E-mail: kristian06@orange.fr

Pour revenir sur la page d’accueil afin de consulter une autre famille ou pour effectuer une recherche précise sur un patronyme, vous pouvez soit cliquer sur la favicone  V   qui se trouve tout en haut à gauche de la barre d’adresse, soit cliquer sur le bouton « home » ici à droite.


THIÉRIOT


Montaigu, Chavagnes-en-Paillers, St-Fulgent, Les Brouzils, Chantonnay


Déposé le 25 avril 2017 par Christian Frappier

Sources - Recherches

Registres paroissiaux et d’Etat-Civil, Relevés CGV, Roglo









Blason déposé par Jacques THIÉRIOT, lieutenant de la milice de Montaigu



La CaillauderieMarchands de draps venus de Lorraine, les THIÉRIOT s’installèrent comme apothicaire à Montaigu au 17e siècle, puis ils devinrent médecins de père en fils. Peu après le milieu du 18e siècle, ils firent construire la château de la Caillauderie qui affirmait leur réussite matérielle obtenue à force de ténacité. Son implantation, ses dimensions, ses toits en ardoise – à une époque où rares étaient les bâtiments à en être dotés à Montaigu – étaient un signe ostentatoire des ambitions sociales de la famille face aux seigneurs du lieu et aux familles nobles locales, ainsi que face aux habitants plus modestes de la ville et de ses environs…

Après les péripéties de la Révolution et des Guerres de Vendée, Jacques THIÉRIOT (1748-1798) put revenir à Montaigu où il retrouva le château familial, un des rares bâtLa Caillauderie à Montaiguiments qui avaient été épargnés par les incendies ; c’est à cette époque qu’il put grandement renforcer la fortune familiale grâce à l’acquisition à faible coût de nombreux biens nationaux. (Avant la Révolution, la Caillauderie et ses dépendances faisaient partie de la paroisse de La Guyonnière. (Dictionnaire toponymique de la Vendée).



1. Nicolas THIÉRIOT, maître apothicaire, né vers 1627, décédé à Montaigu le 2 octobre 1687 ; il avait épousé Louise ALBERT, décédée à Montaigu le 15 juin 1668.

1°) Nicolas THIÉRIOT, né à Montaigu le 10 mai 1659.

2°) Louise THIÉRIOT, née le 8 mai 1661.

3°) Françoise THIÉRIOT, née à Montaigu le 30 décembre 1662, y décédée le 16 septembre 1712 ; elle avait épousé à Montaigu le 12juillet 1674, Daniel Auguste BARAILLEAU, alias BARAILLAUD, sieur du Planty, né vers 1664, décédé à La Guyonnière le 2 juin 1729, fils d'Henry BARAILLEAU, sieur de la Grange, et de Françoise DEMAY ; dont postérité.

4°) Julien THIÉRIOT, docteur en médecine, né à Montaigu le 6 mai 1664, y décédé le 23 août 1694.

5°) Renée THIÉRIOT, née à Montaigu le 4 décembre 1665.

6°) Jacques THIÉRIOT, qui suit.

7°) Charles Louis THIÉRIOT, né à Montaigu le 4 juin 1668, nommé vicaire de Boufféré en 1696, puis curé en novembre de la même année, et enfin chanoine, sous-chantre du Chapitre.

8°) Anne THIÉRIOT, née à Montaigu le 25 janvier 1670.

9°) Marie Anne THIÉRIOT, née à Montaigu le 17 octobre 1672.

10°) Marie THIÉRIOT, née à Montaigu le 19 septembre 1678.


Jacques THIERIOT2. Jacques THIÉRIOT, apothicaire, né à Montaigu le 21 avril 1667, y décédé le 6 octobre 1741 ; il avait épousé aux Brouzils le 7 novembre 1694, Marie Magdeleine BELLOUARD, née aux Brouzils le 22 juillet 1677, fille de François BELLOUARD, sieur de la Guionnière, et de Marguerite BOUSSEAU.

1°) Marie Magdeleine THIÉRIOT, née à Montaigu le 23 septembre 1695, décédée à St-Georges-de-Montaigu ; elle avait épousé à Montaigu le 6 septembre 1740, René RICHARD, sieur de la Vergne, docteur en médecine, né au Boussay (44), veuf de Marie Charlotte HOUDET, et fils de René RICHARD, sénéchal de la commanderie du temple de Clisson.

2°) Jacques THIÉRIOT, né à Montaigu le 2 mai 1697, y décédé le 18 mars 1698.

3°) Charlotte Françoise THIÉRIOT, née à Montaigu le 14 avril 1699, y décédée le 12 janvier 1757.

4°) Charles Nicolas THIÉRIOT, né à Montaigu le 25 janvier 1701, y décédé le 24 septembre 1709.

5°) Louise Marguerite THIÉRIOT, née à Montaigu le 23 avril 1703, y décédée le 25 juillet suivant.

6°) Jacques Augustin THIÉRIOT, né à Montaigu le 10 juillet 1705.

7°) Julien Alexis THIÉRIOT, né à Montaigu le 11 mars 1707.

8°) Rose Honorée THIÉRIOT, née à Montaigu le 15 mai 1709, y décédée le 20 avril 1712.

9°) Jeanne Pélagie Thérèse THIÉRIOT, née à Montaigu le 28 juin 1710, y décédée le 17 juin 1793 ; elle y avait épousé le 16 février 1745, Jacques François MUSSET, chirurgien, né à Montaigu le 29 avril 1718, y décédé le 20 novembre 1756, fils de Charles MUSSET, notaire et procureur, et de Marguerite ALLAIRE ; dont postérité, et entre autres :

1a) Jacques René MUSSET, juge de paix du canton de Montaigu, docteur en médecine de l’Université de Montpellier, né à Montaigu le 8 janvier 1856, décédé à Boufféré le 4 septembre 1836 ; il avait épousé à Vieillevigne (44) le 16 janvier 1781, Marie Agnès BOSSIS, fille de Michel Guillaume BOSSIS, sieur de la Bézière et de Marie Anne Agnès PERRAUDEAU ; dont, entre autres :

2a) François Marie MUSSET, notaire impérial à St-Georges-de-Montaigu, maire de Montaigu en 1815, né à Vieillevigne en 1782, décédé à Montaigu le 28 août 1837 ; il avait épousé à Montaigu le 27 octobre 1813, sa cousine, Marie Julie THIÉRIOT, née à Montaigu le 27 novembre 1796, y décédé le 12 septembre 1827, fille de Jacques Pierre Aimé THIÉRIOT, médecin, et de Marie Rose Françoise MARTINEAU. Voi ci-dessous.

10°) Marie Françoise Gabrielle THIÉRIOT, née à Montaigu le 20 mai 1712 ; elle y épousa le 27 janvier 1744, André Louis MUSSET, sieur de la Bretonnière, né à Montaigu le 13 novembre 1711, décédé à St-Hilaire-de-Loulay le 30 octobre 1761, fils de Charles MUSSET, notaire et procureur, et de Marguerite ALLAIRE ; devenu veuf, André Louis MUSSET épousa en secondes noces à Montaigu le 4 février 1755, Marie Anne CADOU des ROZELIÈRES, de Notre-Dame-de-Riez ; dont postérité MUSSET, MORAND, CHAUVEAU, GAUDET de LESTARD, CHAUVEAU-CESBRON, RAISON, BATIOT...

11°) Aimée Ursule THIÉRIOT, née à Montaigu le 29 octobre 1713, y décédée le 10 août 1730.

12°) Germain Hardouin Aimé THIÉRIOT, qui suit.

13°) Charles Louis THIÉRIOT, né à Montaigu le 11 mars 1716, y décédé le 10 décembre 1718.

14°) Pierre Gabriel THIÉRIOT, sieur de l'Orvoire, avocat en Parlement, procureur à la maréchaussée générale du Poitou, né à Montaigu le 5 octobre 1717 ; il épousa à St-André-Goule-d'Oie le 17 janvier 1758, Marie Marguerite MUSSET, née à Montaigu le 23 septembre 1720, fille de Charles MUSSET, notaire et procureur, et de Marguerite ALLAIRE.


Hardouin THIERIOT3. Germain Hardouin Aimé THIÉRIOT, docteur en médecine de la Faculté de Montpellier, né à Montaigu le 22 février 1715 ; il avait épousé aux Brouzils le 31 juillet 1747, Marie Anne Louise MARCHAIS, née à Chavagnes-en-Paillers le 14 avril 1722, fille de Pierre François MARCHAIS et d'Anne CHÉDANEAU ; il fut assassiné âgé de 78 ans, par les insurgés à Montaigu le 13 mars 1793, devant sa maison : sommé de crier « Vive le Roi », il aurait crié « Vive la République ! ».

1°) Jacques Pierre Aimé THIÉRIOT, qui suit.

2°) Marie Anne Françoise THIÉRIOT, née à Montaigu le 12 juin 1750.

3°) Louise Aimée Charlotte THIÉRIOT, née à Montaigu le 22 février 1752.

4°) Louis Charles THIÉRIOT, né à Montaigu le 22 février 1752.

5°) Julie Angélique THIÉRIOT, née à Montaigu le 15 mars 1754, décédée aux Brouzils le 29 septembre 1821.

6°) Rose Judith Françoise THIÉRIOT, née à Montaigu le 30 janvier 1756, décédée à Chavagnes-en-Paillers le 19 octobre 1817 ; elle avait épousé à Montaigu le 28 septembre 1784, Pierre Charles Marie GOURRAUD, sieur de la Proustière, avocat en Parlement, sénéchal de La Rabastelière, St-Denis-la-Chevasse et la Jarrie, né à St-Sulpice-le-Verdon le 27 novembre 1744, décédé à Chavagnes-en-Paillers le 12 août 1816, fils de Pierre GOURRAUD, sieur de la Bonnelière, et de Marie Anne JEULIN. Dont postérité GOURRAUD, DAMOUR, LIBERT, GAUVREAU, GUITTON, ROUSSELLE, de ROYER-DUPRÉ, BUDAN de RUSSÉ, de ROQUEFEUIL, PORHEL, d’AVOUT, ROUSSELOT, DORÉ-GRASLIN, GORIN de PONSAY, ROULHAC de ROCHEBRUNE, ESGONNIÈRE du THIBEUF, etc…

7°) Madeleine Modeste Pélagie THIÉRIOT, née à Montaigu le 25 mai 1758, y décédée le 23 juillet 1831 ; elle avait épousé aux Brouzils le 29 juin 1800, Jean Pierre BOY, ou BOIS, lieutenant de cavalerie, né à Lérouville (55) en 1771, décédé à Montaigu le 23 juin 1838, fils d’Etienne BOIS et de Marie AUBRY.

8°) Alexis THIÉRIOT, avocat, juge au tribunal de Montaigu, membre du directoire du département en 1790, député de la Vendée, né à Montaigu le 20 juillet 1763 ; en avril 1793, il se trouva porté à la tête des insurgés des Brouzils ; en septembre suivant, devant les exactions des troupes qui envahissaient la région soulevée, il partit à Nantes avec de nombreux autres réfugiés de tous bords ; arrêté et accusé d’avoir été à la tête des rebelles, il essaya de sauver sa vie en prétendant, jusque sur l’échafaud, en décembre 1793, que c’est contraint et forcé qu’il avait été dans le camp des révoltés, mais ce fut en vain. Il fut condamné à mort comme « Brigand de la Vendée » et exécuté le même jour à Fontenay-le-Comte le 2 décembre 1793.


4. Jacques Pierre Aimé THIÉRIOT, médecin, né à Montaigu le 24 mai 1748 ; il y avait épousé le 22 janvier 1782, Marie Rose Françoise MARTINEAU, née à Ste-Gemme-la-Plaine, décédé à Montaigu le 27 octobre 1820, fille d’Ambroise Hilaire MARTINEAU, marchand, et de Françoise Marguerite MARTINEAU. Electeur du canton de Montaigu en juin 1790, administrateur du district la même année, puis électeur du canton de Montaigu en 1792, il fut fait prisonnier par les insurgés, mais s’échappa. Réfugié à Nantes puis à Maillezais, où il était toujours en l’an IV, il fut nommé médecin à l’hôpital de Fontenay en octobre 1794. Il est décédé à Montaigu le 5 fructidor an VI (22 août 1798).

1°) Jacques Pierre Aimé THIÉRIOT, qui suit.

2°) Pierre THIÉRIOT, né à Montaigu le 24 novembre 1784, y décédé le 15 juin 1863 ; il avait épousé à Fontenay-le-Comte le 1er juin 1808, Anne Joséphine MARTINEAU, y née le 16 mars 1785, fille de Venant Grégoire MARTINEAU et d’Anne Radegonde LAURENCE.

3°) Marie Julie THIÉRIOT, née à Montaigu le 27 novembre 1796, y décédée le 12 septembre 1827 ; elle y avait épousé le 27 octobre 1813, son cousin, François Marie MUSSET, notaire impérial, maire de Montaigu en 1815, né à Vieillevigne (44) vers 1782, décédé à Montaigu le 28 août 1837, fils de Jacques René MUSSET, juge de paix, médecin, et de Marie Agnès BOSSIS. Voi ci-dessus.


5. Jacques Pierre Aimé THIÉRIOT, né à Montaigu le 22 juillet 1783, décédé à Chavagnes-en-Paillers le 9 janvier 1829 ; il y avait épousé le 28 février 1810, Claire AUDUREAU, née à Chavagnes-en-Paillers le 7 janvier 1786, décédée à Montaigu le 14 octobre 1867, fille d’Armand Gabriel AUDUREAU, sieur de la Bultière – lui-même fils d’Antoine Mathurin AUDUREAU, sieur de la Rigaudière, et de Marie Anne Céleste BOUSSEAU – et de Marie Rose Aimée Désirée GUESDON de LA POUPARDIÈRE.

1°) Aimé THIÉRIOT, né à Montaigu le 27 novembre 1810, décédé à St-Fulgent le 24 février 1814.

2°) Pierre THIÉRIOT, né à Montaigu le 30 juin 1812, y décédé le 17 mars 1870 ; il avait épousé à Beaurepaire le 18 janvier 1836, Marie Joséphine Henriette Julie Jeanne Rosalie DAMOUR, y née le 19 juin 1812, décédée à Montaigu le 10 mai 1867.

3°) Alexis Armand THIÉRIOT, qui suit.


5. Alexis Armand THIÉRIOT, propriétaire,né à Chavagnes-en-Paillers le 14 mai 1815, décédé aux Brouzils le 11 décembre 1862 ; il avait épousé à Chantonnay le 21 novembre 1843, Honorine Elisa MEUSNIER, y née le 21 novembre 1821, fille de Constant Pierre MEUNIER, conseiller général de la Vendée, et de Marie Elisabeth Charlotte MAJOU du TAIL.

1°) Marie Clémence Elisabeth THIÉRIOT, propriétaire, née à Chantonnay le 10 septembre 1844, décédée à St-Fulgent le 21 septembre 1902 ; elle avait épousé aux Brouzils le 6 septembre 1864, Charles Désiré LEGRAS de GRANDCOURT, licencié en droit, né à St-Fulgent le 23 mars 1839, décédé en 1918, fils de Olivier Gabriel Désiré LEGRAS de GRANDCOURT et d’Adèle Félicité MARTINEAU. Dont postérité.

2°) Louise Léopoldine THIÉRIOT, née à Chantonnay le 12 septembre 1847, décédée aux Brouzils le 1er septembre 1848.

3°) Jacques Aimé THIÉRIOT, qui suit.

4°) Léon Constant Maurice THIÉRIOT, né aux Brouzils le 9 septembre 1855, décédé à Paris le 27 octobre 1888.


6. Jacques Aimé THIÉRIOT, propriétaire, né aux Brouzils le 7 juillet 1849, décédé à Montaigu le 9 février 1892 ; il avait épousé au Tallud-Ste-Gemme le 30 avril 1872, Marie Berthe Joséphine AUDÉ, y née le 12 novembre 1847, décédée à Montaigu après 1931, fille de Hyacinthe Lucien Auguste AUDÉ, médecin, et de Constance Honorine Adèle MAIGNEN, cette dernière, fille de Joseph MAIGNEN et d’Honorine Clémentine MAJOU du TAIL.

1°) Berthe Hyacinthe Elisa THIÉRIOT, née à Montaigu le 2 août 1873 ; elle y épousa le 1er juin 1892, Jules Auguste Louis CHAIGNEAU, médecin, né à Montournais le 5 mai 1862, fils d’Onésime Jacques Joseph CHAIGNEAU et d’Elise Aimée MARTIN ; il était le frère de Marie Emilie CHAIGNEAU, qui avait épousé Georges Henri CLEMENCEAU de LA LOCQUERIE.

2°) Aimée Constance Alice THIÉRIOT, née à Montaigu le 22 décembreMaxime DELAHET 1874, y décédée en janvier 1963 ; elle y avait épousé le 14 avril 1909, Georges Maxime DELAHET, officier de la Marine Nationale, né à Paris le 14 février 1867, décédé à Montaigu le 6 février 1955, fils de Marie Charles DELAHET et de Juliette Ernestine NAY.

Maxime DELAHET est entré à l’Ecole Navale en 1884 et ne quittera la Marine Nationale qu’en 1924, après 37 ans de service sur toutes les mers du globe, du Pacifique à la Méditerranée. La Première Guerre mondiale le trouva en poste sur le cuirassé « Voltaire » ; commandant à partir de novembre 1915 du contre-torpilleur « le Sabre », il devint le chef, le plus souvent en mer, de la 10e escadrille de torpilleurs en Méditerranée orientale. En 1919, il assura jusqu’à sa fermeture le commandement de la base que la Marine française avait à Salonique, alors plaque tournante vers les Balkans, Constantinople, les ports de la Mer Noire, voire ceux du Levant. Ses mérites et ses états de service auprès des pays de la région qui étaient alliés à la France, lui valurent de recevoir diverses décorations et distinctions étrangères. Fin 1923, il fut admis à prendre une retraite qui devint définitive en 1927. Il s’était retiré à la Caillauderie de Montaigu, la demeure familiale de son épouse. Président de l’Union Nationale des Combattants et conseiller municipal depuis plusieurs mandatures, il fut éSépulture THIERIOT AUDE CHAIGNEAU DELAHET HELIARD CARMIER TOUSSAINT dans le cimetière de Montaigulu maire en 1935. En 1940, profondément affecté par l’occupation allemande, il voulut mais ne put s’opposer à ce qu’un drapeau nazi flottât sur la mairie.

En 1943, il abrita sous son toit son petit-neveu, Jacques CHAIGNEAU (1923-1944) qui, agent de renseignement de la France Libre, venait d’être parachuté en Vendée. (Voir la Famille CHAIGNEAU). Maxime DELAHET mourut à Montaigu le 6 février 1955.

1a) Monique Berthe Henriette DELAHET, héritière du logis de la Caillauderie ; elle épousa à Montaigu en 1930, Maurice Marie Paul HÉLIARD, né à Cannes en 1901, décédé à Oussoy-en-Gâtinais (45) en 1976, fils d’Alphonse Marie Paul HÉLIARD et d’Elise Madeleine Charlotte TACHARD, dont :

2a) Marie-Christine HÉLIARD

2b) Monique HÉLIARD

2c) Jacques HÉLIARD

2d) Michèle HÉLIARD

2e) Jacqueline HÉLIARD

3°) Georges Aimé Hyacinthe THIÉRIOT, né à Montaigu le 30 mai 1889, y décédé le même jour.