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BROTHIER
Brothier de Lavaux, Brothier de Rollière, Brothier du Roc,
Brothier de Chambes, Brothier des Fontenelles, Brothier de Champrailly
Voulême (86), Chaunay (86), Brux (86), Poitiers (86), Montalembert (79), Les Adjots (16)
St-Hilaire-le-Vouhis (85), Chantonnay (85)
Tannay (58), Périgueux, 24, La Rochelle, 17, Bellet (33), Plassac (33), Puycelci (91),
Gujan-Mestras (33), Bernos-Beaulac (33), Casteljaloux (47), Ajat (24), Bourgneuf (17), Ste-Soulle, Aytré (17), La Jarrie (17)
St-Christophe (17), Nantes, Le Loroux-Bottereau (44), Civray (86), Ruffec (16), Saint-Front (16), etc…
Déposé le 4 janvier 2016 par la famille Renoul
Sources - Recherches :
Fichiers originaux comportant de nombreuses notes disponibles sur Geneanet (base jmren)
Le dictionnaire Beauchet-Filleau des Familles de l’Ancien Poitou donne à cette famille BROTHIER une origine erronée et fantaisiste. La généalogie présentée ici est établie après une consultation approfondie des registres paroissiaux de Montalembert et Voulême, et après échanges d’informations avec Frédéric BLANCHET, descendant de Théophile BROTHIER, sénateur de la Charente, dont la famille a conservé de nombreux documents notariés sur l’histoire de cette famille BROTHIER (archives Bourdelais).
1. Mathurin BROTHIER, laboureur, né à Voulême vers 1485, y décédé le 30 mai 1567 ; d’une alliance inconnue, il eut au moins un fils qui suit.
2. Gervais BROTHIER, laboureur à bœufs, né vers 1520, décédé à Voulême (86) le 25 décembre 1610 ; d’une alliance inconnue, il eut au moins un fils qui suit.
3. Antoine BROTHIER, marchand et laboureur à Lavaux-Frélicart de Voulême ; il épousa en 1590 Hilaire BAILLOT, fille de Jehan BAILLOT, seigneur de Chambe (Voulême), et de Marie de CHAMBE.
1°) Etienne BROTHIER, qui suit.
2°) Pierre BROTHIER, notaire royal à Montalembert. Il épousa avant 1632, Suzanne COUTURIER, dont il eut :
1a) Pierre BROTHIER, sieur de Tannay, procureur fiscal du baillage de Tannay (58) et commissaire aux revues, baptisé à Montalembert le 12 décembre 1632, y décédé le 24 novembre 1711 ; il avait épousé Marie BAUDOT, dont il eut au moins un fils :
2a) N. BROTHIER, lequel, d’une alliance inconnue, eut au moins deux fils :
3a) Gabriel BROTHIER, né à Tannay vers 1723, décédé avant 1789 ; jésuite, bibliothécaire du collège Louis Le Grand, membre de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres.
3b) Pierre Gabriel BROTHIER, bourgeois, qui épousa Marie BOGNE, dont au moins :
4a) André Charles Thomas BROTHIER, mathématicien, botaniste et littérateur, né à Tannay (58) le 22 mai 1751. Moine, homme de vaste culture, il suit les traces de son oncle, Gabriel BROTHIER. Il enseigne les mathématiques à l’Ecole Militaire, et fait partie des membres associés à l’Académie des inscriptions et belles-lettres. Collaborateur de « L’Année littéraire », il fut membre de l’Agence royaliste de Paris, organisation secrète et service de renseignements royaliste et contre-révolutionnaire sous la Révolution française et placée sous les ordres du comte de Provence. Jugé comme un des chefs de la conjuration du Camp de Grenelle, il est déporté à Cayenne à la suite du coup d’Etat du 18 fructidor, à bord de la corvette « La Vaillante » à la fin de l’année 1797. Il est décédé à Sinnemary (Guyanne) le 13 septembre 1798.
1b) Jean BROTHIER, baptisé à Montalembert (79) le 3 janvier 1637, y décédé le 27 janvier 1681.
1c) Jacques BROTHIER, baptisé à Montalembert le 12 décembre 1638 ; notaire royal à Montalembert, notaire de la châtellenie de Limalonges ; il avait épousé sa cousine, Françoise BROTHIER, baptisée à Voulême (86) le 2 avril 1634, fille d’Etienne BROTHIER et de Françoise MARTEAU. Voir plus loin.
2a) Jean BROTHIER, baptisé à Voulême le 28 mai 1662, décédé à Ruffec (16) le 19 avril 1719 ; notaire du marquisat de Ruffec, sergent royal.
2b) Bertrand BROTHIER, baptisé à Montalembert le 18 février 1670, y décédé le 23 septembre 1702.
2c) Jeanne BROTHIER, baptisée à Montalembert le 26 avril 1675.
2d) Marie BROTHIER, qui épousa à Ruffec le 6 novembre 1696, Maître Jean FILLOT, maître perruquier.
2e) François BROTHIER, baptisé à Montalembert le 3 août 1680.
2f) Pierre BROTHIER, notaire royal à Montalembert, y décédé le 6 janvier 1713 ; de sa relation avec Catherine REPIN, sa concubine notoire selon le curé de Montalembert, il eut au moins une fille :
3a) Marguerite BROTHIER, baptisée à Montalembert le 23 avril 1708.
1d) Jean BROTHIER, sieur de Champrailly, bailli de Cournot (Nivernais), baptisé à Montalembert le 17 mars 1641 ; d’une relation inconnue, il eut au moins un fils :
2a) N. BROTHIER, qui fut le père d’un fils :
3a) Jean BROTHIER de CHAMPRALLY, avocat au Conseil du Roi.
1e) Charles BROTHIER, né à Montalembert vers 1644.
3°) Françoise BROTHIER, baptisé à Voulême le 12 novembre 1612.
4°) N. BROTHIER, mariée avant 1610 à Antoine « Grand Chaume » BROTHIER, son cousin, décédé à Voulême le 26 novembre 1668 ; ce dernier épousa en secondes noces, avant 1627, Jeanne BROUSSAUD, dont elle eut au moins un fils, Guillaume BROTHIER, baptisé à Voulême le 14 mars 1636, et qui reçut pour marraine, Françoise MARTEAU.
5°) Thomas BROTHIER, qui épousa Marie SOUIL, dont il eut au moins :
1a) Etienne BROTHIER, baptisé à Voulême le 1er septembre 1645.
6°) Anet BROTHIER, laboureur et marchand au village de la Faye à Voulême ; il épousa Denise de CHAMBES, dont il eut :
1a) Antoine BROTHIER, baptisé à Voulême le 2 juillet 1623.
1b) Françoise BROTHIER, baptisé à Voulême le 10 avril 1626.
4. Etienne BROTHIER, sieur de Rollière et de Lavaux, marchand et fermier de la seigneurie de Chambe, né à Voulême le 1er janvier 1590, y décédé le 24 mars 1678 ; il avait épousé à Montalembert le 27 février 1619, Françoise MARTEAU, née en 1600, décédée à Voulême le 19 février 1680.
1°) Marie BROTHIER, baptisée à Voulême le 21 novembre 1621.
2°) Jean BROTHIER, qui suit.
3°) Jeanne BROTHIER, née en 1626, décédée à Voulême le 9 mars 1697 ; elle avait épousé Me Antoine BAILLOT, sergent royal, né vers 1626, décédé à Voulême le 9 mars 1696.
4°) Antoine BROTHIER, sieur des Fontenelles, fermier du château de Chambes, baptisé à Voulême le 21 mai 1628, y décédé le 4 décembre 1679, inhumé dans l’église ; il avait épousé le 20 février 1656, Marie BAILLOT, fille de Maître Pierre II BAILLOT, seigneur de Chambe, notaire, dont :
1a) Pierre BROTHIER, baptisé à Voulême le 6 mars 1657.
1b) Françoise BROTHIER, née en 1660, décédée à Chaunay le 11 septembre 1713 ; elle avait épousé à Voulême le 18 juillet 1683, Me Jean DUPAS, sieur de Pliboux, notaire et procureur du Roi à Limalonges, fermier de la seigneurie de Chambes, fils de Jean DUPAS, maître chirurgien à Chaunay, et de Marthe FOREST ; dont, entre autres :
2a) Marie DUPAS, née à Chaunay le 27 octobre 1685, décédée à Voulême le 11 février 1753 ; elle avait épousé à Chaunay (86) le 26 juin 1713, Me Pierre BROTHIER, sieur de Rollière, de Chambes et de la Croix, son cousin, baptisé à Montalembert le 1er février 1686, y décédé en 1762, fils de Me Jean BROTHIER et de Marie MESTAYER. Voir ci-dessous.
1c) Louise BROTHIER, née à Voulême le 10 août 1668.
1d) Marie BROTHIER, mariée à Pierre MASSONET.
1e) Catherine BROTHIER, baptisée à Voulême le 21 juillet 1670.
1f) Maître René BROTHIER, sieur des Fontenelles, marié à Marie GAILLARD, dont au moins :
2a) Françoise BROTHIER, baptisée à Voulême le 24 février 1695.
1g) Etienne BROTHIER, sieur de la Vacherie
1h) Anne BROTHIER, décédée à Voulême le 9 janvier 1671.
5°) Charlotte Catherine BROTHIER
6°) Françoise BROTHIER, baptisée à Voulême le 2 avril 1634 ; elle épousa avant 1662 son cousin, Jacques « La Finesse » BROTHIER, notaire royal à Montalembert, y baptisé le 12 décembre 1638, fils de Me Pierre BROTHIER, notaire royal, et de Suzanne COUTURIER.
5. Jean BROTHIER épousa Marie MESTAYER, née avant 1628, décédée à Voulême le 8 février 1671.
1°) Jean BROTHIER, qui suit.
2°) N. BROTHIER, baptisé à Voulême le 10 avril 1651.
6. Maître Jean BROTHIER, sieur de Lavaux et de Rollière (1681 à 1706), du Rouet et de la More, marchand à Montalembert, y né vers 1644, décédé à Voulême le 27 avril 1706, inhumé dans l’église ; il avait épousé à Voulême le 30 novembre 1675, Marie MESTAYER, sa cousine, née vers 1647 à Montalembert, fille de Jean MESTAYER, sieur de Terruan, et de Jehanne BROTHIER.
En 1700, Jean BROTHIER est inscrit sous le nom de Rollière-Brothier dans l’Armorial d’Angoumois. Ses armoiries sont identiques à celles figurant sur la pierre tombale du frère Aymery BROTHIER, chevalier du Temple, décédé en 1309, située dans l’église de Saint-Saviol, proche de Voulême : « d’azur au chef componné d’argent et de sable ».
1°) Françoise BROTHIER, née avant 1676 ; elle épousa à Montalembert le 4 septembre 1692, Maître Jean MÉRIGEAUD de LA TOUCHE, notaire royal à Champagné, fils de Jacques MÉRIGEAUD de LA TOUCHE et d’Hélène DESMASSONS.
1a) Pierre MÉRIGEAUD de LA TOUCHE (1701-1767), qui épousa à Montalembert le 4 novembre 1738, Françoise BROTHIER, fille de Pierre BROTHIER.
2°) Jean BROTHIER, auteur de la Branche de Lavaux, qui suit.
3°) Marie BROTHIER, baptisée à Montalembert (79) le 10 mars 1683 ; elle y épousa le 24 janvier 1707, Jean JOLLY, sieur de la Touchaubert, dont au moins :
1a) Jeanne JOLLY, qui épousa à Brux (86) le 18 novembre 1743, Jacques DANIAU.
4°) Pierre BROTHIER, auteur de la Branche de Rollière, qui suivra.
5°) Renée BROTHIER, mariée à N. SARDIN.
6°) Jeanne BROTHIER, baptisée à Montalembert le 6 février 1689.
7. Jean BROTHIER, sieur de Lavaux et du Rouet, notaire royal aux Adjots (16), fils des précédents, baptisé à Voulême le 17 juin 1680, y décédé le 28 septembre 1722, inhumé dans l’église auprès de ses ancêtres ; il avait épousé à Voulême le 22 décembre 1704, Marguerite de PONS, née vers 1682, décédée à Voulême le 15 juin 1718, inhumée dans l’église, fille de René de PONS, seigneur de la Coudre, et de Marguerite GARNIER de COURMORAND. Voir ascendance.
1°) Marie Madeleine BROTHIER de LAVAUX, épousa à Voulême le 11 août 1738, Jacques d’AIGRE, sieur de la Ferasserie, décédé à St-Martin du Clocher (16) en 1784. Dont postérité d’AIGRE et GALLAIS.
2°) Jean BROTHIER de LAVAUX, qui suit.
3°) Jean Jacques BROTHIER de LAVAUX, employé dans les fermes générales à Périgueux, orfèvre à Périgueux, né avant 1714, décédé après 1755 ; il avait épousé à Saint-Front de Périgueux (24) le 25 mai 1734, Marguerite QUITARD, dont :
1a) Pierre BROTHIER, sieur de Lavaux, marchand orfèvre à Périgueux, contrôleur de la marque d’or à La Rochelle (1768), baptisé à St-Front de Périgueux le 10 mai 1735, décédé après 1773 ; il avait épousé à Périgueux le 11 février 1755, Suzanne de ROCHE, décédée après 1773, fille de Jean Damascène de ROCHE, seigneur de la Rivière, avocat à la cour, conseiller au présidial de Périgueux, et de Marguerite CHALARD.
2a) Jean Jacques BROTHIER de LAVAUX, décédé après 1765, qui a laissé postérité.
2b) Dominique BROTHIER de LAVAUX, baptisé à St-Front de Périgueux le 7 juin 1757.
2c) Côme BROTHIER de LAVAUX, baptisé à St-Front de Périgueux le 2 juillet 1758.
2d) Jean Baptiste BROTHIER de LAVAUX, baptisé à St-Front de Périgueux le 13 mars 1763.
2e) Pierre Gabriel BROTHIER de LAVAUX, sergent dans l’armée napoléonienne, garde de la forêt impériale de Grésille (81), baptisé à St-Front de Périgueux le 27 août 1764, décédé à Bellet (33) le 3 février 1845 ; il avait épousé Marie Anne SUREAU, décédée après 1812, dont :
3a) Marc Gabriel BROTHIER de LAVAUX, né à La Rochelle le 5 novembre 1800 ; instituteur à Bellet (33) ; il épousa avant 1835, Marguerite BOIRÉE, dont :
4a) Xavier BROTHIER de LAVAUX, né à Bellet (33) le 26 mars 1835, décédé après 1891 ; il avait épousé à Plassac (33), Marie Euphrasie LAMAUD.
4b) Emma BROTHIER de LAVAUX, née à Bellet le 3 avril 1844, décédée après 1869 ; institutrice à Génerac en 1869 ; elle y avait épousé le 29 mai 1869, Jean DUPUY, cultivateur, né à Génerac le 13 décembre 1841.
3b) Rosalie BROTHIER de LAVAUX, née à Puycelci (81) le 20 décembre 1807, décédée à Gujan-Mestras (33) le 7 octobre 1898 ; elle avait épousé à Bellet (33) le 23 mai 1837, Pierre PIERRE, né le 25 avril 1816, dont au moins :
4a) Pierre PIERRE, né le 18 août 1837 ; il épousa à Gujan-Mestras (33) le 7 mai 1862, Marie CUSSAC, dont postérité.
3c) Marc Gabriel BROTHIER de LAVAUX, forgeron, né à Puycelci (81) le 15 juin 1812 ; il épousa Jeanne MARSAN, dont au moins :
4a) Pierre BROTHIER, journalier, bucheron, né à Bernos-Beaulac (33) le 28 mai 1841, décédé à Casteljaloux (47) ; il y avait épousé le 26 septembre 1877, Jeanne LAMARQUE, y née le 24 mai 1859, dont au moins :
5a) Marie BROTHIER, née à Casteljaloux (47) le 26 avril 1880 ; elle fut la mère d’un fils naturel :
6a) Pierre André BROTHIER, cultivateur, ouvrier, employé aux Tramways de Bordeaux, né à Casteljaloux (47) le 3 février 1897 ; il y avait épousé le 7 février 1920, Alberte FIGUES, née à Anzex (47) le 9 juillet 1892, décédée à Guitres (33) le 4 janvier 1986. Dont postérité.
3d) Catherine Barbe Dorothée BROTHIER de LAVAUX, jumelle du précédent.
2f) Jean Joseph BROTHIER de LAVAUX, baptisé à St-Front de Périgueux le 7 novembre 1765, décédé le 3 novembre 1837 ; religieux de Chancelade à l’abbaye de Sablanceaux au diocèse de Saintes, en 1786, chanoine de Montauban, puis curé de Podensac (33).
2g) Marie Suzanne BROTHIER de LAVAUX, décédée à Poitiers en 1768.
2h) Marie Madeleine BROTHIER de LAVAUX, décédée à Ajat (24) en 1770.
2i) Louis Pierre BROTHIER de LAVAUX, baptisé à Ajat (24) le 24 mai 1773.
2j) Marie BROTHIER de LAVAUX, baptisée à Ajat (24) le 16 novembre 1774.
1b) Françoise BROTHIER de LAVAUX, baptisée à St-Front de Périgueux le 9 novembre 1736, décédée après 1758.
1c) Gabriel BROTHIER de LAVAUX, décédé après 1764.
1d) Marguerite BROTHIER de LAVAUX, décédée après 1773.
4°) Marguerite BROTHIER, baptisée à Voulême le 24 septembre 1714.
5°) René BROTHIER
6°) Pierre BROTHIER
7°) Charles BROTHIER, baptisé à Voulême le 3 février 1716, décédé avant 1772.
8°) Marie BROTHIER, baptisée à Voulême le 5 mars 1717.
9°) Charles BROTHIER, décédé avant 1722.
10°) Louis BROTHIER, baptisé à Voulême le 15 juin 1718.
8. Jean BROTHIER de LAVAUX, receveur des tailles à La Jarrie, officier de la Monnaie à La Rochelle, baptisé à Voulême le 5 mars 1707 ; il épousa à Bourgneuf (17) le 2 juillet 1736, Marie d’HARRIETTE, dame de la Richarderie, baptisée à St-Barthélémy de La Rochelle le 2 mai 1711, décédée à Ste-Soulle (17) le 30 mars 1778, fille de Me Charles d’HARRIETTE, maître-monnayeur à la Monnaie royale de La Rochelle, marchand, et de Marie Madeleine THÉROULDE.
1°) Jean Michel BROTHIER de LAVAUX, qui suit.
2°) Madeleine BROTHIER de LAVAUX, baptisée à La Jarrie le 23 avril 1738.
3°) Marie Anne BROTHIER de LAVAUX, baptisée à La Jarrie le 17 avril 1739, y décédée le 27 mai 1755.
4°) Marie Madeleine BROTHIER de LAVAUX, baptisée à La Jarrie le 30 juin 1740 ; elle épousa à Salles-sur-Mer le 15 juin 1761, Pierre Joseph PAPINEAU, sieur du Marais, négociant à La Rochelle, juge-consul en 1778, fils de Pierre PAPINEAU, négociant à La Rochelle, et de Marie Anne CLERGEAU, dont :
1a) Pierre Joseph PAPINEAU, baptisé à La Rochelle Notre-Dame le 5 juin 1762 ; il épousa à Salles-sur-Mer le 31 janvier 1797 (56/254), Catherine QUERQUY, née à St-Hilaire-le-Vouhis (85) le 12 décembre 1763 (ou plutôt le 25 mai 1755), fille de Messire Jean Alexandre QUERQUI, écuyer, sieur de Chalais et de la Pouzaire, et de Louise Marie Françoise RÉGNER de CHAMPEAUX.
La date de naissance indiquée n’existe pas. Une seconde Catherine, de la même fratrie, est née le 4 novembre 1765… mais elle aurait eu 10 ans lors du premier mariage avec François Louis GIRAUDEAU.
1b) Jean Alexandre Baptiste PAPINEAU, lieutenant de vaisseau en 1801, baptisé à La Rochelle Notre-Dame le 4 mars 1769 ; il épousa à Rochefort le 14 mai 1801, Claude Rosalie LASSUE, y née le 18 avril 1772.
1c) Marie Anne Adélaïde PAPINEAU, baptisée à La Rochelle Notre Dame le 12 avril 1771 ; elle y épousa le 7 octobre 1793, Louis François de LA FRAYETIÈRE, capitaine au 60e Régiment d’infanterie en garnison à La Rochelle, baptisé à Paris le 5 décembre 1768.
5°) Marie Anne BROTHIER de LAVAUX, né en 1741, décédée à Salles-sur-Mer le 6 septembre 1743.
6°) Jean Louis BROTHIER de LAVAUX, baptisé à Bourgneuf (17) le 8 mai 1742.
7°) Jean BROTHIER de LAVAUX, baptisé à Salles-sur-Mer le 10 octobre 1743.
8°) Marguerite Olive BROTHIER de LAVAUX, baptisée à Bourgneuf le 30 septembre 1748.
9. Jean Michel BROTHIER de LAVAUX, capitaine de la milice garde-côtes, maître-monnayeur à la Monnaie de La Rochelle, baptisé à La Jarrie le 1er mai 1737, décédé à la Richarderie de Salles-sur-Mer le 29 octobre 1782 ; il avait épousé à Aytré (17) le 27 juillet 1761, Thérèse ROY de LISLE, baptisée à La Rochelle le 23 avril 1742, décédée au château de la Richarderie à Salles-sur-Mer le 6 décembre 1792, fille de Me Pierre ROY, trésorier de la maréchaussée, et de Françoise Thérèse ROUSSEAU.
1°) Marie Thérèse BROTHIER de LAVAUX, née à la Richarderie de Salles-sur-Mer, baptisée le 28 septembre 1762, décédée à Montroy (17) le 14 octobre 1763.
2°) Marie Anne BROTHIER de LAVAUX, née à la Richarderie de Salles-sur-Mer, baptisée le 5 septembre 1763, décédée avant 1815 ; elle avait épousé à Salles-sur-Mer le 13 janvier 1784, François Cyrille ROCHET, bourgeois de Salles, dont postérité.
3°) Marie Thérèse BROTHIER de LAVAUX, née à la Richarderie de Salles-sur-Mer, baptisée le 16 septembre 1764 ; elle y épousa le 25 mai 1789, Pierre Charles Isaac MANCEAU, bourgeois de Salles.
4°) Louis Jean BROTHIER de LAVAUX, né à la Richarderie de Salles-sur-Mer le 25 mars 1766, décédé à Rochefort le 6 septembre 1813 ; propriétaire à Salles (1813), commis à pied de l’administration des droits réunis à la résidence de Rochefort (1813).
5°) Pierre Nicolas Félix BROTHIER de LAVAUX, né à la Richarderie de Salles-sur-Mer le 27 juin 1767, décédé à La Jarrie le 17 février 1831 ; propriétaire à Salles, aspirant de la Marine.
6°) Pierre Elie BROTHIER de LAVAUX, né à la Richarderie de Salles-sur-Mer, baptisé le 15 juillet 1768 ; aspirant de marine.
7°) Elisabeth Victoire BROTHIER de LAVAUX, née à la Richarderie de Salles-sur-Mer, baptisée le 26 novembre 1769, décédée à Bourgneuf (17) le 10 septembre 1770.
8°) Pierre Michel BROTHIER de LAVAUX, né à la Richarderie de Salles-sur-Mer, baptisé le 24 novembre 1770, décédé après 1779.
9°) Joseph BROTHIER de LAVAUX, né vers 1770, décédé après 1794, marin en 1793.
10°) Marie Hippolyte Esther BROTHIER de LAVAUX, née à la Richarderie de Salles-sur-Mer, baptisée le 24 septembre 1772, décédée à Bourgneuf le 11 février 1774.
11°) Marie Angélique BROTHIER de LAVAUX, née à la Richarderie de Salles-sur-Mer, baptisée le 15 juillet 1774 ; elle épousa à La Jarrie (17) le 15 fructidor an II (1er septembre 1794), Me François Joseph COLLONIER, notaire et maire de La Jarrie, né vers 1768, fils de François COLLONIER et de Marie Madeleine GIGAULT.
1a) Louis Joseph COLLONIER, né à La Jarrie le 24 février 1797.
1b) Toussaint COLLONIER, né à La Jarrie le 8 janvier 1798.
1c) Pierre Félix COLLONIER, notaire à St-Christophe (17), né à La Jarrie le 12 décembre 1798.
1d) Pierre COLLONIER, né à La Jarrie le 15 août 1802.
12°) Charles Léon BROTHIER de LAVAUX, qui suit.
13°) Rose Angélique BROTHIER de LAVAUX, née à la Richarderie de Salles-sur-Mer, baptisée le 4 septembre 1779.
14°) Rose BROTHIER de LAVAUX, née à la Richarderie de Salles-sur-Mer, baptisée le 4 novembre 1781.
10. Charles Léon BROTHIER de LAVAUX, née à la Richarderie de Salles-sur-Mer le 18 avril 1776, lieutenant de grenadiers, décédé à la Richarderie le 11 septembre 1810 ; il avait épousé à La Jarrie le 30 novembre 1803, Geneviève BOLLER, baptisée à La Jarrie le 3 octobre 1774, décédée à La Jarrie le 7 août 1840, fille de Me Jean BOLLER, du diocèse de Condom (Gers), chirurgien major sur les navires marchands, puis maître chirurgien à La Jarrie, et d’Elisabeth Madeleine DAVARAY.
1°) Louis Léon BROTHIER de LAVAUX, né à La Jarrie le 9 mai 1804.
2°) Pierre Charles BROTHIER de LAVAUX, qui suit.
3°) Angélique Thérèse BROTHIER de LAVAUX, née à La Jarrie le 27 août 1810, y décédée le 6 août 1840 ; elle avait épousé Pierre GOUINEAU, maréchal ferrant, né à Salles-sur-Mer le 8 décembre 1809.
11. Pierre Charles BROTHIER de LAVAUX, né à La Jarrie le 2 octobre 1806, décédé à Nantes, 2 rue de L’Ecluse le 10 avril 1886, inhumé au cimetière de la Miséricorde ; notaire à Chantonnay (85), président de la Chambre des notaires de Vendée, maire de Chantonnay, armateur à Nantes ; il vend son étude notariale le 25 août 1834 (Me Fleurisson), puis s’installe à Nantes, d’abord rue Bonne Louis, puis au 2 rue de l’Ecluse ; il avait épousé à Chantonnay le 28 avril 1834 (contrat de mariage passé le 25 août 1834 chez Me Fleurisson, notaire à Chantonnay), Victorine Dorothée JUCHAULT, née à Chantonnay le 6 septembre 1812, décédée aux Pierres Blanches de La Montagne (44) le 26 juin 1895, inhumée au cimetière de la Misé
ricorde à Nantes, fille de Jean Samuel JUCHAULT, notaire à Chantonnay, et de Jeanne Perrine RAMIER.
1°) Ernestine Iphigénie BROTHIER de LAVAUX, née à Chantonnay le 5 juillet 1835, décédée à Nantes, 21, rue du Calvaire, le 10 février 1898 ; elle avait épousé le 23 septembre 1856, Jules DEMANGEAT, né à Nantes le 6 mars 1820, fils de Jean Louis DEMANGEAT, directeur de la fonderie d’Indret, et de Madeleine Anne ROBERT.
1a) Paul DEMANGEAT, avocat, substitut du Procureur de la République de St-Brieuc en 1898, né à Nantes le 9 septembre 1862, décédé à Amiens le 4 février 1911 ; il avait épousé Paule GUICHON de GRANDPONT, dont postérité.
1b) Maurice DEMANGEAT, avocat, procureur à Nantes, né en 
1869, décédé à Nantes en 1910 ; il avait épousé Eudoxie CLOCHARD (1861-1890). Sans postérité.
2°) Marie Laure BROTHIER de LAVAUX, née à Chantonnay (85) le 18 octobre 1838, décédée à Nantes le 3 juillet 1914 ; elle avait épousé au Loroux-Bottereau (44) le 10 mai 1864, Francis Aimé RENOUL, avocat et notaire, maire du Loroux-Bottereau, y né le 6 février 1829, y décédé le 6 juillet 1911, fils d’Aymé Simon RENOUL, médecin, maire du Loroux-Bottereau, et de Marie Françoise DRINGOT de LA BRETONNIÈRE. Dont postérité.
3°) Berthe Marie BROTHIER de LAVAUX, né à Chantonnay le 22 mars 1844 ; elle épousa à Nantes le 28 avril 1868, Marius FERNANDEZ de RUYDIAZ, négociant, né à Nantes le 11 septembre 1837, fils de Meliton FERNANDEZ de RUYDIAZ et de Rose Victoire
LE BEAU.
1a) Georges Emile FERNANDEZ de RUYDIAZ, receveur de l’enregistrement, né à Nantes le 7 novembre 1872, y décédé le 26 novembre 1963 ; il avait épousé à Nantes le 18 juillet 1899, Marie Amélie DUROUSSY, née à Talmont (85) le 18 décembre 1875, y décédé le 15 décembre 1949, fille d’Henri Aristide Las Cases DUROUSSY, avocat, et de Julie Amélie Eulalie DORION. Dont postérité.
7. Maître Pierre BROTHIER, sieur de Rollière (1726), de Chambe (1752), de la Croix, marchand, officier de l’Université de Poitiers, baptisé à Montalembert (79) le 1er février 1686, décédé en 1762, inhumé dans l’église, fils de Maître Jean BROTHIER, sieur de Lavaux et de Rollière, et de Marie MESTAYER ; il avait épousé à Chaunay (86) le 26 février 1713, Marie DUPAS, sa cousine, fille de Me Jean DUPAS, sieur de Pliboux, notaire et procureur du Roi à Limalonges, et de Françoise BROTHIER, cette dernière fille d’Antoine BROTHIER, sieur des Fontenelles, fermier du château de Chambes, et de Marie BAILLOT (voir plus haut dans cette généalogie).
1°) Jean Baptiste BROTHIER, qui suit.
2°) Françoise BROTHIER, qui épousa le 28 octobre 1738, Me Jean MÉRIGAUD, sénéchal de Ruffec, notaire royal.
3°) Jean BROTHIER, sieur de Chambes, officier de l’Université de Poitiers, né vers 1732 à Lizant, décédé à Montalembert le 4 août 1787 ; il y avait épousé d’abord le 21 février 1753, Suzanne INGRAND de LA FOUCHARDIÈRE, née à Lizant le 11 juillet 1731, fille de Jean INGRAND de LA FOUCHARDIÈRE, marchand et notaire royal, et de Marie Anne GOURJAULT ; puis à Limalonges (79) le 21 avril 1762, Marie Catherine GRIMAULT du BREUIL, fille de Pierre GRIMAULT du BREUIL et de Catherine ANDRÉ ; et enfin à Montalembert le 26 octobre 1778, Marie COUTURIER, veuve de Louis FOURNIER.
1a) Pierre BROTHIER, né du premier mariage, baptisé à Lizant le 15 mai 1754, y décédé le lendemain.
1b) Jeanne BROTHIER, baptisée le 12 février 1755 ; elle épousa Jean FOURNIER.
1c) Jeanne BROTHIER, qui épousa le 21 février 1775, Jean Joseph DALIVEAU.
1d) Jean Baptiste BROTHIER, baptisé à Montalembert le 14 août 1756, décédé le 3 août 1787 ; il avait épousé à Montalembert le 26 octobre 1778, Marie COUTURIER, veuve de Louis FOURNIER.
1e) Suzanne BROTHIER, qui épousa le 8 novembre 1785, Me Jean Jacques BALLAND, notaire royal et procureur à Ruffec.
1f) Gabrielle BROTHIER
1g) Jean Charlemagne BROTHIER, né du second mariage.
1h) Jean Pierre Lucain BROTHIER, qui épousa à Pleuville (16) le 20 mai 1800, Louise du VERRIER de BOULZAT, née à Epénède (16) le 14 octobre 1774, fille de Pierre Jacques du VERRIER, écuyer, seigneur du Boulzat, maire de Pleuville, et de Thérèse CORDEROY du BREUIL.
1i) Gabriel BROTHIER
1j) Marie Anne BROTHIER
4°) Marie BROTHIER, qui épousa au château de Chambe à Voulême (86) le 23 septembre 1754, Etienne BOURROT des CHATELLIERS, sénéchal de Ruffec et notaire royal.
5°) Etienne BROTHIER, clerc tonsuré, décédé à Voulême en 1746, inhumé dans l’église.
8. Jean Baptiste BROTHIER, sieur de Rollière et de Chambes, officier de l’Université de Poitiers, baptisé à Montalembert le 6 avril 1714, décédé à Voulême le 8 octobre 1766 ; il avait épousé le 7 novembre 1752, Marie Anne LOUBAUD de LA BARAUDERIE, baptisée à L’Isle-Jourdain (86) le 30 septembre 1721, décédée en 1781, fille de Jean Jacques LOUBAUD de LA BARAUDERIE et de Marie RABETHE, dont :
1°) Jean Louis Saint Abre BROTHIER, qui suit.
2°) Françoise Marie BROTHIER, baptisée à Voulême le 15 septembre 1758, décédée en 1832 ; elle avait épousé à Voulême le 30 juillet 1781, Louis ROCHETTE de PLUZET, écuyer, capitaine d’infanterie, né en 1757, guillotiné à Arras (62) le 30 mars 1794, député du Tiers-Etat (1789), commandant de la place forte d’Avesnes, fils de Pierre ROCHETTE de PLUZET et de Magdeleine LOURMEAU de NÈGREVAULT.
3°) Pierre Roch BROTHIER de ROLLIÈRE, né au château de Chambe à Voulême, baptisé le 16 août 1760, avocat en Parlement, maire de Civray (86) où il est décédé le 5 février 1848 ; il avait épousé le 25 fructidor an XI (12 septembre 1803), Marie Magdeleine MARTIN de NAVIÈRES (1778-1848), dont :
1a) Delphine BROTHIER, baptisée à Civray le 29 prairial an XII (18 juin 1804), y décédée le 16 août 1833 ; elle avait épousé à Civray le 25 avril 1832, Alexandre Fortuné PASCAUD-DUMAS, né à Poitiers le 20 novembre 1795, décédé à Gouex (86) le 4 juillet 1851, fils de Louis PASCAULT-DUMAS (descendants d’illustres familles comme les BOUCHARD d’AUBETERRE, d’AGUESSEAU, FOUCHER, de CUMONT, de BEAUMONT, de VENDÔME, de THOUARS, de MAILLÉ, de MAULEVRIER, de CRAON, HARPEDANNE, de DAMPIERRE, de DREUX, de CHATEAUBRIANT, d’ALBRET, de SULLY, de LA ROCHEFOUCAULD, de LUSIGNAN, etc, etc… et de Félicité HOUDARD ; sans postérité.
1b) Onésime BROTHIER, né à Civray (1806-1810).
1c) Rose Delphine Félicité BROTHIER du ROC, née le 25 mars 1812, décédée à Civray le 21 mars 1879 ; elle y avait épousé le 13 juillet 1831, Raymond Jacques ORÉ, né à Rochefort le 17 septembre 1806, décédé à Civray le 2 août 1867, médecin à Rochefort (17), fils de Jean ORÉ, capitaine de frégate, et d’Angélique Marie FOURRÉ, dont postérité.
9. Jean Louis Saint Abre BROTHIER, sieur de Rollière et de Chambes, conseiller du Roi, officier du Point d’honneur de la sénéchaussée de Poitiers, maire de Voulême, né au château de Chambre, baptisé à Voulême le 16 décembre 1756, y décédé le 19 avril 1824 ; il avait épousé à Ruffec (16) le 19 janvier 1784, Marie Anne OUVRARD, baptisée à Ruffec le 16 octobre 1768, décédée à Aigre (16) le 3 août 1849, fille de Pierre OUVRARD, marchand à Ruffec, et de Jeanne de LA CROIX.
1°) Jean Louis David BROTHIER de ROLLIÈRE, né à Voulême le 7 octobre 1784, y décédé en mars 1786.
2°) Marie Françoise Joséphine BROTHIER de ROLLIÈRE, née à Voulême le 11 mai 1786.
4°) Pierre BROTHIER de ROLLIÈRE, né à Voulême le 27 avril 1787, y décédé le 2 mai suivant.
5°) Jean Louis Auguste BROTHIER, docteur en médecine de l’Université de Paris, né au château de Chambe à Voulême le 6 mai 1788, décédé à Ruffec le 12 janvier 1829 ; il avait épousé à Ruffec le 16 septembre 1818, Lise PINOTEAU, née à Ruffec le 29 mars 1799, y décédée le 31 décembre 1879, fille de Pierre Armand PINOTEAU, baron de l’Empire (sans confirmation par Lettres patentes du fait de la chute de l’Empire), général de brigade, officier de la Légion d’honneur, chevalier de Saint-Louis, et d’Hélène BRUMAULD de MONTGAZON.
1a) Marie Augustine BROTHIER, née à Ruffec le 11 mai 1825, décédée à Versailles, chez les sœurs de l’Espérance, le 5 avril 1920, inhumée à Viroflay ; elle avait épousé à Ruffec le 13 avril 1852, Théobald TINEL de KEROLAN, chevalier de la Légion d’honneur, receveur des Postes à Beyrouth ; puis directeur des Postes à l’hôtel de ville de Paris, né à Kérouallan de Kervignac le 3 juillet 1817, décédé à Paris le 18 juin 1873, fils de Bernard Jean Baptiste TINEL, capitaine de frégate, et de Clémentine Sainte DESCHAMPS.
2a) Marie Clémentine Jeanne TINEL de KEROLAN, professeur de piano à la Légion d’honneur, née le 4 janvier 1853, décédée le 12 novembre 1925 ; elle avait épousé à Paris le 24 août 1880, Henri Marie Amédée GAUTIER, pharmacien à Paris, né à Orléans le 6 août 1854, décédé en 1915, fils de Jean Amédée GAUTIER, capitaine d’infanterie, et de Françoise FARGEAT. Dont postérité.
2b) Raoul TINEL de KEROLAN, né à Paris en 1854, décédé dans l’ambulance St-Thomas de Villeneuve à St-Germain-en-Laye le 25 octobre 1870, « Mort au champ d’honneur » des suites d’une blessure reçue à la poitrine au combat de la Malmaison.
6°) Pierre Léon BROTHIER, né à Voulême le 11 novembre 1790, y décédé le même jour.
8°) Pierre Célestin BROTHIER, né à Civray (86) le 25 décembre 1791, décédé à La Jonchère-Dissais (86) le 30 avril 1866 ; conseiller d’arrondissement ; il avait épousé à Poitiers le 4 janvier 1814, Marie Sophie BARBIER de LA PLANCHE, née à Vivonne (86) le 10 octobre 1796, décédée le 6 mars 1850, fille de Jean BARBIER de LA PLANCHE, président de l’élection de Poitiers, et de Marie Anne GASCHET, dont :
1a) Célestine BROTHIER, née à Poitiers le 8 novembre 1814, supérieure des sœurs de la Sagesse à Clermont-sur-Oise.
1b) Emile Saint Abre BROTHIERU, née à Poitiers le 25 avril 1818, décédée en 1892, qui épousa en 1844, Laure GENEST, née en 1817, décédée le 17 avril 1890.
2a) Marie Célestine Céline BROTHIER, née en 1845 ; elle épousa Théophile DOYEN, né à Lille en 1833, fils de Théophile Auguste Aimé DOYEN, notaire à Lille, et d’Euphémie PRÉVOST de BREBIÈRES, dont entre autres :
3a) Albert Marie Emile DOYEN, avocat, maire de St-Mathurin (85), né à Tournon St-Pierre (37) le 23 octobre 1869, décédé le 20 septembre 1950 ; il avait épousé à Chantonnay (85) le 19 juin 1894, Emilie Marie MORAND, née à Chantonnay le 29 avril 1864, fille de Gaston Pierre MORAND, notaire, et de Nélie Marie BOUHIER ; mariage en présence de Marie Pierre Georges LAVERGNE, conservateur des hypothèques à Mortagne (61), oncle breton de l’époux, Vincent Ernest BERNARD, propriétaire à Jouhet (86), aussi oncle breton, Fernand DANIEL-LACOMBE, propriétaire à Bournezeau, oncle breton de l’épouse, et Constant GILBERT, négociant à Pouzauges, chevalier de la LH, oncle par alliance.
4a) Henry René DOYEN, officier (St-Cyr 1914), maître de l’équipage de Longueplaine, né à Chantonnay le 1er août 1895, décédé le 8 mars 1976 ; il avait épousé Jacqueline BLOT, décédée en décembre 1993, dont :
5a) Marie Aline DOYEN, inhumée à Aizenay le 14 novembre 2003 ; elle avait épousé Antoine d’HERTAULT de BEAUFORT, décédé le 17 août 1991, fils de Jean d’HERTAULT de BEAUFORT et de Claude SEGUIN de LA SALLE. Dont nombreuse postérité.
4b) Hélène DOYEN, qui épousa Jacques MARCEL, ingénieur agricole, dont :
5a) Henri MARCEL, officier des haras, né à La Verrie (85) le 2 octobre 1928, marié à Savasse le 24 juin 1961, à Véronique BÉRENGER, née à Rosières-aux-Salines (54) le 4 mai 1932, fille de Jacques BÉRENGER et de Stéphanie HOPPENOT. Dont postérité.
A droite : le logis de la Millière à St-Mathurin (85) acquis vers 1908 par M. MORAND, sénateur de la Vendée, dont la fille Emilie épousa Albert DOYEN qui s’y installe à la mort de son beau-père en 1914 ; sa fille Hélène épousa Jacques MARCEL. (« De Châteaux en Logis », de Guy de Raigniac, tome X).
1c) Marie Dolly BROTHIER (1821-1900).
1d) Elisabeth BROTHIER, née en 1827, décédée à Poitiers le 22 janvier 1890 ; elle avait épousé Prosper FOURCADE, capitaine du génie (1820-1855), dont postérité.
1e) Paul BROTHIER, né à La Jonchère-Dissais le 16 juillet 1827 ; il épousa le 11 janvier 1858, Dolly BARBIER de MONTAULT, fille de Joseph BARBIER de MONTAULT et d’Adélaïde MONTAULT.
2a) Raoul Saint Abre BROTHIER, né à La Jonchère-Dissais le 31 mars 1859 ; il épousa à Chartres le 11 septembre 1889, Suzanne POYET, née en 1868, fille de Camille POYET, contrôleur principal des contributions directes, et de Suzanne Paule PHILIPPE, dont :
3a) Jeanne Marie BROTHIER (1890-1893).
3b) Suzanne Lucie BROTHIER, née le 10 décembre 1890.
3c) Simone BROTHIER, née en 1894.
2b) Marie BROTHIER, née le 21 janvier 1862 ; elle épousa le 7 mai 1889, Ludovic GUIGNARD de GERMONT, né en 1861, dont au moins :
3a) Yvonne GUIGNARD de GERMONT, née en 1890.
2c) Charles Joseph BROTHIER, né le 2 février 1864 ; il épousa à Châteauroux (36) le 24 janvier 1887, Suzanne FROMENTEAU, née en 1869, dont au moins :
3a) Marie Louise BROTHIER, née à Thévet (36) le 29 octobre 1887.
9°) Léon Désiré BROTHIER, aspirant de marine, percepteur des contributions directes, maire de Saint-Front, né au château de Chambe à Voulême le 15 janvier 1794, décédé au logis de la Bourdelais à Saint-Front (16) le 23 décembre 1875 ; il avait épousé à Moutonneau (16) le 13 octobre 1817, Louise Agathe COUDERT, y née le 21 février 1800, décédée au logis de la Bourdelais à St-Front le 9 avril 1861, fille de François COUDERT et de Françoise Julie CONTANCIN ; les époux sont parents au 3e degré.
1a) Emile BROTHIER (1818-1819).
1b) Théophile BROTHIER, conseiller général, juge de paix, sénateur de la Charente, né à Voulême le 16 mars 1819, décédé au logis de la Bourdelais à St-Front le 28 novembre 1900 ; il avait épousé le 26 novembre 1844, Marie Louise Céline MARROT (1827-1916), dont :
2a) Marie Agathe Marguerite BROTHIER, née à St-Front le 1er janvier 1846, décédée à Saint-Front (16) le 5 janvier 1846 ; elle avait épousé d’abord à St-Front le 22 septembre 1863, François Charles Alfred BRISSON, négociant, minotier, membre de la Société Archéologique et Historique de la Charente, né au Gond (16) le 16 décembre 1834, décédé à Vichy (03) le 7 juin 1876 ; puis en 1881, Etienne BARJOU (1834-1893), colonel d’artillerie. Dont postérité du premier mariage.
1c) Léontine BROTHIER (1821-1896) ; elle épousa le 26 octobre 1847, Pierre Xavier BAILLIOT (1822-1908), notaire à Civray, fils de François Pierre BAILLIOT, maire de St-Saviol, et de Marie NADAUD, dont postérité.
1d) Anatole BROTHIER (1834-1835).
10°) Victor Elie Abraham BROTHIER, qui suit.
10. Victor Elie Abraham BROTHIER, né à Ruffec le 30 septembre 1798, décédé à Civray le 13 décembre 1869 ; notaire à Neuillet et maire de Voulême, puis percepteur des contributions directes à Civray ; il avait épousé à Voulême le 1er juillet 1822, Marguerite Julie BONNIN, née à Voulême le 28 septembre 1797, décédée en 1871, fille de François BONNIN, notaire royal, et de Jeanne GROLLIER, dont :
1°) Elise BROTHIER
2°) Emile BROTHIER
3°) Léon BROTHIER (1829-1909), officier de marine.
4°) Jules BROTHIER, qui suit.
5°) Jeanne Céleste Marie BROTHIER, née à Civray le 29 juillet 1834, décédée à Magné (86) le 28 février 1901 ; elle avait épousé à St-Secondin (86) le 25 juin 1873, Sylvain RICHARD, dont postérité.
11. Jules BROTHIER, né à Voulême (1830-1890) ; il épousa en 1856, Irma COVE, dont il eut :
1°) Julie BROTHIER, née en 1857, mariée en 1885 à Paul GOUPIL, dont postérité.
2°) Elie BROTHIER, qui suit.
12. Elie BROTHIER, né le 27 juillet 1860 ; percepteur à La Roche-Bernard (56) ; il épousa à Civray en février 1887, Marie Amélie Joséphine LE QUINIOT, dont au moins :
1°) Robert BROTHIER, né à La Roche-Bernard le 11 février 1888.
2°) Suzanne BROTHIER, née en 1893.
Inventaire du Château de Chambes,
paroisse de Voulême
Ci-dessous, copie des articles concernant la Famille BROTHIER
■ 1695, 23 décembre : Procès entre BROTHIER, clerc, et HAÏNON, abbé de St-Denis, au sujet du domaine de Hordin sur lequel le clerc BROTHIER avait construit trois chapelles. Dans ce procès, il est dit que BROTTIER ayant perdu son procès, réclame satisfaction devant le roi Childebert III, qui lui donne tort.
■ 1080 : donation de différents domaines par Aimery BROSSIER de La ROCHE à Hévrard, abbé de Talmont, en présence de Gautier BROTIER, son gendre.
■ 1080 : renonciation faite par Boson, vicomte de Châtellerault, au procès intenté relativement à l’aleu des Coutures abandonné aux moines de St-Florent de Saumur, en présence de Ledevin BROTIER, demeurant à Gaure.
■ 1100 : acte de vente dans lequel comparait Aynard BROTIER.
■ 1100 : donation des domaines de la Maurière, fait à Alexandre, abbé de Talmont, en présence de Achard BROTIER.
■ 1101 : donation de terres faite par Pierre de VILLARON à l’abbaye de Talmont, en présence de Barbotin BROTIER.
■ 1104 : extrait des rôles d’Auvergne dans lesquels est compris Aldebert BROTIER.
■ 1113, 12 novembre : désistement fait en faveur de l’abbaye de St-Maixent par les seigneurs Morand, Gautier et Adhemar, des droits qu’ils prétendaient sur le village de St-Germain de Isernia, ledit désistement fait en présence de Me Audebert BROTIER de LA MOTTE.
■ 1115 : acte de fondation du prieuré de Chastain fait en présence de Aynard BROTTIER.
■ 1119 : charte établissant que Aldebert BROTTIER, économe et receveur de l’abbaye de Notre-Dame de Saintes reçoit 50 sous d’or pour remettre à Messire Pierre ARBALESTRIER, au sujet d’une dime due par l’abbaye sur une terre donnée en apanage audit seigneur par le comte de Poitiers.
■ 1120 : donation du champ d’Aufred à l’abbaye de St-Florent de Saumur, en présence de Joubert BROTIER, et de Messire de la Roche.
■ 1127 : restitution par Geoffroy de BRAUTIER à l’église de St-Hilaire de Poitiers des droits usurpés dans la terre seigneuriale de Luzay et dont il avait été excommunié par le Pape et Monseigneur d’Evêque de Poitiers.
■ 1140 : donation à l’abbaye de Talmont par Bouchard BROTIER, des terres lui revenant dans le fief de Pierre JOSLIN du consentement de ce dernier.
■ 1141 : confirmation du seigneur JOSLIN pour la donation faite par Richard BROTIER à l’abbaye de Talmont au sujet des terres relevant de sa seigneurie.
■ 1160 : acte de vente passé à St-Hilaire de Poitiers dans lequel apparaît Jehan BROTIER, bourgeois de Parthenay.
■ 1165 : acte par lequel Humbert BROTIER, chevalier de Payen, seigneur de Caïphas en Phénicie, reconnaît que Roger et Jehan de Caïphas accordent au Saint Sépulcre, 6 charruées de terre libre et franche de tout impôt.
■ 1180 : don par Pierre de LA GARNACHE, à Hymbert BROTIER, maître des chevaliers du Temps d’Aquitaine, d’un emplacement pour construire des moulins près le port de Beauvoir à l’usage de l’ordre.
■ 1180 : vente de pièces de terre sises dans la paroisse de Vauseroulx, par Massé BROTHIER, sire de Gaure.
■ 1180 : acte dans lequel il est dit que Gautier BROTIER doit 12 deniers de rente au seigneur de Savary.
■ 1180 : acte dans lequel figure Hymbert BROTIER, maître des chevaliers du Temple d’Aquitaine.
■ 1219 : actes divers dans lequel apparaît Jean BROTIER, bourgeois de Parthenay.
■ 1219, juillet : acte par lequel Guillaume BROTIER, clerc de Sainte Croix de Parthenay, et Jehan BROTIER, bourgeois de ladite ville, s’engagent à défendre le château de Parthenay en cas d’attaque ou de guerre.
■ 1219 : donation aux religieux du prieuré des bois de Secondigny, de la maison du fief Rataud, par Hymbert BROTIER, en présence de Etienne BROTIER, clerc, Pierre BROTIER, chevalier, ses frères et chevalier RATAUD, son oncle.
■ 1240 : arrestation de l’assassin Breteingne, par Pierre BROTIER, chevalier, alors qu’il exerçait les fonctions de viguier à Xaintray pour le seigneur de Parthenay.
■ 1250 : censif de Chizé dans lesquels sont sommés René et Pierre BROTIER de LOULAY.
■ 1301, 18 octobre : traité entre honnête Frère Jourdain de Chasteauneuf, prieur de Fontenay, et Joffroy de BROTIER, Guillaume GASCHET, Johan MARTINEAU, et autres habitants dudit lieu, par lequel ils renoncent à tous les droits de passage qu’ils prétendaient avoir sur la terre du prieuré.
■ 1309 : extrait du procès des Templiers dans lequel comparaissent Ponce BROTIER, miles, chevalier du Temple en Angoumois.
■ 1311 : documents divers recueillis au sujet du tombeau de Aymericus BROTIER, l’Angoumoisin, chevalier du Temple, qui se trouve dans l’église de Saint-Saviol.
■ 1321, 5 juin : acte de fondation de l’hospital noef de la ville de Pons en Saintonge, par frère FOURNIER, en présence de Constantin, Hélie, Stéphane, Guardrad et Audoin BROTHIER, probablement frères.
■ 1357, 13 février : acte de vente de différentes pièces de terre sises à Féterne en présence d’Aymonet BROTIER, demeurant à Marin.
■ 1365, 24 août : aveu de la terre de Corcoril en Saintonge, par Isabelle de BROTHIER, épouse de Guillaume ROUX de CORCORIL, et fille de Pierre de BROTHIER, en hommage lige, au devoir d’un fer de lance doré rendu audit prince de Galles, comte d’Angoulême.
■ 1386, novembre : lettres accordées par le roi Charles VI à Régnaud BROTIER.
■ 1394, 11 juillet : quittance signée et scellée par Robert BROTIER, avocat en la cour de l’église de Constance, à Monseigneur le duc d’Orléans. Le sceau en cire bien conservé porte les armoiries « de…. À 3 besans posés 2 et 1, au chef chargé de 3 fleurs de lys ». Au-dessous de l’écu 3 croix de Saint-André. Comme exergue S : ROB…. ; BROT….
■ 1395 : délibération administrative soumise au roi d’Angleterre pour la tutelle des biens que BROTHIER possède en Angleterre.
■ 1396, 8 novembre : quittance à Monseigneur le duc d’Orléans par Robert BROTIER, avocat en la cour de l’église de Constance, qui signe et scelle de ses armes. Le sceau rond de cire jaune attenant à cette quittance porte au centre un écu chargé de 3 besans, au chef de trois fleurs de lys, autour de l’écu, ces mots : « S : ROBERTI : BROTERI »
■ 1410 : lettres patentes du roi Charles VI dans lesquelles comparait Guidon BROTHIER.
■ 1414 : documents divers établissant que Robert BROTIER fut chantre de la cathédrale de Constance de 1414 à 1434 ; la plus haute dignité de l’église.
■ 1418, 25 août : liste des notables habitants de Paris qui prêtèrent serment de fidélité entre les mains de Jean sans Peur, duc de Bourgogne, parmi lesquels figurent Etienne BROTHIER, dixenier de la dicte ville, notable en ycelle.
■ 1142 : acquisition d’une pièce de terre à Concise par Jean BROTIER, pour y bâtir un four.
■ 1443 : relevé des dîmes du domaine de Brotères, paroisse de Bussières, fait en présence de Jehan BROTHIER et son fils Pierre.
■ 1443, 22 octobre : vente d’une pièce de terre à Concise, en présence de Pierre BROTHIER.
■ 1452 : jugement rendu dans la seigneurie de la Barre-Pouvreau, contre Laurent BROTHIER, qui a été à Poitiers recevoir l’absolution d’un homme mort excommunié et qui a fait défaut aux assises de ladite seigneurie.
■ 1484, 5 février : acquisition de plusieurs pièces de terre, plantées en vignes, sises à Tully, près Concise, par messire Girard BROTHIER, curé de Margencel, tant en son nom qu’en celui de son frère Pierre BROTIER et de ses neveux Michel et Dieulefils, fils de feu Antoine BROTIER, aussi son frère.
■ 1492 : vente de terre, par Michel BROTHIER, fils d’Antoine et de Josserande.
■ 1504, 21 janvier : testament de Catherine GARNIER, dame de Nieuil, épouse de Noble Homme Jehan de PARTHENAY, écuyer, seigneur de Maisonnais, dans lequel elle charge messire André BROTHIER, prêtre de Voulesmes, de prendre les revenus de sa maison et hostel de Nieuil et dépendances pendant une année pour édifier et allonger l’église de Voulesmes, dont elle est la fondatrice, à la condition que son corps sera sépulturé dans le cœur d’icelle église.
■ 1509n 30 mai : acte de vente d’un domaine dans lequel est témoin messire Claude BROTHIER, chapelain.
■ 1509 : acte de vente fait en présence de messire Girard BROTIER, curé de Margencel.
■ 1516, 2 juin : vente d’un jardin sis à Féterne, confinant les fossés du château, à Honorable Claude, veuve de messire Pierre de BROTHIER, ce contrat de vente fait à Concise, devant la maison des héritiers dudit Pierre, en présence de Louis BROTHIER et de Jacques DUPAS à qui il était dû un cens sur ce jardin.
■ 1516, 13 novembre : quittance de noble Claudine, épouse de feu Pierre de BROTHIER.
■ 1517, 27 janvier : vente du bois de Tully à Louis BROTTIER, demeurant à Concise.
■ 1531 : acte relatif à la construction des fortifications de Tannay, dans lequel apparaît Maître Etienne BROTIER.
■ 1541 : vente de pièces de terre à Louis de BROTTIER, demeurant à Concise.
■ 1542 : acte de vente de la terre dite de Gaure par Alexis BROTHIER.
■ 1542, 21 décembre : reçu de la somme de treize écus cinquante-trois sols, quatre deniers, accordés par messire Alexis BROTHIER, procureur de messire Pierre LABOISSIÈRE, seigneur de Rochebrune, gentilhomme ordinaire de la chambre des mes seigneurs, fils et frère du Roy François Ier.
■ 1542 : acte de vente de plusieurs pièces de terre, sises à Ruffec, dans lequel apparaît Alexis BROTHIER.
■ 1543, 24 septembre : procès entre Louis de BROTTIER, de Concise, et les communautés de Tully et Concise.
■ 1549, 7 janvier : acte de vente d’une pièce de terre, fait en présence de Louis de BROTHIER, demeurant à Concise.
■ 1549 : acte de vente dans lequel comparaissent Dumine BROTHIER et Catherine de LACHAUD, demeurant à Voulême, baronnie de Ruffec.
■ 1556, 22 avril : délibération capitulaire du chapitre cathédrale de Poitiers, en présence de noble et vénérable personne messire Thomas BROTHIER, chanoine prébendé, au sujet d’une lettre du roi Charles IX, adressée au lieutenant général du Poitou et à Monseigneur Charles de PÉRUSE des CARS, évêque dudit Poitiers, à l’occasion d’une prébende préceptoriale de l’église cathédrale. Ledit messire Thomas BROTHIER assisté de Jean BARBIER, conseiller du roy, et son avocat général au siège royal et présidial de Poitiers.
■ 1564, 13 décembre : procès entre Louise BROTHIER, épouse de Louis de LA FLÉCHÈRE ; Charles de BROTIER, son frère, demeurant à Concise ; et la famille de MORSIER au sujet de l’héritage de Janus de MORSIER, Louise et Charles de BROTTIER se disant fils de Louis de BROTTIER, qui était fils de de feu Pierre BROTHIER, lequel avait épousé Ayma de MORSIER.
■ 1567, 20 mai : partage entre Etienne de CHAMBES, Etienne et Gervais BROTHIER, enfants de Mathurin BROTHIER, demeurant au village de la Vau-Frénicart, paroisse de Voulême, des biens qu’ils ont acquis de Guichard BYRAULT et de Catherine BROTHIER, sa femme, comprenant un grand nombre de pièces de terre enclavées dans les domaines de Mathurin BROTHIER, père desdits, attenant aux terres des héritiers de François BROTHIER, dit Mousnier ; de André BROTHIER le jeune ; de François BROTHIER ; de Pierre MARIN ; de Antoine AYRAULT ; de François MESTAYER ; de Barthoulmé BROTHIER ; de François et Mathurin BROTHIER, frères ; de Loys et André BROTHIER ; de Hugues BROTHIER et ses enfants ; de François BROTHIER dit Gastineau ; de Louis AYRAULT ; de Mathurin BROTHIER l’ainé ; du seigneur BROTHIER et ses enfants ; de Berthoulmé BROTHIER et Jean BROTHIER et autres.
■ 1567, 20 mai : acte de partage entre Estienne de CHAMBES et la famille BROTHIER de LAVAUX, fait en présence de Pierre MARIN, par devant Me BOUFFARD, notaire royal à Voulême, baronnie de Ruffec en Angoumois.
■ 1568, 13 juillet : procuration donnée à Me CHAIGNEAU, notaire apostolique à Poitiers, par Clément BROTHIER, écolier, étudiant en l’université royale dudit Poitiers, à l’effet d’accepter pour lui tous les bénéfices ecclésiastiques qui pourraient vaquer.
■ 1571 : acte dans lequel apparaît Messire BROTIER, demeurant à Tannay.
■ 1571 : acte de vente fait en présence de Bersabée, dame de BROTTIER, épouse de Charles de BROTTIER.
■ 1575 : acte de vente dans lequel apparaît Jehan BROTIER, clerc à Nevers.
■ 1575, 29 novembre : acte de naissance de Mathurin BROTYER, fils de René BROTYER et de Jehanne BROTTIER, demeurant dans la paroisse d’Ingrande, près de Châtellerault.
■ 1576, 13 octobre : confirmation de noblesse accordée à Charles de BROTTIER, demeurant à Concise, qui a prêté serment de fidélité au Roi comme noble.
■ 1578, 20 mars : testament de messire Guillaume GALLAIS, prêtre, en faveur de messire François BROTHIER, fils de Jacques BROTHIER, demeurant à Voulême, baronnie de Ruffec en Angoumois.
■ 1579, 15 novembre : acte de partage entre Françoise d’ANTIOCHE et Percevalle d’ANTIOCHE, épouse de Charles de BROTHIER, de Concise.
■ 1582 : quittance de guerre donnée par Philippe de RUFFEC à Alexis BROTHIER, attaché à la trésorerie générale de l’extraordinaire des guerres.
■ 1584, 10 novembre : contrat de mariage entre messire Antoine MAUROUGNÉ, greffier des enquêtes de la sénéchaussée d’Angoumois, fils de feu messire Noël MAUROUGNÉ, en son vivant, procureur au siège présidial d’Angoumois, et de dame Françoise MOULLIN ; Et Jeanne CHAZAY, veuve de messire Jean DÉSAUGÈRE, procureur au dit siège présidial, ledit MAUROUGNÉ du consentement de Messire Alexis BROTHIER, son beau-frère ; acte de Jean MOUSNIER, notaire royal à Angoulême.
■ 1586, 5 juillet : acte de vente dans lequel apparaît Charles de BROTTIER.
■ 1587, 9 octobre : vente d’un petit lopin de terre, situé au coin de la place du collège d’Angoulême par Me COINDREAU, principal dudit collège, à Me Alexis BROTHIER, sieur des Roys, receveur du chapitre de St-Pierre, l’un des pairs de la maison commune de la ville d’Angoulême.
■ 1587 : quittance de Alexis BROTHIER, sieur des Roys, receveur du chapitre de Saint-Pierre, l’un des noble pairs du corps de la ville d’Angoulême.
■ 1588, 24 juillet : procès entre Félix BROTHIER, fils de feu Antoine BROTHIER et de Nicole BERNIER, et Berthonade MAIGNEN, et Mathine BARDINE, épouse en secondes noces d’Antoine BROTHIER sus-nommé.
■ 1590 : acte dans lequel comparait Françoise de BROTHIER, épouse de Claude de BARDONENCHE.
■ 1590, 17 juin : acte de vente d’un petit lopin de terre, appelé les Champs de Saglaux, situé au Gond, à messire Alexis BROTHIER, receveur de MM les doyens chanoines et chapitre de l’église d’Angoulême.
■ 1590 : extrait de l’armorial de France, province d’Auvergne, dans lequel apparaît le chevalier BROTHIER avec les armes : « palé d’argent et de gueules ».
■ 1590, le 7 septembre : acte de vente d’un jardin situé à Lizant, par Michau MANDUIRAU, laboureur, et Julienne SERVANT, sa femme, demeurant au village de la Bobillière, paroisse de Lizant, à Me François SANSAULT, notaire royal de la châtellenie de Boisseguin, en présence de Jehan BROTHIER, sieur de Lavaux Fournicart.
