RENOUL

Machecoul, Nantes, La Garnache, Pont-St-Martin, Drain (49), Liré (49), Le Loroux-Bottereau, St-Julien-de-Concelles


Déposé le 20 décembre 2015 par la famille Renoul - Modifié le 29 décembre 2015

Sources - Recherches

Fichiers originaux comportant de nombreuses notes disponibles sur Geneanet (base jmren),

et pour ceux qui y ont accès sur Capedia (Henry Renoul) et la base Roglo










L'implantation des RENOUL à Machecoul est peut-être ancienne si l'on se réfère à la toponymie, le " pas Renou " ou "pas Renoul" est le nom, mentionné depuis le moyen-âge, d'une chaussée et d'un pont, fortifiés et à péage, franchissant une zone marécageuse, au fond de l'ancien golfe de Machecoul, au nord-est du château, passage obligé pour accéder à la région des Marches, vers Paulx et la Garnache. Mais dans la liste des nombreux habitants de Machecoul membres en 1513 de la confrérie du Saint-Esprit ne figure aucun REGNOUL ou RENOUL (mais mention de 9 PADIOLEAU et 3 BERTHELOT).

Le 9 octobre 1469 un Jamet RENOUL rend aveu à la seigneurie de Machecoul (Inventaire des titres de Retz -Trésor des Chartres V B, fonds E. HERY, maison de l'Histoire, la Bernerie).

Les RENOUL sont surtout signalés régulièrement comme habitants de la proche île de Bouin à partir du 1er octobre 1303, à cette date sont cités parmi les habitants de l'île : Johennot REGNOUL et Perrin REGNOUL (Annuaire de la Société d'Emulation de la Vendée, 1899, p.169), dont les nombreux descendants à Bouin au 16ième et 17ième siècle sont sieurs de Bourcaillon, du Boistenet et du Jollain. Il est possible que cette île de Bouin soit le lointain berceau des RENOUL du pays nantais. On sait seulement qu'en 1656 est citée dans un acte une terre à Bouin appartenant aux hoirs d'honorable homme Philippe REGNOUL, époux de Jeanne GAULTIER.

A noter que, si dans les actes et pour les 3 premières générations connues, le patronyme est le plus souvent écrit REGNOUL, les signatures sont toujours RENOUL.

Le 30 août 1586 à Machecoul la succession de sire Pierre REGNOUL et Catherine PADIOLEAU son épouse est partagée en 4 lottyes ( AD de LA : 1 J 1022).
Ce dossier 1 J 1022 entré au AD de Loire-Atlantique par achat en 2006 provient probablement des héritiers de Mathurin BODIN du ROCHER (1721-/1788) petit-fils de Pierre IV RENOUL du MARAIS-BLANC. Il contient de nombreux actes notariés concernant le Moulin-Robert et la famille BODIN, dont la succession Thomas BODIN-Julienne RENOUL du 1er avril 1747, et les successions RENOUL à Machecoul de 1586, 1618, 1627 et 1663 dont les premières pages sont annotées par Mathurin BODIN du ROCHER. A la suite d'un cheminement inconnu, ce dossier de pièces notariées familiales à été acheté aux enchères à Drouot par Mr Michel COURTOIS, libraire à "La poste d'autrefois" rue de Provence à Paris, qui l'a revendu aux archives départementales de Loire-Atlantique.

Pierre RENOUL habite un double corps de logis situé dans la grand'rue de la ville, paroisse de la Trinité, avec cave, plancher, escalier de pierre desservant les chambres hautes, cour et puits, cellier, étable et grange, boulangerie et boucherie, écurie et autres appartenances et jardin. C'est là qu'il décèdera, ce logis passera ensuite à son fils Pierre II, puis à son petit-fils Philippe, puis à son arrière-petit-fils Pierre III, et enfin à la soeur de ce dernier Jeanne RENOUL et son époux Me Claude JANVIER. En 1586 ce double logis est situé entre la grand'rue au devant, et d'un côté logis et jardin à Marie CHAUVET veuve d'Honoré MERLET, et d'autre côté une venelle avec autre entrée.

Il possède aussi 3 autres logis à étage, avec leur cour jardin et dépendances, situés dans la grand'rue de Machecoul. Une grange avec terres labourables et prés, dont certains indivis, au village de la Baquelotière ; le grand pré des Rondeaux (24 hommées) au port de la Roche ; diverses pièces de terres labourables et prés dans les 2 paroisses de Ste-Croix et la Trinité ; et la moitiée d'une grange dont l'autre moitié appartient aux hoirs d'Etiennette RENOUL femme d'Honoré BARDON, joignant une terre appartenant à Me Michel PADIOLEAU. Il a aussi « un étal d'importance convenable à vendre marchandise situé au rang des bouchers de la halle dudit Machecoul, entre l'étal de Guidas SENARD, d'autre côté Honoré CHARRIER , à la charge de payer chacun an cinq sous de monnaie de rente à chacune fête de la mi-aoust ». Peut-on en déduire qu'il était, entre autre, marchand boucher d'autant que dans les dépendances de son logis il est mentionné une boucherie ? En 1627, dans la succession de son fils Pierre II, cet étal de la halle figurera avec « une étable de boucherie » dans les dépendances de ce même logis. Dans tous les documents découverts ils sont qualifiès de marchand sans autre précision.




1. Pierre 1er RENOUL, né avant 1535, décédé avant 1586, marchand de la paroisse de la Trinité de Machecoul. Il épousa avant 1555, Catherine PADIOLEAU, née avant 1539, décédée avant 1586.

1°) Me Pierre « l’aîné » RENOUL, sieur de la Barquelotière et des Quatre-Vents, notaire royal à Nantes, capitaine de la milice ordonnée pour la garde de la ville, né avant 1555, paroisse de la Trinité à Machecoul (44), inhumé à Ste-Croix de Nantes le 27 janvier 1598 ; d’une première alliance inconnue il eut au moins un fils ; puis il épousa avant 1585, Isabeau JUCHAULT, baptisée à St-Denis de Nantes le 20 août 1549, décédée paroisse Ste-Croix le 17 mars 1592, fille de Me René JUCHAULT, sieur de la Salmonière, procureur à la Cour des Comptes de Bretagne, notaire royal, et d’Olive RICHARD ; elle était veuve en premières noces de Nicolas MUSSEAU ; et enfin à Nantes Ste-Croix le 7 juin 1593, Marie BIDÉ, dame de l’Isle, baptisée à St-Saturnin de Nantes le 25 août 1562, décédée à Ste-Croix le 26 juillet 1597, fille de NH Jehan BIDÉ, sieur de Mélite, marchand, et de Jehanne COTTINEAU.

1a) Jean RENOUL, né du premier mariage, procureur au présidial, greffier civil et criminel de la cour de Nantes ; il épousa à Ste-Croix de Nantes le 6 février 1591, Catherine BONNET, baptisée à Nantes Ste-Croix le 12 janvier 1571, fille de Me Jacques BONNET, sieur de Cramaseuc, avocat au présidial, et de Perrine RIBOT.

2a) Jacques RENOUL, baptisé à St-Denis de Nantes le 2 novembre 1592.

2b) Françoise RENOUL, baptisée à Ste-Croix de Nantes le 23 août 1597 ; elle épousa avant 1619, Pierre Ier de MONTALEMBERT, écuyer, seigneur de St-Gravé et de la Rouelle, avocat en Parlement, procureur, fils de Jean de MONTALEMBERT, écuyer, seigneur de St-Gravé, et de Jeanne de CHAMBELLE. Dont postérité.

2c) Louise RENOUL, baptisée à Ste-Croix de Nantes le 6 décembre 1598.

2d) Catherine RENOUL, baptisée à Ste-Croix de Nantes le 1er juillet 1600, y décédée le 8 juin 1676 ; elle y avait épousé le 14 février 1634, NH Gilles ESCOMARD, sieur de Beauvais, avocat à la cour, décédé à Ste-Croix de Nantes le 8 août 1678, fille de Me François ESCOMARD, notaire. Dont postérité.

2e) Jean RENOUL, baptisé à Ste-Croix de Nantes le 20 avril 1602.

1b) Yvonne RENOUL, née du second mariage à Ste-Croix de Nantes le 1er novembre 1586.

1c) Artuze RENOUL, née à Ste-Croix de Nantes le 21 décembre 1587.

1d) Marie RENOUL, dame de la Boutinière et de la Machecollière, baptisée à Ste-Croix de Nantes le 16 mai 1589, décédée en 1645 ; elle avait épousé à St-Saturnin de Nantes le 5 octobre 1603, François BOURDIN, écuyer, sieur de la Martinière, de la Poulfrière et du Branday, sénéchal de Bouin (1615-1620) et de Bourgneuf (1617-1623), fils de Jacques BOURDIN, écuyer, sieur de la Guérinière et de Peschaton, notaire royal à Nantes puis procureur fiscal du duché de Rays et de Machecoul, et de Françoise BAUDRY. Dont postérité.

1e) Pierre RENOUL, né du troisième mariage à Ste-Croix de Nantes le 15 mai 1596, nommé par NH François PADIOLEAU, sieur de la Gaudinière, conseiller du Roi au présidial de Nantes.

2°) Pierre II « le jeune » RENOUL, qui suit.

3°) Honoré RENOUL, qui épousa Marguerite COUVREULX, dont au moins :

1a) Jean RENOUL, membre de la confrérie du Saint Esprit à Machecoul en 1621 ; il épousa Dlle ROCQUAND, dont :

2a) Elisabeth RENOUL, décédée à la Trinité de Machecoul le 10 janvier 1694 ; elle avait épousé Pierre BOUYER, marchand à Machecoul, né vers 1646, décédé à Machecoul La Trinité le 3 août 1681.

4°) Jeanne RENOUL, qui épousa Sébastien GERVIER.


2. Pierre II RENOUL « le Jeune », marchand à Machecoul, membre de la confrérie du Saint-Esprit à Machecoul en 1616, avec sa femme, décédé en 1627 ; il avait épousé d’abord Marie GIRIER, fille de Pierre GIRIER, marchand à Ste-Croix de Machecoul, et de Perrine RONDEAU ; puis Marie LUCAS, dont :

1°) Pierre RENOUL, du premier mariage, clerc à l’étude de Me PADIOLEAU à Machecoul, en 1603. Pourrait être aussi le fils de Pierre « l’ainé » ou de Honoré RENOUL.

2°) Philippe RENOUL, qui suit.

3°) Catherine RENOUL, membre de la confrérie du St-Esprit à Machecoul en 1621, avec son marie et trois de leurs enfants ; elle épousa Me Jean de LESTRE, dont elle eut au moins :

1a) Marie de LESTRE, née vers 1616, décédée à Machecoul la Trinité le 21 septembre 1685 ; elle avait épousé Me Jean LEFRANC, maître pintier à Machecoul, prévost de la confrérie du St-Esprit du 24 mai 1665 au 19 juin 1667. Dont au moins :

2a) Marguerite LEFRANC, qui épousa à Machecoul le 26 janvier 1671, Me Michel LE MEIGNEN, maître chirurgien, né vers 1644, décédé à Machecoul La Trinité le 27 avril 1697, fils de Me Guillaume LE MEIGNAN. Dont nombreuse postérité.

4°) Perrine RENOUL, qui épousa Me Jean TRÉGET, notaire royal à Machecoul, dont postérité.

5°) Isabeau RENOUL, née du second mariage, membre de la confrérie du Saint-Esprit en 1616 ; elle épousa avant 1627, HH Jacques BOSSIS.


3. Philippe RENOUL, marchand à Machecoul, membre de la confrérie du Saint-Esprit à Machecoul en 1616 ; il épousa Jeanne GAULTIER, dame du Marais Blanc, décédée à Machecoul en 1662, fille de N. GAULTIER et de Jeanne GUILBAUD.

Qualifié dans les actes notariés de maistre, honorable homme, sieur ou sire, il est marchand à Machecoul où il demeure dans son grand logis de la grand'rue, paroisse de la Trinité. Le 30 octobre 1634, il passe un contrat à Nantes chez Me Loquet règlant la pension de ses pupilles Henry et Jeanne BEDEL (placés l'un chez messire Mathurin Godin, prêtre de St-Clément, l'autre chez damoiselle Marguerite de Caderan) enfants de feus H.H. Toussaint BEDEL et Françoise NORMANDIN.

Sénéchaussée de lIsle de Bouin 8 B 389 A.D. de la Vendée (Insinuation des contrats) : Le 18.6.1656 : dans un acte de vente passé à la Cour du duché de Rais à Machecoul, et dans la maison de Me Claude Janvier notaire qui est le rapporteur de l'acte avec Me Reliquet notaire royal, il est mentionné que le terrain dont il s'agit, situé à Bouin, est « tenant d'un côté à une terre appartenant aux héritiers de deffunct honorable homme Philippe Regnoul. »

La succession de Philippe RENOUL et de Jeanne GAULTIER son épouse est passée par Me RELIQUET à Machecoul le 2 juillet 1663 (AD de LA 1 J 1022). Les biens suivants sont partagée en 3 lottyes. cinq maisons - un grand logis couvert de tuiles dans la grand 'rue de Machecoul, paroisse de la Trinité, entre deux autres logis apppartenant l'un à Madeleine de LESTRE veuve de Bernard FIALDES et l'autre à messire André CHESNARD, et la rue Le Paul qui conduit du carrefour des Petits Bancs à l'église Saint-Nicolas, dans lequel étaient demeurants lesdits décédés. Consistant en chambres haute et basse, anti-chambre, cave, boulangerie, cour, grange, écurie, jardin, et tout ce qui en despend, contenant 13 cordes. Il apparait donc que le double logis et jardin de Pierre I et Pierre II (13 cordes pour celui donnant sur la grand'rue et 14 cordes pour celui avec étable de boucherie) a été partagé lors de la succession de Pierre II, entre Philippe RENOUL et sa soeur Catherine femme de Me Jean de LESTRE. Un deuxième logis avec jardin au derrière, dans la quartier du bout de la ville, joignant d'un côté le logis de la veuve du sieur Honoré RAIMBAUD. Un troisième logis couvert de tuiles situé au faubourg de Sainte-Croix, tenant d'un bout à la rue le Paul qui conduit de l'église St-Nicolas à l'église de la Trinité, de l'autre bout à Me Nicolas ROCQUAND, avec jardin et terres labourables au derrière, dans laquelle est desservant messire Jacques ARCHAMBAUD. Un quatrième logis couvert de tuiles au village de la Rivière, avec jardin au derrière et sa rue au devant dans lequel demeure Marie LAY. Un cinquième logis gasté et ruiné appellé l'Osche Grand Mère au faubourg de Ste-Croix, avec son jardin derrière, et deux cantons de terres labourables, tenant d'un côté à messire Honoré DELESTRE, d'autre côté à la rue qui conduit de St-Nicolas à Ste-Croix., des salines Paroisse de Saint-Cyr : 59 aires de marais-salants avec leurs mestives, coueffes, étiers et bossis, dont 39 au Marais Roux et 16 à la Franouze mitoyennes d'aires appartenant à Louis GAUTIER. Paroisse de Bois de Céné 89 aires de marais salants au canton de l'Estier-Moret dans le marais du Coustumier

Et divers pièces de terres labourables , prés et pastureaux. Dans les paroisses de Ste-Croix et la Trinité : le pré au Port au marais de la Roche (indivis), le canton de l'Osche du Moulin, le Grand Journal à la Croix Minet, le champ de la Grolle, le canton de la Grenouillère, le pré des Abots, la Petite Rivière. Paroisse de Saint-Cyr : le pré Doux, le canton de la Croix Moguer, le pré de la Girairie, le canton et bossis de la Grande Saline, le canton de la Croix Potet, les tenues de Saline et de la Riaudière, au village de Bourgneuf : le canton du Moulin de l'Estang, le fief de Grande Corde mitoyen de terres à Pierre GAUTIER. Paroisse de Fresnay : l'Hommée de la Grosse Roche. Paroisse de Bois-de-Céné : l'Hommée Beaudineau, le canton de l'Estier Mort dans le marais du Coustumier. Paroisses non précisées : Clou de la Marche, pré et pastureau de la Serembie et canton du Picaud Boueux.

Il est pécisée à la fin de l'acte que la terre du Marais-Blanc, située en la province du Poitou, reste indivis entre Jeanne RENOUL, Catherine RENOUL, et leur neveu Pierre IV RENOUL. Ce fief noble hérité de Jeanne GAULTIER restera indivis jusqu'en 1673.

1°) Pierre RENOUL, qui suit.

2°) Jeanne RENOUL, qui épousa NH Claude JANVIER, sieur de la Gilletière, notaire à Machecoul, avocat à la cour et procureur fiscal du duché de Retz, né à Nantes vers 1630, décédé à Machecoul le 14 juin 1683, fils de Clément JANVIER et de Marguerite BOYTARD ; dont, entre autres :

1a) Jeanne JANVIER, qui épousa d’abord à Machecoul le 6 mai 1680, François des ROCHES, sieur de la Guibretière, notaire et procureur du Roi à Machecoul, fils de Jean des ROCHES et de Marguerite BESNARD ; puis vers 1692, Me André MAROT, notaire à Machecoul, y décédé le 14 janvier 1702 ; dont, entre autres :

2a) Jeanne des ROCHES, née à Machecoul le 19 juillet 1688, décédée à Nantes le 22 avril 1716 ; elle avait épousé à Nantes en 1710, Joseph LE MEIGNAN, premier chirurgien de l’Hôtel-Dieu de Nantes, baptisé à la Trinité de Machecoul le 11 décembre 1676, y décédé le 24 avril 1733, fils de Michel LE MEIGNAN et de Marguerite LEFRANC. Dont postérité.

2b) Marie des ROCHES, née à Machecoul le 20 septembre 1689 ; elle épousa à Nantes St-Denis le 13 septembre 1731, Pierre GOUIN, sieur de la Résinière, capitaine général d’une compagnie de la milice bourgeoise, décédé à Nantes le 4 avril 1750, fils d’Etienne Mathurin GOUIN, seigneur de la Résinière, et de Jeanne LE ROUX, dame de la Ville.

3°) Jehan RENOUL, prêtre ; il passe un contrat de constitution, solidairement avec sa mère et son frère Pierre le 11 février 1651, chez Me Tardiveau, notaire à Machecoul, et est décédé avant 1663.

4°) Catherine RENOUL, qui épousa avant 1663, HH Clair GUILBAUD, marchand à St-Philbert-de-Grand Lieu, y décédé le 21 décembre 1694, fils de Jacques GUILBAUD et de Françoise CHAUVET.


4. Pierre III RENOUL, épousa Martine RAIMBAUD, membre de la confrérie du Saint-Esprit de Machecoul en 1621, fille d’Honoré RAIMBAUD et de Martine BEILLEVAIRE, dont :

1°) Pierre RENOUL, qui suit.

2°) François RENOUL


5. Pierre IV RENOUL, sieur du Marais Blanc, avocat en Parlement, procureur fiscal du marquisat de La Garnache, procureur-syndic de la paroisse, né à Machecoul vers 1650, décédé à La Garnache en 1720 ; il avait épousé d’abord à Nantes le 19 janvier 1675, Julienne BUREAU, y née vers 1655, fille d’Estienne BUREAU, sieur de la Morinière, marchand à la Fosse de Nantes, directeur à la Compagnie des Indes, ancien consul et échevin de Nantes de 1669 à 1673, et de Martine GICQUEAU, dame du Moulin-Robert ; puis à Nantes St-Clément le 8 juin 1705, Renée CARRÉ, fille de Louis CARRÉ, sieur de la Dorée, maître chirurgien, et d’Anne LE MEUSNIER ; dont du premier mariage :

1°) Etienne RENOUL, baptisé à Ste-Croix de Nantes le 1er janvier 1676, décédé en 1724 ; prêtre, bachelier en Sorbonne, chapelain de St-Mathurin à la Trinité de Machecoul.

2°) Suzanne RENOUL, née vers 1685, décédée à la Trinité de Machecoul le 22 avril 1693.

3°) Julienne RENOUL, dame du Marais-Blanc (à La Garnache) et de la Riaudière (à Pont-St-Martin), née en 1686, décédée à La Garnache le 22 janvier 1742 ; elle avait épousé NH Thomas BODIN des PLANTES, avocat en Parlement, sénéchal de Soullans, né à la Trinité de Machecoul le 14 février 1674, décédé à Ste-Croix de Nantes le 10 avril 1752, fils de Julien BODIN, sieur des Plantes, docteur en médecine de l’Université de Montpellier, et d’Anne MOSNIER. Dont, entre autres :

1a) Joseph BODIN, sieur de la Riaudière, conseiller du Roi, juge au Présidial de Nantes, né à La Garnache le 20 décembre 1718, décédé « en Amérique » en avril 1767 ; il avait épousé à Machecoul le 12 juillet 1746, Catherine Gabrielle PERRAYNE, née vers 1731, fille de François Aimé PERRAYNE, sieur de Chambourg, et de Marguerite BODIN des PLANTES.

4°) Pierre RENOUL, qui suit.

5°) Louis RENOUL, sieur des Glaudières, procureur au Présidial de Nantes, né à La Garnache le 4 mars 1693, décédé à Nantes, rue des Jacobins, le 6 mars 1719 ; il avait épousé à Nantes le 4 juillet 1718, Françoise GICQUEAU, fille de Nicolas GICQUEAU, sieur des Fossés-Bertin, avocat à la Cour, procureur au siège présidial et sénéchaussée de Nantes, et de Marquise LE TORT.

6°) Marie RENOUL, qui épousa à Pont-Saint-Martin (44) le 21 février 1726, Claude François CHERBONNEL, sieur de Riaillé, docteur en médecine, conseiller du Roi, né à Montaigu le 15 mars 1699, décédé à Nantes St-Nicolas le 11 avril 1764, fils de François CHERBONNEL, docteur en médecine, et de Perrine HAZARD. Dont postérité


6. Pierre V RENOUL, sieur du Moulin Robert, avocat au Parlement de Bretagne, né à la maison noble du Moulin-Robert à Pont-St-Martin (44) le 3 octobre 1688, décédé à Beauregret de Drain (49) le 29 janvier 1742 ; il y avait épousé le 5 février 1715, Jeanne MENANT, dame de Beauregret, née à Drain (49) le 17 février 1695, y décédée le 15 février 1730, fille de Pierre MENANT et de Jeanne GUIBELES.

Ses parents sont dits dans l'acte de baptême habiter au château de la Garnache et occasionellement au Moulin-Robert. Il hérite entre autres de ses parents le Moulin-Robert et les Glaudières. A partir de 1720 jusqu'en 1788 le Moulin-Robert est habité occasionnellement par les Bodin descendants de Pierre IV RENOUL mais la branche des RENOUL du MOULIN-ROBERT habitant Drain en est propriétaire. Le 3 février 1734 Pierre V RENOUL fait aveu au commandeur de la commanderie de St-Jean et Ste-Catherine de Nantes (AD de LA : 1 J 1022 ). On ignore la date de vente de cette terre par les RENOUL aux BODIN (entres 1734 et 1773...) qui possèdaient par ailleurs la métairie contigüe de La Riaudière acquise par Julienne RENOUL épouse de Thomas BODIN. Le 22 juillet 1788 Mathurin BODIN du ROCHER vend les domaines du Moulin-Robert et de la Riaudière à Messire Alexandre de La MOTTE-BARANCE, l'ensemble fait 94 journaux. ( AD de LA : 1 J 1022 ). A partir de la Révolution le Moulin-Robert n'est plus habité "bourgeoisement". Les fermiers Guillais disent en 1924 à Joseph-Aymé RENOUL, en visite au Moulin-Robert avec son appareil photographique, y habiter de père en fils depuis plus d'un siècle, ils lui disent aussi « avoir entendu souvent raconter de leurs grands-parents que la duchesse de Berry, quittant le pays après l'échec du soulèvement de 1832, s'est arrêtée au Moulin-Robert d'où elle est partie, escortée de leurs deux grands-mères et habillée, ainsi qu'elle d'une... à bords noirs, pour la ville de Nantes; ainsi déguisée en maraichère, paniers de fruits aux bras, elle parvint à Pont-Rousseau où disent-ils elle aurait été reconnue à la blancheur et à la petitesse de ses mains. La veuve Guillais, habitant la maison de droite précise que la duchesse aurait couché à la maison et qu'après son départ on se serait aperçu qu'elle avait oublié une bourse sous son oreiller et qu'on serait allé pour la lui remettre à la Haute-Menanterie .. .. » En 1857 le Moulin-Robert se compose de 2 métairies, la population totale y est de 19 personnes et le propriétaire M. de Magnan. (selon le dictionnaire des lieux habités de L.I. par F.J. Pin son, édité en 1857). Depuis le 18ème siècle l'ensemble des bâtiments a perdu son caractère et la porte cochère, décrite dans les actes, donnant accès à la cour a disparu. J.A. RENOUL lors de sa visite en 1924 note « Un vieux pilier de maçonnerie en ruine masquant l'emplacement de l'ancienne porte cochère d'entrée. La façade du logis principal est formée de deux parties jumelées et symétriques. Un cartouche saillant surmontant chaque ouverture, au premier étage ils sont ovales et celui de gauche porte : 1714, au rez de chaussée, au-dessus des portes ils ont la forme d'un écusson héraldique, et au dessus des fenêtres ils ont la forme de coeur. Une des chambres du rez de chaussée a une grande cheminée, à trumeaux, en tuffau, l'autre chambre contient une jolie boiserie, porte Louis XVI surmontée d'un ... à double encadrement, au dessus corniche en bois. Entre la porte et la fenêtre, un trumeau, glace au milieu. En haut, même motif que sur l'autre boiserie. » En 1722 et 1723 dans des contrats passés à la Garnache, et en 1737 dans un acte de fermage passé à Bouzillé (Me Grimault), Pierre V RENOUL sieur du Moulin-Robert est dit résider dans sa propriété de Beauregret en bas du bourg de Drain. Il semble qu'il tienne cette maison de son épouse qui l'a probablement reçue en dot en 1715. C'est là que, veuf depuis 1730, il meurt le 29 janvier 1742.

1°) Pierre René RENOUL, né à Drain le 15 janvier 1716, y décédé le 21 juillet suivant.

2°) Pierre RENOUL, qui suit.

3°) Jean René RENOUL, baptisé à Drain le 6 juillet 1719, y décédé le 15 mars 1722.

4°) Jeanne Toussainte RENOUL, dame de Beauregret, née à Drain le 1er novembre 1720, y décédée le 6 mars 1793 ; elle y avait épousé le 7 août 1742, Pierre Laurent BREVET, sieur du Pé, notaire royal, né à Drain le 10 août 1714, y décédé le 16 mars 1759, fils de Mathurin BREVET, notaire royal à Drain, avocat de la baronnie de Champtoceaux, et de Catherine PIRON.

1a) Marguerite Scolastique BREVET, baptisée à Drain le 17 février 1754 ; elle épousa à Beaufort-en-Vallée (49) le 13 mai 1783, Jean Baptiste BÉRITAULT, notaire et conseiller du roi, receveur général des consignations de la sénéchaussée de Beaufort, maire de Beaufort en 1796, juge de paix (1793 à 1814), décédé à Beaufort-en-Vallée le 8 août 1814, fils de Jean Baptiste BÉRITAULT, notaire royal, et d’Anne ETIENVROT.

2a) Anoinette Emilie BÉRITAULT, née à Beaufort-en-Vallée le 14 juin 1796, y décédée le 4 mars 1875 ; elle y avait épousé le 11 mai 1818, Auguste LAUMONIER, négociant, né à Saumur le 18 septembre 1787, fils de Pierre Maurice LAUMONIER, tanneur, et de Françoise SORIN.

3a) Marie Antoinette LAUMONIER, née à Beaufort-en-Vallée le 4 mai 1820, décédée à Saumur le 6 décembre 1847 ; elle avait épousé à Beaufort-en-Vallée le 27 août 1841, Gustave LANGLOIS, né à Château-Gontier (53) le 29 juillet 1814, fils de Ferdinand Édouard LANGLOIS et de Thérèse Marie LEMONIER.

4a) Henri Ferdinand Auguste LANGLOIS, représentant du service télégraphique à Smyrne (Turquie), né à Saumur le 14 août 1846, décédé à Izmir (Turquie) le 12 septembre 1896 ; il avait épousé Catherine DELENDA, dont :

5a) Gustave Joseph LANGLOIS, qui épousa à Izmir (Turquie) le 11 septembre 1913, Anne Louise BRAGGIOTTI, née à Buca (Turquie) le 10 avril 1884, décédée à Paris le 16 septembre 1955, fille de Georges Thomas BRAGIOTTI (né à Charleston, en Caroline du Sud, USA) et de Marie Carmel CROS, d’une famille installée à Izmir, descendante de François Gaspard CROS, né à Montpellier, médecin de Bonaparte en Egypte.

6a) Henri LANGLOIS, né à Izmir (Turquie) le 13 novembre 1914, décédé à Paris le 13 janvier 1977. Pionnier de la conservation et de la restauration de films. Il est l’un des artisans de la Cinémathèque française. Il a commencé ses archives avec des fonds privés et seulement une dizaine de films. Au cours des décennies suivantes, la collection s’accroîtra jusqu’à atteindre plusieurs milliers de titres.

Henri LANGLOIS fait ses études au petit lycée Condorcet à Paris ; en 1933, pour protester contre la décision de son père qui veut l’inscrire en droit, il échoue volontairement au bac, en rendant page blanche, puis en allant au cinéma. Après cet échec, son père lui trouve un emploi chez un imprimeur, ce qui lui donne l’occasion d’écrire des articles dans un hebdo consacré au cinéma. C’est à cette époque que prenant conscience que le cinéma muet allait disparaître, il fallait les sauver et monta un ciné-club voué aux films muets, et qui allait devenir la Cinémathèque, faisant de Henri Langlois l’un des plus prodigieux spécialiste du cinéma, possant sur le sujet une connaissance encyclopédique.

Pendant la guerre, il continue à projeter des films et aide à sauver de nombreux autres contre l’occupation allemande et contre l’oubli. En plus des films, Henri Langlois aide également à préserver des objets liés au cinéma, tels que caméras, machines de projection, costumes, programmes de salles…

Henri Langlois a un impact important sur les réalisateurs français de la Nouvelle Vague, dont certains se sont eux-même appelés « les enfants de la Cinémathèque ». En 1970, un documentaire anglais raconte son travail et sa vie. Le 14 juin 1972, il ouvre le « Musée du Cinéma » au Palais de Chaillot, et le 2 avril 1974, il reçoit un Oscar pour l’ensemble de son travail. Jusqu’à sa mort le 13 janvier 1297 à Paris, il s’efforce d’étendre le principe d’une cinémathèque à d’autres pays, tels que les Etats-Unis. Il est enterré au cimetière du Montparnasse.

5Renoul Marie Julienne°) Marie Julienne RENOUL de BEAUREGRET, née à Beauregret de Drain (49) le 17 octobre 1722 ; elle y épousa le 10 février 1744, NH Joseph FOLLENFANT, négociant à Angers, juge au présidial d’Angers, y né le 6 juillet 1714, décédé le 12 décembre 1800, fils de Jean Baptiste FOLLENFANT, marchand droguiste à Angers, et de Marguerite CHEMIN. Dont postérité.

6°) Marthe Jacquine RENOUL, née à Drain le 7 juillet 1724, y décédée, sans alliance, le 25 mars 1758.

7°) Perrine RENOUL, née à Drain le 11 septembre 1725, religieuse ursuline au couvent de St-Géréon à Ancenis, décédée en 1793.

8°) Elisabeth Françoise RENOUL, née à Drain le 6 avril 1727, religieuse au même couvent que sa sœur, décédée en 1793.

9°) François RENOUL, né à Drain le 2 avril 1729, y décédé le 1er novembre 1733.


7. Pierre VI RENOUL, sieur du Moulin-Robert, avocat au Parlement de Bretagne, sénéchal de Liré (49), né à Drain le 20 mars 1718, y décédé le 13 juillet 1773 ; il avait épousé à Drain le 31 janvier 1746, Catherine COIFFARD, née à La Varenne le 15 février 1727, décédée à la Rivellerie de Drain le 17 mai 1766, fille de Michel COIFFARD, marchand à La Varenne, et de Catherine TERRIER.

1°) Catherine Elisabeth RENOUL, née à Drain le 19 novembre 1746, y décédée, au Bourg-Gautron, le 8 juillet 1776.

2°) Pierre VII Thomas RENOUL, né à la Rivellerie de Drain le 21 décembre 1747 ; il embarque à Nantes en 1772 pour l’île de Saint-Domingue ; destinée inconnue.

3°) Marthe Josèphe RENOUL, née à la Rivellerie de Drain le 13 juillet 1749.

4°) Michel François RENOUL, né à Drain le 17 février 1752, maître tonnelier à Liré, tué par les Bleus le 16 mars 1794 ; il avait épousé à Liré le 25 janvier 1779, Anne Catherine GRIMAULT, tué par les Bleus aux Galtières de Liré en même temps que son mari, le 16 mars 1794.

1a) Pierre François RENOUL, né aux Galtières de Liré le 2 décembre 1779, tué par les Bleus en même temps que ses parents.

1b) François Marie RENOUL, né à Liré le 23 mars 1781, chapelier à Montrevault (1817), aubergiste à Nantes en 1833 puis rentier à Varades à partir de 1833, y décédé le 9 mai 1864 ; il avait épousé à Varades le 30 octobre 1817, Jeanne MARTIN. Sans postérité.

1c) Adrien RENOUL, né à Liré le 3 septembre 1782, y décédé le 1er mai 1784.

1d) Anne Catherine RENOUL, née à Liré le 23 novembre 1783, décédée à Ancenis le 12 novembre 1840 ; elle avait épousé à Ancenis le 13 juillet 1813, Etienne CASTEL, menuisier à Ancenis, né à Sucé (44) le 17 juillet 1784, fils d’Etienne CASTEL et de Guillemette GEFFRÉ.

1e) Sophie Claire RENOUL, née à Liré le 24 mars 1785, y décédée le 8 février 1787.

1f) Augustin RENOUL, né avant 1788, décédé après 1808, tanneur à Ancenis en 1808.

1g) Claire RENOUL, née à Liré le 17 février 1789, décédée à Bouzillé (49) le 3 juin 1848 ; elle avait épousé à Ancenis le 13 juillet 1813, Charles CESBRON d’ARGONNE, tisserand, baptisé à St-Florent-le-Vieil (49) le 14 février 1782, y décédé le 17 mai 1858, fils de NH Pierre Charles CESBRON d’ARGONNE et de Marie GIRARD. Dont postérité.

5°) Etienne Joseph RENOUL, né à Drain le 28 décembre 1752, décédé après 1772.

6°) Thérèse RENOUL, née à la Rivellerie de Drain le 10 mai 1754, décédée au Bourg-Gautron de Drain le 2 décembre 1775.

7°) Jacques François RENOUL, né à Drain le 28 novembre 1755, décédé avant 1791 ; il avait épousé à Maumusson (44) le 28 mai 1782, Monique Jeanne Charlotte TERRIER, fille de Me Charles Alain TERRIER et d’Anne Monique GUICHARD.

1a) Monique RENOUL, née à La Varenne (49) le 25 septembre 1783, décédée à Couffé (44) le 24 octobre 1856 ; elle y avait épousé le 15 janvier 1803, Maurice MESLET, chirurgien à Couffé, né à Angers le 8 mai 1776, décédé à Couffé le 11 juin 1845, fils de Maurice MESLET et de Jeanne LAUNAY.

1b) Jean RENOUL, né à La Varenne le 13 février 1785.

1c) Jacques RENOUL, né à La Varenne le 12 décembre 1786, décédé à l’Hôtel-Dieu de Nantes le 29 avril 1791.

8°) Marie Cécile RENOUL, née à Drain le 25 novembre 1756, y décédée le 29 octobre 1775.

9°) Louise Hyacinthe RENOUL, née à Drain le 5 février 1758, y décédée le 9 octobre 1758.

10°) Jeanne Toussaint Véronique RENOUL, rentière, née baptisée à Drain le 18 novembre 1759, décédée à Ancenis, rue du Pigeon, le 5 juin 1851 ; elle avait épousé à Drain le 5 février 1782, Pierre AILLERY, tanneur, né à Ancenis, y décédé le 20 août 1800, fils de Guillaume AILLERY, tanneur à Ancenis, et de Gabrielle TRIMONEAU. Dont postérité.

11°) Vierge Jacquine RENOUL, née à Drain le 7 avril 1761, y décédée le 27 décembre 1838.

12°) Bonne Claire RENOUL, née à Drain le 6 octobre 1762, y décédée le 8 novembre 1835.

13°) Augustin Ferdinand RENOUL, né à Drain le 12 septembre 1764.

14°) Honoré Aimé RENOUL, qui suit.


Honoré Aymé Renoul8. Honoré Aimé RENOUL, chirurgien de la Marine, médecin au Loroux-Bottereau (44), chirurgien-major de l’Armée Catholique et Royale, né à Drain (49) le 30 avril 1766, décédé au Loroux-Bottereau (44) le 2 février 1844 ; il avait épousé à Landemont (49) le 24 novembre 1794, Marie Perrine BOUTAND, née à Vertou le 4 juin 1766, décédée au Loroux-Bottereau le 16 octobre 1845, fille de Simon BOUTAND, maître chirurgien, et de Jeanne LOPIN.

Orphelin à 7 ans, Honoré Aimé RENOUL fit des études à l’université d’Angers et y suivit les cours de l’école de médecine puis de l’école de chirurgiens de marine de Nantes. Il obtint aussi le 27 janvier 1787 le titre de «maître es arts libéraux» de la faculté d’Angers.

Il embarque à Nantes sur le navire négrier « les Deux sœurs » comme second chirurgien. Après escales « de traite » sur les côtes du Congo et du Gabon, et ventes à la Martinique et à Saint-Domingue, il rentre à Nantes le 18 mai 1788. Les mauvais traitements prodigués aux Noirs, même aux malades malgré les protestations du médecin, le décidèrent à ne pas rembarquer sur ce genre de navire. Il navigua ensuite dans l’océan Indien et fit relâche à l’Ile-de-France et à Pondichéry. Le 8 octobre 1792 il fut reçu par l’académie de chirurgie de Nantes pour exercer la médecine et chirurgie au Loroux-Bottereau où il s’installa au mois de novembre 1792.

Honoré-Aymé Renoul de Moulin-Robert, dès le commencement de l’insurrection vendéenne en mars 1793, fut chirurgien dans la division royaliste de Lyrot de la Patouillère puis attaché à l’hôpital militaire de Saint-Laurent-sur-Sèvre jusqu’à son évacuation le 10 octobre 1793 sur Beaupréau. Il passa ensuite la Loire et fit avec les Vendéens la virée de Galerne jusqu’au désastre de Savenay. Ayant pu repasser la Loire il fut nommé chirurgien-major dans la division du Fief-Sauvin dépendant de Stofflet. Il y resta jusqu’à la pacification de la Jaunaye.

Il se réinstalle au Loroux-Bottereau avec sa famille en 1796. Élu maire en 1796, il démissionne la même année. Le 14 août 1805 il achète au Loroux une maison rue des Forges où il habitera jusqu’à sa mort. Il est élu conseiller municipal en 1814, et par ordonnance du roi du 10 septembre 1817 il est nommé Chirurgien-Major de la 3e légion de la Garde Nationale. Le 30 août 1826 « le roi connaissant (dit le brevet) le dévouement et les malheurs de Maître Renoul, lui accorde une pension de 300 livres ». Par conviction légitimiste, avec les autres membres du conseil municipal du Loroux-Bottereau, il refuse de prêter serment de fidélité à Louis-Philippe en septembre 1830 et le conseil est dissous. Il repose dans le cimetière du Loroux.

1°) Aymé Simon RENOUL, qui suit.

2°) Toussaint Marie RENOUL, négociant à Nantes, né au Loroux-Bottereau le 31 octobre 1796, y décédé en 1872 ; il avait épousé à Tours le 2 novembre 1841, Marie Augustine POITEVIN (1815-1890), fille d’Armand POITEVIN et de N. BAUDICHON.

1a) Gustave Marie Aimé RENOUL, né à Nantes le 1er février 1843, décédé en 1917 ; il eut au moins un fils :

2a) Raoul Gustave RENOUL, industriel à Marcq-en-Baroeul (Nord), né en 1889, décédé à Marcq-en-Baroeul le 30 mai 1967.

3°) Jean Charles RENOUL, dont la descendance suivra.

4°) Marie Honorine RENOUL, née au Loroux-Bottereau le 27 avril 1800, y décédée le 11 janvier 1892.

5°) Augustin Honoré RENOUL, né au Loroux-Bottereau le 21 septembre 1803, y décédé le 21 novembre Aymé Simon Renoulsuivant.


9. Aymé Simon RENOUL, né à La Haye-Présaut de Landemont (49) le 26 octobre 1795, décédé au Loroux-Bottereau (44) le 3 juillet 1863 ; médecin, maire du Loroux-Bottereau de 1851 à 1863, il y avait épousé le 28 janvier 1824, Marie Françoise DRINGOT de LA BRETONNIÈRE (1791-1875), fille d’Etienne DRINGOT de LA BRETONNIÈRE, officier de dragons, greffier au Loroux, conseiller municipal, et de Marie Renée de LAUNAY, dont :

1°) Stéphanie RENOUL (1826-1834).

2°) François Aymé RENOUL, qui suit.


François Aymé Renoul10. François Aymé RENOUL, avocat, notaire au Loroux-Bottereau, maire, y né le 6 février 1829, y décédé le 6 juillet 1911 ; il avait épousé au Loroux-Bottereau le 10 mai 1864, Marie Laure BROTHIER de LAVAUX, née à Chantonnay (85) le 18 octobre 1838, décédée à Nantes le 3 juillet 1914, inhumée au Loroux-Bottereau, fille de Pierre Charles BROTHIER de LAVAUX et de Victorine Dorothée JUCHAULT.

1°) Joseph Aymé RENOUL, qui suit.

2°) Pierre Marie Aymé RENOUL, né au Loroux-Bottereau le 27 juillet 1873, y décédé le 15 avril 1875.


11. Joseph Aymé RENOUL, médecin, né au Loroux-Bottereau le 4 octobre 1868, y décédé le 10 mars 1957 ; il avait épousé à Nantes le 23 mai 1903, Marie MAHOT,Joseph Aimé Renoul y née le 1er mai 1880, décédée au Loroux-Bottereau le 17 février 1930, fille de Jules Pascal MAHOT, directeur de « La Nantaise », maire de La Chapelle-Heulin, et de Marie Fébronie BUREAU, cette dernière, fille de Joseph BUREAU et de Félicité FLEURENCEAU de BELLEVUE, cette dernière encore, fille d’Hippolyte Marie FLEURENCEAU et de Félicité REMAUD de LA GOBINIÈRE (Voir Famille REMAUD).

1°) Pierre VIII RENOUL, qui suit.

2°) Simone RENOUL, née au Loroux-Bottereau le 25 mars 1906, décédée à La Chapelle-Heulin en septembre de la même année.

3°) Jehan RENOUL, né au Loroux-Bottereau le 3 janvier 1908, décédé à Thouaré (44) le 18 juin 1932. Sans alliance.

4°) Joseph RENOUL, prêtre sulpicien, aumônier de lycée à Paris, curé des Pavillons-sous-Bois (93), né au Loroux-Bottereau le 28 novembre 1909, décédé à Nantes le 8 mars 1992, inhumé au Loroux-Bottereau.

5°) Marie-Joseph RENOUL, infirmière, née au Loroux-Bottereau le 11 novembre 1911, décédée au Loroux-Bottereau le 10 janvier 1933.

6°) François RENOUL, fabricant de yaourts, né au Loroux-Bottereau (44) le 28 mai 1914, décédé à St-Julien-de-Concelles (44) le 16 avril 1995 ; il y avait épousé le 4 avril 1945, Claude RACINEUX, née à Nantes le 2 décembre 1919, décédée à St-Julien-de-Concelles le 9 avril 1981, fille d’Emile François RACINEUX et de Marie-Thérèse LANSAC.

1a) Jehan RENOUL, né à St-Julien-de-Concelles le 15 octobre 1946 ; il épousa le 28 août 1993, Myrian BROCHARD, dont :

2a) Emmanuel RENOUL

2b) François Michel RENOUL, né à St-Julien-de-Concelles le 13 décembre 1947 ; il épousa le 18 septembre 1981, Marie-Annick LE GUERROUÉ, dont :

2a) Anne-Elisabeth RENOUL, mariée à N. DUFLOT.

2b) Jean-Baptiste RENOUL

2c) Marie RENOUL

2d) Joseph RENOUL

2c) Simon RENOUL, né à St-Julien-de-Concelles le 6 février 1949, décédé à Nantes le 6 juin 1988 ; il avait épousé Evelyne VALLET, dont :

2a) Erwan RENOUL, père de :

3a) Léo RENOUL.

2d) Paul RENOUL, né à St-Julien-de-Concelles le 27 mai 1950 ; il épousa au Loroux-Bottereau le 2 juin 1979, Claudine RINEAU, dont :

2a) Charles RENOUL, marié à Tiffany BEYLY, dont :

3a) Pauline RENOUL

2b) Sophie RENOUL, née à Nantes le 30 mai 1981 ; elle épousa à St-Etienne de Chigny (37), Léonard Michel Albéric GENEAU de LAMARLIÈRE, né le 4 juillet 1980, fils de Christian GENEAU de LAMARLIÈRE, et de Maryelle SOULAGE, dont :

3a) Suzanne GENEAU de LAMARLIÈRE, née en 2009.

3b) Martin GENEAU de LAMARLIÈRE, né en 2010.

3c) Pierre GENEAU de LAMARLIÈRE, né en 2012.

3d) Violette GENEAU de LAMARLIÈRE, née en 2014.

2c) Bruno RENOUL, né à Nantes le 14 décembre 1982 ; il épousa à Vendôme (41) le 11 septembre 2010, Elsa GRENOUILLET-TIRONNEAU, dont :

3a) Octave RENOUL

2d) Gonzague RENOUL, prêtre de la Fraternité Saint Thomas Becket.

2e) Blanche RENOUL

2f) Denis RENOUL

1e) Joseph RENOUL, né à St-Julien-de-Concelles le 14 juillet 1951 ; il épousa à Nantes le 14 mai 1977, Véronique L’APPARTIEN, née à Nantes le 12 septembre 1955, fille de Xavier L’APPARTIEN et de Claude POUPART, dont :

2a) Émilie RENOUL, née à Nantes le 20 mars 1978 ; elle y épousa le 21 décembre 2002,  Emmanuel COLLET, cadre commercial de banque, né le 2 octobre 1979, dont

3a) Paul COLLET, né à Nantes le 15 novembre 2003.

3b) Hortense COLLET, née à Nantes le 3 octobre 2005.

3c) Félix COLLET, né à Villeneuve-sur-Lot (47) le 6 décembre 2007.

3d) Gustave COLLET, né à Nantes le 15 août 2009.

2b) Pierre-Olivier RENOUL, né à Nantes le 20 août 1979 ; il épousa à St-Pierre-des-Échaubrognes (79) le 26 juillet 2008, Marguerite de CANONGETTES de CANECAUDE, née à Paris le 4 octobre 1982, fille de Hubert de CANONGETTES de CANECAUDE, et de Sabine CHODRON de COURCEL, dont :

3a) Albane RENOUL, née à Lyon le 4 octobre 2010.

3b) Isaure RENOUL, née à Écully (69) le 22 novembre 2012.

3c) Quitterie RENOUL, née à Écully le 8 décembre 2014.

2c) Marie-Aymé RENOUL, née à Nantes le 24 mai 1983.

2d) Augustin RENOUL, né à Nantes le 11 février 1988 ; il épousa à Lancieux (22) le 2 mai 2015, Marion CHALOPIN, née le 28 février 1990, fille de Jacques CHALOPIN et de Florence TOUTLEMONDE.

1f) Marie RENOUL, née à St-Julien-de-Concelles le 21 août 1952, décédée à St-Nazaire le 6 juillet 2001 ; elle avait épousé Philippe BIRGAND, dont :

2a) Jean-François BIRGAND

2b) Stéphanie BIRGAND

2c) Wandrille BIRGAND

1g) Yvon RENOUL, né au Loroux-Bottereau le 15 avril 1954 ; il épousa à Boussay (44) le 22 août 1980, Marielle PELLERIN de LA VERGNE, née à Rennes le 29 juillet 1955, fille de François PELLERIN de LA VERGNE (lui-même fils d’Albert PELLERIN de LA VERGNE et de Marie Marguerite QUERQUI de LA POUZAIRE), et de Solange de FRÉMOND de LA MERVEILLÈRE.

2a) François RENOUL, né à Nantes le 18 juillet 1981 ; il épousa à Pouzauges le 6 août 2005, Caroline PINEL, née le 28 janvier 1982, fille de Thierry PINEL et d’Emmanuelle ROUSSEAU, dont :

3a) Louis RENOUL, né en 2006.

3b) Inès RENOUL, née en 2008.

3c) Philomène RENOUL, née en 2001.

2b) Benoît RENOUL, né à Nantes le 7 octobre 1982.

2c) Hugues Antoine RENOUL, né à Cholet le 15 février 1985.

2d) Anne Hélène RENOUL, née le 20 février 1987 ; elle épousa à Nantes le 12 décembre 2009, Pierre François AUMONNIER, né en 1980, fils de Pierre Emmanuel AUMONNIER et d’Anne Hélène LAMBERT, dont

3a) Iseult AUMONNIER

3b) Pierre-Maël AUMONNIER

3c) Solange AUMONNIER

2e) Catherine RENOUL, née à Cholet le 2 pctpbre 1989, mariée à Alexis BOSSARD, dont :

3a) Bérénice BOSSARD

2f) Nicolas RENOUL, né à Cholet le 19 septembre 1992, y décédé le 24 décembre suivant.

2g) Emmanuelle RENOUL, née à Cholet le 19 novembre 1993.

1h) Donatien RENOUL, né au Loroux-Bottereau le 5 avril 1957 ; il épousa à Boussay le 22 août 1981, marié à Marie Elisabeth PELLERIN de LA VERGNE, née à Rennes le 18 novembre 1957, fille de François PELLERIN de LA VERGNE et de Solange de FRÉMOND de LA MERVEILLÈRE, dont :

2a) Clotilde RENOUL, née au Loroux-Bottereau le 30 janvier 1984 ; elle épousa à St-Senoux (35) le 4 août 2007, mariée à Gwénolé JOSSEAUME, né le 11 février 1983, fils de Gwenaël JOSSEAUME et de Véronique CHICOYNEAU de LAVALETTE, dont

3a) Grégoire JOSSEAUME, né en 2008.

3b) Camille JOSSEAUME, née en 2011.

3c) Gauthier JOSSEAUME

2b) Mathilde RENOUL, née à Nantes le 28 mars 1986 ; elle épousa François HOURS, dont :

3a) Louis Joseph HOURS

2c) Jean-Marie RENOUL, né à Nantes le 4 novembre 1987.

2d) Thomas RENOUL, né à Nantes le 3 juillet 1989 ; il épousa Pauline CHAUMEIL.

2e) Marguerite RENOUL, née à Rennes le 17 juillet 1992.

2f) Sixte RENOUL, née à Rennes le 6 avril 1995.

2g) Jehanne RENOUL, née le 15 janvier 2003.

1i) Xavier RENOUL, né au Loroux-Bottereau le 22 mars 1962 ; il épousa Marie GARDIC, dont :

2a) Claire Marie RENOUL

2b) Hermine RENOUL

2c) Inès RENOUL

7°) Michel RENOUL, né au Loroux-Bottereau le 30 avril 1916, y décédé le 24 septembre 1982 ; il avait épousé à Nantes le 12 juillet 1941, Simone RACINEUX, née à Nantes le 13 décembre 1921, y décédée le 21 mai 2007, fille d’Émile François RACINEUX, industriel en conserves de viandes et salaisons à Vertou,  et de Marie-Thérèse LANSAC.

8°) Etienne RENOUL, né au Loroux-Bottereau le 6 juin 1917, décédé à Nantes le 6 juillet 2001 ; il avait épousé Geneviève DELAGE, née le 14 avril 1925, dont :

1a) Henry RENOUL, né au Loroux-Bottereau le 17 juillet 1950 ; il y épousa le 4 février 1977, Chantal GAULTIER du PERRAY, née à Nantes le 19 septembre 1952, fille de Roger GAULTIER du PERRAY et de Thérèse BRILLAUD, dont :

2a) Christophe RENOUL, né à Nantes le 2 février 1979 ; il épousa en 2012 Ella TALAYA,  dont il eut :

3a) Charles Athanase RENOUL, né en 2009.

3b) Artus RENOUL, né en 2013

2b) Stanislas RENOUL, né à Nantes le 30 juillet 1981.

2c) Hedwige RENOUL, née à Nantes le 10 septembre 1982.

2d) Guillemette RENOUL, née à Nantes le 20 juillet 1984.

2e) Benjamin RENOUL, né à Cholet le 29 octobre 1987.

2f) Camille RENOUL, née à Cholet le 2 janvier 1990 ; elle épousa à Mortagne-sur-Sèvre le 27 juin 2015, Charles Antoine VIOT, né le 2 mars 1989, fils de Thierry VIOT et de Marie-Christine REDKINE.

1b) Emmanuel Joseph René Etienne Marie RENOUL, né à Nantes le 1er août 1951 ; il épousa à St-Lambert-la-Potherie (49) le 30 juin 1979, Laure Isabelle Marie de RORTHAYS, née à Angers le 1er janvier 1953, fille de Renaud de RORTHAYS et de Régina SAVARY de BEAUREGARD, dont :

2a) Charlotte RENOUL, née à Nantes le 2 mai 1982 ; elle épousa religieusement à Ambon le 3 juillet 2010, Stéphane L’APPARTIEN, né à Nantes le 7 juin 1977, fils de Franck L’APPARTIEN et de Caroline BOURGOÜIN.

2b) Quentin  RENOUL, né à Nantes le 26 mai 1985.

2c) Marie RENOUL, née à Nantes le 26 mai 1985.

2d) Tristan RENOUL, né à Vannes le 15 septembre 1987..

1c) Anne Geneviève RENOUL, née en octobre 1952.

1d) Luc RENOUL, né à Nantes le 6 juillet 1954 ; il y épousa le 13 septembre 1986, Marie-Agathe MOYON, née à Toulouse le 24 mai 1961, fille de Loïc MOYON et de Françoise ROMEFORT, dont :

2a) Charles-Henry RENOUL, né à Nantes le 1er octobre 1987.

2b) Anne-Sophie RENOUL, née à Brest le 30 mars 1989.

2c) Clément RENOUL, né à Brest le 20 juillet 1990.

2d) Louis-Gatien RENOUL, né à Redon le 19 mai 1993.

1e) Isabelle RENOUL, née à Nantes le 15 février 1958.

1f) Laurent-Marie RENOUL, né à Nantes le 28 juin 1961 ; il épousa d’abord à Méral (53) le 25 avril 1987, Florence BOREAU de ROINCÉ, née à Rennes le 2 juin 1963, fille de Gonzague BOREAU de ROINCÉ et de Marie Françoise HARDY ; puis, après divorce, à La Jaille-Yvon (49) le 22 septembre 2006, Valérie BENOIST, née à Levallois-Perret (92) le 8 mars 1965, fille de Paul BENOIST et de Simone BADEL.

9°) Anne-Yvonne RENOUL, mariée à René GAVANESCH.

10°) Jeanne RENOUL, née au Loroux-Bottereau le 28 août 1921, décédée à Nantes le 25 mars 2006 ; elle avait épousé Michel DELAGE, dont postérité.


12. Pierre VIII RENOUL, né au Loroux-Bottereau le 17 septembre 1904 ; médecin à Nice, il est décédé à Cagnes-sur-Mer (06) le 16 mars 1975 ; il avait épousé à Tours le 19 mars 1926, Marie-Louise BARATON, née à Palaiseau (91) le 6 avril 1893, décédée à Villeneuve-Loubet (06) le 29 septembre 1980, dont il eut au moins :

1°) Pierre RENOUL, qui suit.

2°) Monique RENOUL, qui épousa Pierre BAILLY.


13. Pierre RENOUL, né le 18 juillet 1931, décédé au Loroux-Bottereau le 23 août 2006 ; il avait épousé le 27 janvier 1955, Micheline PONCET, décédée à Vertou le 30 juillet 2011.

1°) Marie Hélène RENOUL

2°) Pierre RENOUL, né à Maisons-Lafitte (78) le 21 juin 1956 ; il épousa Laurence SECRETANT, dont :

1a) Raphaëlle RENOUL

1b) Marion RENOUL

1c) Elisabeth RENOUL

3°) Gilles RENOUL, né le 27 février 1961 ; il épousa Linda COMEZ, dont :

1a) Simon RENOUL

1b) Jean RENOUL

4°) Michelle RENOUL, née à Dijon le 2 novembre 1964 ; elle épousa jean-Charles AMBOISE, dont :

1a) Mathilde AMBOISE

1b) Paul AMBOISE








Descendance de Jean-Charles RENOUL


9. Jean Charles RENOUL, négociant, adjoint au maire de Nantes, historien, président de la Société Académique, né au Loroux-Bottereau le 4 floréal an VI, décédé à Nantes le 30 décembre 1872, fils d’Honoré Aimé RENOUL, chirurgien de la Marine, médecin au Loroux-Bottereau, chirurgien-major de l’armée catholique et royale, et de Marie Perrine BOUTAND ; il avait épousé à Nantes le 5 mai 1826, Jeanne Estelle BANCHAIS, née en 1806, fille de Jean François BANCHAIS, négociant, et de Geneviève GELLUSEAU, dont :

Paul Honoré Renoul1°) Charles RENOUL, né à Nantes le 8 mai 1828, y décédé le 25 mai 1858.

2°) Eugène RENOUL, qui suit.

3°) Paul Honoré RENOUL, négociant à Cholet, administrateur de la Caisse d’Épargne, né à Nantes le 27 avril 1831, décédé à Cholet le 29 décembre 1912 ; il avait épousé à Cholet le 18 septembre 1859, Céline BEAUDOUIN, médecin, née en 1837, décédée le 22 janvier 1902, dont :

1a) Marie RENOUL, infirmière-majore en 1914-1918, née à Cholet en 1860, décédée aux Herbiers.

1b) Jeanne RENOUL, née à Cholet en 1867, décédée au château du Pinier aux Herbiers le 13 février 1953 ; elle avait épousé à Cholet le 21 avril 1885, Georges Prosper Gustave LELIÈVRE, officier de cavalerie, né au château du Bignon aux Herbiers le 23 juin 1855, décédé aux Herbiers le 28 janvier 1941, fils de Gustave LELIÈVRE, maire des Herbiers (lui-même fils de Prosper LELIÈVRE et de Marie FRANÇOAmaury RenoulIS du TEMPS) et d’Irma Sidonie GRIGNON.

4°) Marie Honorine RENOUL, née à Nantes le 17 avril 1833, y décédée le 16 décembre 1834.

5°) Honoré RENOUL, né à Nantes le 29 octobre 1835, y décédé le 7 octobre 1836.

6°) Amaury RENOUL, ingénieur, gérant de la Librairie Nouvelle à Paris, né à Nantes le 23 août 1837, décédé au Cellier (44) le 1er juin 1898 ; il avait épousé à Nantes le 5 janvier 1869, Isabelle HERBELIN, née à Nantes le 13 février 1846, y décédée le 17 mars 1872. Sans postérité.

7°) Honoré RENOUL, né à Nantes le 6 septembre 1842, ingénieur à Nantes puis à Puteaux (92), décédé après 1902 ; il avait épousé à Nantes le 4 mai 1870, Marie DECHAILLÉ, née le 14 décembre 1850,Honoré Renoul décédée le 27 mai 1921, fille de Charles Joseph DECHAILLÉ et de Stéphanie FORGEOT. Sans postérité.


10. Eugène RENOUL, polytechnicien, inspecteur des Eaux et Forêts, né à Nantes le 24 juillet 1829, décédé à Cérilly (03) le 9 novembre 1874 ; il avait épousé à Nantes le 5 mars 1858, Aglaé Marie Suzanne JANSON, alias GENSON, née à Nantes le 26 août 1833, y décédée le 20 février 1928, fille de Gédéon Marie JANSON et d’Aglaé COIGNE.

1°) Charles RENOUL, qui suit.

2°) Marie Jenny RENOUL, née à Châteauneuf le 15 novembre 1860, décédée à Nantes le 26 novembre 1945 ; elle y avait épousé le 6 février 1888, Prosper Jean Marie COCAULT-DUVERGER, avocat, conseiller de Préfecture, né à Noyal-sur-Vilaine (56) le 21 mars 1852, décédé le 19 décembre 1943. Dont postérité.

3°) Eugène RENOUL, né à Blain (44) le 15 janvier 1865, décédé à Nantes le 2 avril 1885.


11. Charles Marie François RENOUL, agent de change à Nantes, directeur de la Banque Nationale de Crédit, maire de Gorges, né à Nantes le 8 avril 1859, y décédé le 9 avril 1950 ; il avait épousé à Nantes le 28 juin 1892, Marguerite Jeanne Gabrielle LECOQ, présidente de la Mutualité Maternelle Nantaise, née à Gorges (44) le 14 juillet 1871, décédée à Nantes le 16 mai 1935, fille de Mathieu Marie Oscar LECOQ, chef d’escadron d’État major, et d’Aline GATINEAU.

1°) Maurice Charles Amaury RENOUL, né à Nantes le 21 avril 1894, fusillé par les Allemands à Arbonne (77) le 17 août 1944.

2°) Marcel Charles Henry RENOUL, qui suit.

3°) Gabriel Charles Louis RENOUL, né à Nantes le 20 juin 1898, décédé à Metz (Moselle) le 18 septembre 1967 ; il avait épousé d’abord à Metz le 2 juin 1934, Jeanne Marie BRIGAUD ; puis à Metz le 14 juin 1955, Rose Louise MELCHIOR. Sans postérité.

4°) Jeanne Isabelle Charlotte Noëlie RENOUL, née à Nantes le 25 décembre 1901, décédée à Nancy le 18 juin 1946 ; elle avait épousé à Nantes le 13 février 1922, André LORRAIN, directeur de la Soudière de la Madeleine à Nancy, né à Paris le 11 avril 1892, décédé à Ballainvilliers (91) le 4 juillet 1975, inhumé à Gacogne (58), fils de Joseph Marie LORRAIN et de Marthe BERNARD. Dont postérité.

5°) Etienne Jean Charles RENOUL, né à Nantes le 27 décembre 1907, décédé à Paris le 12 juin 1995. Sans alliance ni postérité.


12. Marcel Charles Henry RENOUL, banquier, fondé de pouvoir, né à Nantes le 19 avril 1895, décédé à Gorges (44) le 29 août 1969 ; il avait épousé à Nantes le 25 avril 1918, Renée Marie Charlotte CORHUMEL, née à Nantes le 29 mars 1896, y décédée le 2 janvier 1983, fille de René Marie Emile CORHUMEL, raffineur, directeur d’une usine de chaussons, négociant, et de Charlotte DUBIGEON, cette dernière de la famille des chantiers navals.

1°) Odile Charlotte Marcelle RENOUL (1919-1955) ; elle épousa à Paris le 27 mai 1942, Henri Jean Léon DELCOURT, architecte urbaniste, né à Paris le 4 février 1912, décédé en 1986, fils d’Henri DELCOURT et de Marguerite ROGELET. Dont postérité.

2°) Claude Marcel René RENOUL, qui suit.

3°) Jacqueline RENOUL, née en 1926 ; elle épousa Charles MARINDAZ, né le 22 mars 1915, décédé le 16 février 1988.


13. Claude Marcel René RENOUL (1922-1990) ; il épousa Micheline PERGELINE, née en 1923, fille de Robert PERGELINE et de Paule COSMI.

1°) Gilles Antoine Robert RENOUL, né en 1946 ; il épousa Madeleine JEZEQUEL, dont :

1a) Yann RENOUL

1b) Xavier RENOUL

2°) Benoît RENOUL, qui épousa Soisick GOSSELIN, fille de Denis GOSSELIN et d’Andrée CHRISTMANN.

3°) Isabelle RENOUL, mariée à Philippe ÉVRARD.

E-mail: kristian06@orange.fr

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