et consentants avec Louis SIRE, cultivateur, de la Forêt, Saint-Christophe, tuteur de l’épouse, en présence de Aimé SAVARIAU, cultivateur, de l’Orbrie, beau-frère de l’époux, Pierre GAUDIN, cultivateur, d’Aizenay, oncle de l’époux, qui signe, et Jean-Louis et Jean Aimé MERIAU, meuniers, frères de l’épouse, tous deux de Saint-Christophe, qui signent. Dates de décès à trouver pour Rosalie et Pierre.

5i) N. MERIAU, né du second lit, fils mort-né le 21 février 1862 à la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration par son père, qui signe, en présence de Jacques CHARRON, qui signe, et Joseph CHARRON, tous deux meuniers, de Saint-Christophe, amis du père.

5j) Angèle Olive MERIAU, née au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 13 avril 1863, déclaration par son père en présence d’Augustin TOUGERON, maître maçon, de Saint-Christophe, ami du père, et Pierre GAUTIER, garde champêtre, de Saint- Christophe ; baptisé le même jour (parrain Jean Louis MÉRIEAU, son frère, marraine Cécile MÉRIEAU sa sœur). Servante, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 13 janvier 1880, Henri François SAVARIAU, né à Aizenay le 20 février 1858, laboureur, de Saint-Paul-Mont-Penit, fils de Pierre SAVARIAU, laboureur, et de Rose GAUDIN, et donc frère de Pierre SAVARIAU qui a épousé Rosalie, la sœur d’Angèle, en 1873, en présence d’Aimé SAVARIAU, cultivateur, beau-frère de l’époux, de Saint-Paul-Mont-Penit, Pierre SAVARIAU, tisserand, frère de l’époux, de Saint-Paul-Mont Penit, Jean Louis MÉRIEAU, meunier, frère de l’épouse, de Saint-Christophe, qui signe, et Aimé BARREAU, laboureur, ami de l’épouse, de la Grande Brosse. Date de décès à trouver pour Angèle et Henri.

5k) Jean Louis MÉRIAU, né au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 24 février 1870, déclaration par Pierre BARRETEAU, laboureur, de Bellevue, Saint-Christophe, en présence de Jean Baptiste BARRETEAU, laboureur, de Bellevue, oncle maternel, André GUILLOT, rentier, du chef lieu de Saint-Christophe, ami du père (au registre paroissial : parrain Louis ROBIN son demi-frère, marraine Olive MÉRIAU sa sœur). Date de décès à trouver.

4d) Marie Véronique MÉRIAU, née à la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 22 mai 1813, déclaration le 23 par son père, propriétaire, qui signe, en présence de Jean DENIOT, laboureur, de la Bloire, Challans, oncle maternel, et Pierre GRASSINEAU journalier, du Chef lieu, Saint-Christophe-du-Ligneron, ami, baptisée aussi le 23 (parrain Jean DENIOT, marraine Marie Rose PONTOIZEAU) ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 26 juillet 1836, Louis GILLET, domestique, de la Forêt, né le 15 novembre 1810 à la Grande Villeneuve, fils de Jean GILLET, décédé à la Grand Villeneuve, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 10 août 1833, et de Magdeleine PAJOT, décédée au même lieu le 1er juillet 1826, en présence de Charles et Jean ROBIN, laboureurs, de la Grande Villeneuve, cousins de l’époux, Alexandre DENIOT, charpentier, du village de la Forêt, cousin de l’épouse, Jean MÉRIAU, meunier, du village de la Forêt, frère de l’épouse, qui signe. Marie Véronique décède au Moulin de la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 27 septembre 1837, déclaration le 28 par René MÉRIAU, du moulin de la Forêt, meunier, frère et voisin de la défunte, qui signe, et Pierre GILLET, domestique, de Saint Georges de Pointindoux, beau-frère de la défunte. Domestique, Louis décède le 10 janvier 1842 à la Grande Villeneuve, Saint-Christophe-du-Ligneron, déclaration le 11 par Charles ROBIN, laboureur, son cousin, de la Grande Villeneuve, et Jean PEROCHEAU, laboureur, de la Petite Villeneuve.

4e) Pierre MÉRIAU, né à la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 14 janvier 1815, déclaration par son père, qui signe, en présence de René CHARTAUD, du chef lieu de la commune, ami, et Pierre MORNET, charpentier, voisin, baptisé le même jour (parrain Pierre MORNET, marraine Jeanne REMAUD). Décédé le 24 du même mois, déclaration le 25 par Jacques BOURMAUD, de la Boivinière, Saint-Christophe, et Jean POTEREAU, sabotier, du chef lieu. Non cité à l’acte, le père signe quand même ; passé un peu plus tard ? Inhumé le 24 janvier 1815 et décédé la veille selon le registre de catholicité, témoins René MERIAU, Jean RAFFIN, Jean LE GAST et Clovis QUENTIN.

4f) Véronique MÉRIAU, né à la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 2 février 1816, déclaration par son père, qui signe, en présence de Charles BARREAU, laboureur, de Commequiers, parent du deux au trois a l’enfant, et de Pierre BULTEAU, domestique, de Saint-Christophe, ami, baptisée aussi le 2 (parrain Charles BARREAU, marraine Marguerite MORNET). Propriétaire, Véronique épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 9 février 1848, Jean Marie FRELON, meunier, né à la Piltière, Bois-de-Céné, le 3 août 1821, fils de Jean FRELON, journalier, décédé au même lieu le 15 mai 1827, et de Victoire Judith COUDRIEAU, couturière, présente et consentante, en présence de Pierre BLANCHARD, meunier, du Chiron, Bois-de-Céné, demi-frère de l’époux, Jean BRENON, maçon, de la Piltière, Bois-de-Céné, ami de l’époux. René MÉRIEAU, meunier, du Moulin de la Roirie, demi-frère de l’épouse, qui signe, Louis SIRE, laboureur, de la Forêt, ami de l’épouse. Véronique décède à Saint-Christophe-du-Ligneron le 26 mai 1885. Date de décès à trouver pour Jean Marie.

4g) Rosalie MÉRIAU, née à la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 11 août 1818, déclaration le 12 par son père en présence de Louis DENIOT, laboureur, de la Connière, Saint-Christophe, parent au troisième degré, et Jacques GIRAUD, journalier, du chef lieu, baptisée aussi le 12 (parrain Charles DENIOT, marraine Marie DENIOT) ; décédée au même lieu le 3 juillet 1836, déclaration par ses frères René et Jean MÉRIAU, meuniers, qui signent.

4h) Justine Eléonore MÉRIAU, née à la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, le 15 janvier 1821, déclaration le 16 par son père, qui signe, en présence de Jean PRAUD, domestique, de la Forest, et Pierre GUILLOT, sabotier, du chef lieu ; décédée au même lieu le 21 mai 1842, tailleuse, déclaration par René MÉRIEAU, meunier, du Moulin de la Roirie, son demi-frère, et Jean MÉRIEAU, meunier, du Moulin de la Forêt, son frère, qui signent tous deux.

3e) Marie MERIEAU, née à la Forêt, Saint-Christophe-du-Ligneron, baptisée le 26 octobre 1787 (parrain Jacques MERIEAU, marraine Catherine MERIEAU ; observer la très rare occurrence de MERIEAU pour ce XVIIIe siècle, c’est une manie de plume du vicaire HILLAIRET). Date de décès inconnue (entre 1792 et 1796 ?). Ni union ni postérité connues.

2g) René MERIAU, baptisé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 6 octobre 1757 (parrain Pierre MERIAU, marraine Jeanne MERIAU) ; inhumé le lendemain 7 octobre, sa sœur présente.

2h) Philippe MERIAUD, baptisé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 18 octobre 1758 (parrain Pierre AUBERT, marraine Louise MERIAU) ; inhumé le 21 suivant en présence de ses parents.

2i) Anne MERIAU, baptisée à Saint-Christophe-du-Ligneron le 31 octobre 1759 (parrain Jacques PERROCHEAU, marraine Anne HERBERT) ; inhumée le 2 novembre suivant, ses parents présents.

2j) Marie Anne MERIAU, baptisée à Saint-Christophe-du-Ligneron le 19 novembre 1761 (parrain Pierre MERIAU, marraine Marie AUBERT) ; inhumée le 21 suivant, son père présent.

1c) Marie MERIAU, née vers 1717 ; elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 25 février 1743, Julien HERBERT, fils majeur de défunt Julien HERBERT et de Geneviève GROLLIER, et par conséquent frère de Marguerite HERBERT qui épouse vers 1745 Jacques MERIAU (voir la première branche) ; ils reçoivent une dispense pour parenté au troisième degré délivrée le 8 février 1743 ; témoins au mariage Jean GROLIER, oncle du proparlé, Jacques MICHEAU, cousin germain, René et Jean Herbert oncle de la proparlée et plusieurs autres. Julien est inhumé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 6 mars 1767, sa femme et ses enfants présents. Marie décède à la Roirie, Saint-Christophe-du-Ligneron, et est inhumée le 3 octobre 1781, ses enfants présents.

3°) Jean MÉRIAU, né vers 1694, décédé le 27 février 1744 à Saint-Christophe-du-Ligneron ; majeur, il épouse le 27 février 1737 à Saint-Christophe-du-Ligneron, Renée COÜY, née vers 1715, de la paroisse Notre-Dame de Tiffauges, fille de Laurent COÜY et de feue Marguerite TESSIER, en présence de René MERIAU, cousin germain du proparlé, et Jean HERBERT et René HERBERT, et René MERIAU, neveu du proparlé, et Melchior METZENER (il est notaire), qui signe, oncle de la proparlée, et Messire Jacques Henry MAUCLERC, chevalier de Marconnay, qui signe, et Marie Louise VOYNEAU de Marconnay (femme du précédent). Renée est inhumée à Saint-Christophe-du-Ligneron le 16 juillet 1739, en présence de Melchior METZENER, qui signe, et de René MERIAU, cousin germain. Jean est alors sabotier. Il épouse en seconde union, à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 13 février 1741, Marie GOURSON, fille mineure de feu Joseph GOURSON et de défunte Catherine CAFFIN, avec le consentement de Maurice COUGNAUD, curateur, et en présence de René et Nicolas MERIAU, cousin germain du côté paternel du proparlé, Melchior METZENER, oncle, qui signe, Charles et Joseph GOURSON, frères de la proparlée, Maurice COUGNAUD, oncle maternel de la proparlée et Pierre GUILLONNEAU, son cousin germain. Signent Jean GOURSON, Jacques MUSSET, Jacques Marie TOUGERON, Martin GOURSON, et Jacques MAINGUET. Toujours sabotier, Jean est inhumé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 27 février 1744, en présence de René MERIAU, Nicolas et René MERIAU, ses cousins germains, Charles et Joseph GOURSON ses beaux frères. Marie épouse en seconde union, à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 21 juin 1745, Jean GRIOT, fils de Jean GRIOT et de Jeanne BROSSE, en présence de Jacques MOYSAUD, Nicolas RENAUD, amis du proparlé, Charles, Joseph et Pierre GOURSON, frères de la proparlée. Jean GRIOT est connu dans des actes ultérieurs comme maître charpentier. Deux fois veuve, Marie est inhumée à Saint-Christophe-du-Ligneron le 8 décembre 1772, son frère et sa sœur présents.

1a) Jacques Silvestre Melchior MERIAU, né du premier lit, baptisé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 20 décembre 1737 (parrain Melchior MEZENER, qui signe, marraine Anne TEXIER. Ce Melchior METZENER, souvent présent auprès de la famille de sa nièce Renée COÜY, né vers 1677, est inhumé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 15 janvier 1745. Le registre des insinuations de Challans le dit reçu notaire de la Châtellenie de Saint-Christophe-du-Ligneron et sergent de la baronnie de Commequiers et dépendances, les 30 juin 1723 et 3 novembre 1725.). Jacques Silvestre décède au bourg et est inhumé le 25 octobre 1738.

1b) Luce Louise Blandine MERIAU, connue adulte sous les prénoms de Louise Luce Blandine, ou simplement de Louise, baptisée à Saint-Christophe-du-Ligneron le 1er juin 1739 (parrain Messire Benjamin Louis MAUCLERC, écuyer seigneur de Marconnay, marraine Mademoiselle Marie Louise MAUCLERC de Marconnay, qui signent tous deux avec Marie Vigerie VOYNEAU) ; unique enfant survivante de sa fratrie, elle épouse à Saint-Christophe-du-Ligneron, le 25 mai 1757, René Joseph LORY, sellier, fils majeur de Pierre LORY et de défunte Marie SAVARIAU, de Challans. Louise Luce Blandine décède au chef-lieu, Challans, le 26 frimaire an XI (17 décembre 1802), déclaration le lendemain 27 par Jacques LORY, sellier, son fils, et Mathurin FEBVRE, instituteur, gendre de la défunte, tous deux du chef lieu, Challans. Dont au moins :

2a) René Joseph LORY, baptisé à Challans ?

2b) Louise Luce Blandine LORY, baptisée à Challans ? ; elle épouse à Challans, le 3 février 1785, Jean CAFFIN, marchand épicier, fils mineur de défunt Jean CAFFIN, fermier, et de défunte Marguerite TULIEVRE

2c) Louis LORY, baptisé à Challans le 26 novembre 1778 (parrain René Joseph LORY, frère de l’enfant, marraine Louise RENOUX, qui signent tous deux avec d’autres témoins.).

2d) Jacques LORY; sellier, il épouse à Challans, le 4 prairial an IV, Marie Anne Louise VALOT, native et domiciliée du chef-lieu, Challans, fille majeure de vingt sept ans de Mathurin VALOT, agriculteur, et de Louise SORIN, demeurant aussi au chef-lieu, Challans, en présence du père de la mariée, d’un brigadier, d’un juge de paix et d’un menuisier.

1c) Jean MÉRIAUD, né du second lit, baptisé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 4 février 1742 (parrain Charles GOURSON, marraine Catherine GOURSON) ; inhumé à Saint-Christophe-du-Ligneron le 28 octobre 1745.

1d) Marie MERIAU, née posthume, baptisée à Saint-Christophe-du-Ligneron le 23 mars 1744 (parrain Joseph GOURSON, marraine Anne COUGNAUD), inhumée à Saint-Christophe-du-Ligneron le 30 octobre 1746, sa mère présente.



Personnes isolées


- Simone MERIAU ; elle épouse Thomas PERROCHEAU, Dont au moins :

1°) Yves PEROCHEAU, baptisé à Challans le 6 février 1679 (parrain André MERIAU, marraine Anne FUMÉ).

Cette petite famille est rattachée sans certitude aux branches MERIAU de Saint-Christophe ; André, l’époux de Marguerite GENAUDEAU, est le seul André MERIAU connu ayant pu éventuellement, dans sa jeunesse, avoir été le parrain de 1679 ; cela ferait de Simone une sœur possible. Mais, compte tenu des lacunes sur cette période, il pourrait s’agir aussi d’un autre André MERIAU dont ce serait ici la seule manifestation retrouvée.